Lieux de rencontres lesbiennes, Paris belle époque.

Sous ma langue, le paradis.

Comme évoqué précédemment, l’homosexualité féminine, dont le haut de l’iceberg a émergé aux yeux du monde à partir du 19e siècle, a aujourd’hui enfin, droit de citer, et fort heureusement.

Mais cet espace privé et donc discret est difficile à créer et à préserver. Les modalités de rencontre sont parfois compliquées.

Le monde lesbien reste discret et assez confidentiel dans ces pratiques, seuls quelques fantasmeurs inventent et y voient simplement leurs dessous sexuels inassouvis.

Le monde lesbien, nous devrions plutôt dire, le monde de l’homosexualité entre femmes, touche tous les milieux féminins, toutes les couches de la société féminine et elles sont discrètes ces femmes.

Si beaucoup de femmes aimeraient entrer dans cette danse, dans la réalité cela s’avère encore difficile par rapport au statut social.

En effet, nombre de femmes mariées hétérosexuelles, aimeraient pouvoir établir une relation saphique avec une autre femme. Mais pour rester discrète, c’est compliqué étant donné le mari en embuscade, prêt à s’immiscer dans cette relation pourtant purement féminine.

Liberté sexuelle entre femmes.

Souvent le mari flaire la “bonne” affaire et pousse sa compagne, sa femme, vers un plan à trois, c’est le fantasme de beaucoup d’hommes, mais quelle erreur, car dans beaucoup de cas le monsieur terminera sur la carpette, car la venue d’un tiers masculin s’accommode souvent très mal dans une relation impliquant deux femmes, la sexualité entre femmes est assez incompatible avec une présence masculine et intrusive, la nature même de la relation charnelle entre femmes, est assez contre-nature avec le masculin.

On peut aimer la confiture d’une part, et le gigot d’autre part, mais ne pas aimer les deux en même temps !

Soulignons en clair, au passage, que la bisexualité des femmes n’implique en rien la pratique du triolisme. La bisexualité englobe l’une ou l’autre des relations,  mais pas les deux en même temps !

La pratique du saphisme reste très discrète et intime aux regards des intrus.

Saphisme discret.

Ceci étant dit, le Paris de la fin du 19e siècle et début 20e siècle est le foyer du lesbianisme et la bisexualité féminine en France est bien classée et se trouve dans le peloton de tête des villes ouvertes en Europe.

Les lieux de rencontres lesbiens sur Paris pour la catégorie de femmes fortunées restent

 les salons privés, et certaines maisons conçues pour ce type de rencontre.

Mais pour les autres femmes pratiquant le saphisme il y avait des salons publics, des bars, des restaurants, des appartements, des music-hall etc…Même en ce temps là, beaucoup de salons étaient réservés pour les femmes, pas question d’y admettre des hommes, ce qui bien sûr posaient pas mal de problèmes car le mâle veut être partout chez lui, du moins le croit-il !

En 1881, Octave Uzanne écrit qu’à Paris, il y avait un très grand nombre de ferventes du saphisme et nombre de femmes de lettres , littéraires ou du théatre, bourgeoises mariées,, hétérosexuelles,ou simple femme, s’adonnaient au saphisme dans des lieux publics ou privés, et aussi chez elles avec leurs femmes de chambre assez souvent.

Léo Taxil dans son ouvrage “la corruption fin de siècle ,“affirme que des tribades sont organisées en groupes et se livrent à des orgies entre femmes sans nom.

Il y avait aussi des prostituées femmes, pour femmes et des endroits de rendez-vous réservés seulement aux rencontres entre femmes.

Rappelons que toutes les femmes de cette époque qui pratiquaient le saphisme appartenaient au milieu lettré de la capitale.

Les centres du lesbianisme bourgeois mondains se trouvaient sur Neuilly et aussi sur Saint-Germain.

Mais d’autres quartiers plus populaires étaient en vogue, comme Pigalle, quartier de Clichy, Montmartre, les grands boulevards, la rue des Martyrs, qui aujourd’hui encore exhale un parfum de marginalité.

La capitale respirait le plaisir.

Un certain nombre de brasseries parisiennes étaient comme des villages de lesbos, les filles sortaient ensemble et elles évitaient soigneusement les hommes qui comme aujourd’hui avaient des comportements peu respectueux envers les femmes.

Caresses entre femmes.

Dans certains bars parisiens, ce sont parfois des soirées de débauche entre femmes qui s’offrent à votre regard.

En fait, le lesbianisme et la bisexualité féminine ne cesse de progresser dans cette deuxième moitié de 19e siècle.

Dans le milieu du music-hall, de la chanson, il y avait un grand nombre de femmes lesbiennes ou bisexuelles.

Il est surprenant de voir en cette fin de siècle le nombre de bar, cafés, restaurants gérés par la communauté lesbienne et bisexuelle féminine.

Mais des scandales éclatent tout à coup, et ils apprennent à notre vertueuse population, qui s’en indigne, que les nobles dames n’ont pas dédaignées venir prendre part aux jeux de l’amour lesbien dans des maisons ou leur admission avait lieu au mépris de tous les règlements de l’époque.

Léo Taxil s’émeut pareillement du laxisme de la loi et rappelle en 1891, l’admission des femmes comme visiteuses dans les lupanars officiels était un cas de fermeture pour l’établissement.

Pourtant, depuis 1881, elles y sont reçues et nullement en cachette. Aux alentours des maisons de tolérances, on voit stationner souvent des voitures privées (calèche), elles ont amené des filles de théâtre.

Les plaisirs offerts aux lesbiennes peuvent en outre surprendre par leur variété et parmi les lieux où abonde le saphisme, il faut citer à Paris certaines tavernes de Montmartre, l’avenue des Champs Élysées et les abords de l’Arc de triomphe, Il y a aussi les terrasses de café à Pigalle.

Par ailleurs, il existe environ une quarantaine d’appartements tous spéciaux, dédiés au culte de lesbos et uniquement ouvert aux seules dames du monde. Pour la plupart, ils sont situés dans les environs de la Madeleine et de la Chaussée d’Antin.

Les lieux de plaisirs entre femmes furent révélés en détails par un grand nombre d’écrivains avec force détails piquants.

Plaisirs et érotisme entre femmes.

Ces lieux de rencontres ou tables d’hôtes étaient très fréquentés après le théâtre, le music-hall, les cabarets et tous les endroits ou beaucoup de femmes venaient chercher les plaisirs lesbiens.

Dans les tables d’hôtes, il y avait « Chez Laure » rue des Martyrs, puis « Louise Tallandier » dans la même rue, au numéro 17.

Colette fréquentait, vers 1930, les caves de Montmartre, car c’est ce lieu qui à cette époque, offrait le plus d’endroits de bacchanales.

Le Hanneton, le rat mort, la souris, vous accueillent à toutes heures du jour comme de la nuit.

Jean Lorrain a décrit une clientèle très éclectique.

Le Hanneton était une brasserie au 75 rue Pigalle (à l’emplacement de la brasserie du Lapin dirigée par Mme Armande).

Le rat mort, avec deux entrées, l’une sur la place Pigalle, et l’autre au 16 rue Frochot, afin de pouvoir en sortir discrètement. Colette parle de cet endroit.

Mme Palmyre dirigeait la « Souris », un café situé 29 rue Breda ( aujourd’hui rue Henri-Monnier).

Puis vers 1920 et 1930 les lieux se déplacent vers Montparnasse, là où se trouvait le « Monocle » lieu également lesbien.

Amour lesbien dans la nature.

En 1888 Pierre Delcourt évoque que ces vingt dernières années, l’augmentation des amours entre femmes est prodigieux, ces femmes considèrent le rapprochement homme/femme comme une monstruosité à laquelle il faut se soumettre pour vivre , c’est le dictat de la société et aujourd’hui encore, la norme reste l’hétérosexualité, nous sommes sous la dictature phallocratique, mais fort heureusement, nous arrivons à faire notre chemin, nous les lesbiennes et bisexuelles.

Les hommes pensent depuis des siècles, qu’ils sont incontournables pour les plaisirs des femmes, c’est une monstrueuse erreur qui encore une fois prouve que les hommes ne connaissent rien aux femmes, pourquoi y a-t-il autant de femmes mariées entretenant une relation très secrète avec une autre femme, son amante ?

Éloge du saphisme ou l’amour entre femmes.

Pensée de Liane de Pougy: L’homme descend du singe et la femme des anges. 

Nous les lesbiennes.

Je vais vous relater quelques lignes puisées dans les ouvrages d’une célèbre femme, qui non seulement était superbe, mais qui avait beaucoup d’esprit et un sens de l’analyse assez poussée.

Cette femme était en son temps la reine des nuits lesbiennes sur Paris, et était directrice de discothèque, tel que le Katmandou, puis du Privilège, il s’agit d’Elula Perrin, née à Hanoï au Vietnam en 1929, décédée à Paris en 2003.

Un parcours en tout point atypique, puisque qu’elle fût hétérosexuelle, et même mariée à un homme.

Cependant, lors d’un voyage au Maroc, elle découvrit l’homosexualité entre femmes, et ce fût la grande révélation de sa vie.

Bien sûr, son couple hétérosexuel  ne survivra pas, car elle décida aussitôt de rentrer dans le cercle des lesbiennes pour sa plus grande joie, qu’elle ne le regrettera pas une seconde durant toute sa vie très mouvementée.

Pour l’amour des femmes.

C’est une amoureuse inconditionnelle des femmes, et plus question pour elle qu’un homme la touche.

C’est une révoltée et ne se gênera pas à le crier haut et fort, elle avait une certaine détestation des hommes, qui pourtant se sont ingéniés à lui tourner autour, s’imaginant qu’eux étaient meilleurs que les autres, quelle prétention se disait-elle ?

Elle défendra avec acharnement le droit des femmes, féministe jusqu’au bout des doigts, elle ne lâchera rien.

Cette femme, née au Vietnam, était licenciée en droit, autrice de plusieurs ouvrages sur les relations entre femmes, en plus de son occupation principale de directrice de discothèque réservée aux lesbiennes, ou beaucoup de femmes du monde se pressaient pour profiter de l’ambiance bien particulière crée par Elula Perrin.

Extraits de “Les femmes préfèrent les femmes” Elula Perrin.

Réflexions sur les hommes qui essayent de fréquenter les lieux lesbiens.

Nul doute qu’énormément d’hommes essayèrent de rentrer dans les établissements créés par l’autrice des sujets qui vont suivre.

Sextoy et lesbiennes

Ils nous considèrent comme des copines et nous sommes plus agréables à regarder qu’un copain en complet veston. Ils s’installent au bar, ne s’intéressent pas à ce qui se passe sur la piste de dame, boivent, bavardent, se détendent, paient et s’en vont. De ceux-là, je dis, en parlant d’eux “Ce ne sont pas des hommes, ce sont des amis.”

Les “à problèmes” les torturés, les impuissants, les surpuissants, les masochistes, les timides, les trop sûrs d’eux, bref, les complexés viennent chercher chez les lesbiennes de quoi les rassurer.

Ils prétendent que nous faisons mieux l’amour que les hétéros, parce que nous sommes plus actives, que nous osons prendre des initiatives. Évidemment ! Comment la femme hétérosexuelle pourrait-elle apprendre, dans ce champ clos qu’est le lit coïtal, ou le mâle, en principe, fait la loi, alors qu’il est souvent un autodidacte…..

Ah! voir deux femmes qui s’aiment, verbe magique ! Ils crachent de dégoût sur l’inesthétisme des rapports entre hommes homosexuels, mais baveront d’envie et de plaisirs “purement artistique” sur deux lesbiennes enlacées.

Ils souhaiteront devenir de bons copains, l’ami fidèle, équivoque, en attendant de se glisser inopinément dans le lit des deux femmes pour y planter leur petit drapeau d’endurance…..

La quantité de femmes qui sont devenues lesbiennes “grâce” à leur mari ou à leur amant qui les poussaient dans la mauvaise direction des plans à trois, dans le but de satisfaire uniquement leur envie, le bâton s’est retourné contre eux.

Ce sont ceux qui les poussent, les persuadent, parfois les forcent, à faire des plans à trois qui se retrouvent piégés par eux-mêmes.

L’homme reste un grand prédateur, car il reste toujours un chasseur, même s’il essaye de le dissimuler, le fusil toujours à l’affût, toujours prêts à l’attaque.

Les femmes sont trop timides, trop pudiques pour accepter d’emblée cette combinaison purement issue des méninges du mâle.

Essayer avec une autre femme, mais seule, hors de la présence de l’homme, oui !

Mais devant lui, vous allez être déçue…

Finalement, elles acceptent, elles subissent, s’étonnent, apprécient, en raffolent….Un beau jour, elles s’aperçoivent qu’il y a quelqu’un de trop dans la chambre, dans le lit, et monsieur se retrouvera sur la carpette, on le chasse de sa chambre, de sa vie et il jure, mais un peu tard, qu’on ne l’y reprendra plus.

Combien en ai-je rencontré de ces amants, de ces maris plaqués qui, de ce fait nous détestent, nous traitent de sales gouines, et interdisent à leur prochaine femelle l’approche de nos enfers !

Bien entendu, on dira aux lesbiennes vierges, “comment savoir que vous n’aimez pas une chose si vous ne l’avez jamais goûtée ?

A quoi, je rétorque :

On peut ne pas avoir envie de manger du caca….!

On peut très bien avoir une répulsion de l’homme telle qu’on n’a pas du tout envie de l’essayer.

Je parle de répulsion vis-à-vis de l’homme et non pas de peur de l’homme.

La vie est trop brève, le temps des amours bien trop court pour perdre du temps à la recherche d’un plaisir dont on se passe si bien.

Pourquoi me faudrait-il surmonter mon non-désir du corps masculin, de son grain de peau, de son odeur, de son haleine, de son sexe, de ses poils, moi qui me baigne dans le corps de mes sœurs, yeux grands ouverts, narines palpitantes, mains dévorantes !

Les femmes bisexuelles disent que les hommes ne savent pas bien honorer le sexe des femmes.

Lorsqu’on nous dit que nous sommes des femmes qui ont été “ratées”, parce que “mal baisées”, je souris.

Nous, au contraire, sommes les mieux baisées et celles qui “baisons” le mieux !

Je ne crois pas à la véritable amitié entre les hommes et les femmes, il y a trop de séquelles de colonialisme entre nous.

La situation n’est pas clarifiée. Nous nageons encore dans le paternalisme.

Les hommes peuvent seulement devenir de très bons copains, mais c’est très difficile. Même avec les hommes intelligents, qui ont de la cervelle et non du sperme dans la boite crânienne. Il est difficile d’avoir des rapports de pures camaraderies.

Ils ne peuvent jamais oublier tout à fait que nous sommes de la race des conquises et leur amitié à un, je ne sais quoi de protecteur et de condescendant.

Les hommes sont capables de toutes les fourberies et n’admettent pas qu’on puisse se passer d’eux.

Nos plaisirs entre femmes

Les couples de lesbiennes sont trop souvent rejetées de la société phallocratique, c’est une insulte aux “vrais couples” hétérosexuels, et quel mauvais exemple pour les épouses, elles risquent de faire des comparaisons qui ne seraient pas toujours à l’avantage de l’attelage “monsieur-madame”.

Si j’avais une fille, je lui aurais donné un métier indépendant et surtout suffisamment rémunérateur pour ne pas avoir besoin du portefeuille d’un quelconque porte phallus.

Tirer un coup est une expression masculine qui veut bien dire ce qu’elle dit: on appuie sur la détente, bang ! la cartouche explose et c’est fini…

Notre jouissance à nous est une implosion.

Elle se développe et arrive à son terme dans les profondeurs de notre ventre, comme les éruptions volcaniques qui bouleversent les abysses des océans. Ce n’est pas l’ETNA et sa lave dégoulinante, c’est une houle somptueuse qui irradie de notre ventre et éblouit jusqu’à notre cerveau.

Le corps à corps de deux femmes n’est pas la guerre. Notre lit n’est pas un champ de tir, nos draps ne sont pas les témoins de combats de pancrace ou de lutte gréco-romaine. Il n’y a pas de dominantes, ni dominées, ni vainqueurs, ni vaincues. Je te donne et je prends, tu me donnes et tu prends.

Femme, ma sœur, ma complice, ton territoire ne m’est pas étranger. Je préfère tes vallées ombreuses aux pics crevant les nuages, le satin de ta peau semblable au mien, les gémissements qui sourdent de toi, aux acharnements des bûcherons, l’arpège de tes doigts aux trépidations du marteau-piqueur. Je connais ton corps comme le mien, je sais donc les caresses que tu aimes, car ce sont les mêmes que je désirerai obtenir de toi.

Ah ! que notre sexualité intéresse le commun des hommes et comme ils la connaissent mal.

Hélas pour eux ! Je n’ai pas l’intention de décrire ici l’amour que se font deux femmes.

Nos caresses resteront rigoureusement secrètes.

Laissons haleter ces hommes dont le plus gros fantasme est d’avoir deux femmes dans leur lit.

Ce sont eux qui incitent leurs épouses à ces parties à trois auxquelles elles n’avaient jamais songé.

Pour les hommes, la fille en plus, c’est le piment, le ketchup, le poivre, du moins, le croient-ils..! misère, misère !

80% des femmes hétéros qui essayent deviennent bisexuelles ou lesbiennes !

Histoire d’amour entre femmes homosexuelles et bisexuelles.

Le sommet de l’érotisme, c’est le saphisme.

Il y a mille exemples d’histoires de femmes qui aiment les femmes, des histoires saphiques, des histoires entre lesbiennes dans le bon sens du mot, car ce mot « lesbienne » est trop souvent galvaudé, et utilisé de façon très péjorative, alors que c’est en fait toute la quintessence de la sensibilité, de la sensualité, de l’érotisme au féminin, aucune relation hétérosexuelle ne peut égaler ce monde de sensualité.

Je vais vous raconter une vie de femme homosexuelle hors norme, il s’agit des aventures amoureuses de Nathalie Clifford Barney.

Cette jolie femme est née au USA en 1876, c’est l’une des filles d’un riche américain dans l’Ohio.

Cette jeune femme à dés, son jeune âge vibré pour la gent féminine, à cet âge il ne se passait rien, mais les regards de Nathalie étaient sans cesse dirigés vers d’autres femmes, elle n’avait d’yeux que pour ses semblables, les femmes exerçaient sur elle une irrépressible attraction, sans qu’elle sache encore qu’elle était la nature de cette attirance.

Très tôt, elle sera attirée par les lumières de la ville, et Paris à cette époque était un espace de renouveau, de liberté, car les mœurs y étaient libres, et discrètes. Le père de Nathalie connaissait déjà le côté libertaire de sa fille, et pour cette raison, il hésita un bon moment avant de céder à la demande de sa fille, de partir en France, pour goûter aux joies libertaires de Paris.

Puis devant l’insistance de sa fille, le père céda, et laissa sa fille plier bagages, pour s’embarquer sur le premier paquebot en partance pour le vieux continent.

Le voyage se fit en compagnie de sa mère, et de sa sœur.

Des sensations à en perdre la raison, le lesbianisme est incomparable.

Le temps viendra confirmer cette envie sous-jacente, de plus, Nathalie est particulièrement séductrice avec les femmes, et plus tard, elle n’hésitera pas à entreprendre les femmes qui lui plaisaient, qu’elles soient ouvertement homosexuelles ou hétérosexuelles, d’ailleurs, ces dernières, les hétérosexuelles, lui tombaient souvent dans les bras, pour ne pas dire dans son lit.

Quant à notre séductrice, elle affichait sans fard son homosexualité, et était très fière d’être lesbienne.

Les cibles de choix de Nathalie étaient parmi la bourgeoisie, la classe des intellectuelles en vue dans le milieu mondain, car notre séductrice et conquérante avait de l’ambition.

L’une de ses conquêtes fut une mondaine parisienne, en la personne de Liane de Pougy.

Liane de Pougy, était une cocotte, une courtisane, une danseuse, qui était également très recherchée par les hommes, toujours à l’affût d’un gibier. Mais ces messieurs devaient sortir leur argent, car les plaisirs possibles avec Liane de Pougy avait un prix, et cette fantaisie était réservée uniquement pour les bourses bien remplies, l’argent reste roi dans le domaine du sexe, comme ailleurs. C’est donc en faisant le commerce de son corps auprès de ces messieurs en manque que Liane gagnait sa vie.

Mais, la jeune Nathalie qui était en relation très amoureuse privilégiée, n’entendait pas vivre cette double vie avec Liane de Pougy, comment voulez-vous que Nathalie, qui avait horreur des hommes, accepte de partager sa vie avec une courtisane, certes jolie et séductrice, mais qui faisant commerce de son corps avec les hommes, pour Nathalie, c’est incongru, inimaginable, une faute de goût.

D’ailleurs, nous pouvons nous demander comment une femme, Liane de Pougy, qui aimait beaucoup les femmes, pouvait offrir son corps à des hommes, même pour de l’argent ?

Pour cette raison, la liaison pourtant torride entre Nathalie et Liane, n’excédera pas la durée d’un an, car l’orage grondait en permanence dans ce couple de femmes, avec des scènes de jalousie à répétition, c’était une relation pour le moins tumultueuse.

L’usure du couple existe aussi entre femmes, c’est alors que Nathalie lasse des frivolités de sa compagne Liane, alla à la rencontre d’autres femmes, dont Renée Vivien,

Néanmoins, Liane de Pougy gardera toujours un excellent souvenir de son amante Nathalie, et d’ailleurs Liane de Pougy rédigera un livre, à ce sujet, dont le titre est « Idylle Saphique », qui relate sa passion homosexuelle amoureuse avec Nathalie. Ce fut un succès littéraire, que l’on peut toujours lire aujourd’hui.

Il en fut de même avec Renée Vivien, qui écrira aussi des ouvrages, dont, Études et Préludes en 1901.

Les relations amoureuses entre femmes, ne sont pas toujours apaisées, et sont également empreints de jalousie, et de tumulte.

Ce qui fut encore le cas entre Nathalie et Rénée Vivien, qui malgré un voyage sur l’ile de Lesbos, se soldera par une séparation dramatique, et Renée Vivien raconte cet amour dans l’un de ses livres, dont, « Une femme m’apparut »

Nathalie, cependant jalouse et exclusive, n’hésitait pas à sortir avec plusieurs femmes sans en dire mot à aucune d’entre elles, mais les femmes ne sont pas folles, et si certaines acceptent la situation, d’autres se rebellent.

Cette situation ne manque pas d’attirer des rancœurs et de la jalousie, propre aux histoires d’amours passionnelles.

Mais en 1909 Renée Vivien décède suite à une maladie, aggravée par la toxicomanie, et l’alcoolisme, c’est la fin tragique de cette relation amoureuse.

Notre Nathalie est affamée de relations amoureuses entre femmes, elle va collectionner ses relations homosexuelles.

Nathalie profite de son pouvoir de séduction pour attirer les femmes dans son lit, comme Eva Palmer, Olive Custance, Colette, Emma Calvé, Henriette Roggers, Mata Hari, la liste est longue, car Nathalie accumule les conquêtes, sans compter les femmes d’un soir très nombreuses.

La beauté des femmes.

Elle fréquenta aussi Lucie Delarue Mardrus, connue pour ces poèmes merveilleux.

Puis, avec le décès de son père, Nathalie hérita d’une petite fortune, ce qui lui permet d’acheter une résidence à Paris au 20 rue Jacob, cet endroit sera le point de rencontre des relations homosexuelles de Nathalie, et tous les grands noms de la bourgeoisie féminine parisienne passera par cet endroit, lieu de tous les possibles dans les relations homosexuelles entre femmes, les parties fines entre femmes y étaient courantes.

Les hommes, comme Remy de Courmont, toujours à l’affût des lesbiennes, feront des pieds et des mains pour approcher Nathalie, mais rien n’y fera, les relations avec les hommes sont proscrites avec Nathalie, pourtant certains y ont dépensé des fortunes pour tenter de conquérir Nathalie, c’est bien mal connaître les lesbiennes.

Parmi les femmes préférées de Nathalie, il y avait la femme peintre, Romaine Brooks, avec laquelle elle vivra très longtemps.

Si la relation amoureuse entre Nathalie et Liane de Pougy fut assez courte, elle n’en sera pas moins intense, brulante et tumultueuse, d’ailleurs Liane de Pougy rédigera un ouvrage « Idylle Saphique », qui relate en grande partie cette aventure amoureuse entre deux femmes folles l’une de l’autre.

Dans les années 1910, Nathalie partagera sa vie amoureuse avec  la peintre Romaine Brooks, lesbienne, née à Rome en 1874 sous son nom de jeune fille Béatrice Romaine Goddard. Puis Romaine épousera en 1903 un musicien pianiste, lui-même gay, pour respecter les conventions de cette époque, mais ils établissent un accord comme quoi, ils ne divorceront jamais, et ne vivrons jamais ensemble, en contre-partis de quoi, Romaine ayant fait un gros héritage de son grand-père, versera à son pseudo mari une pension.

L’union Romaine et Nathalie durera plusieurs années, et le 7 décembre 1970 Romaine Brooks décédera à Nice.

Liane de Pougy vivra jusqu’en 1950, et finira par se marier avec un homme, qui n’est autre que le Prince Georges Ghika, ce qui permettra à Liane de Pougy de vivre à l’abri du besoin et aussi de voyager dans le monde sans souci matériel, mais également aussi sans amour. Quant à Nathalie Barney, elle vivra jusqu’en 1972, et s’éteindra a Paris à l’âge de 96 ans.

Histoire lesbienne de femmes qui aiment les femmes.

Les plaisirs de l'homosexualité entre femmes.

Avez-vous lu le livre de Mathilde Ramadier, ayant pour titre évocateur « Vivre fluide », ou déjà s’inscrit en filigrane une revendication tout à fait naturelle pour nous les femmes, c’est-à-dire avoir enfin la liberté de choisir notre vie sexuelle. Mais pour aller plus loin, les choses peuvent être plus compliquées, car il y a encore des freins à certains types de rencontres, surtout si elles sont teintées d’intentions homosexuelles entre femmes, si les femmes revendiquent la liberté de choisir, alors, elles sortent d’une société hétéronormée, phallocratique, un sacrilège !Notre société est conditionnée par des siècles d’une dictature religieuse bien pensante et certaine de détenir la vérité en la matière. De plus, les hommes ont fait main basse sur la liberté des femmes, certains de leur pouvoir, et persuadés d’être le centre du plaisir. Si encore de nos jours, l’homme pense être au centre du bateau plaisir, alors, il se trompe magistralement, c’est une grave erreur, c’est du nombrilisme, du phallocentrisme. Revenons en arrière dans le temps, celui de la prise de conscience, par les femmes, du droit tout simple, d’accéder enfin à la liberté de vivre comme nous le voulons.

Nous avons le droit de choisir nos vies sexuelles, nous ne sommes pas des objets ! L’éclosion féministe commence véritablement après la première guerre mondiale de 1914-1918…

La liberté féminine arrive enfin ! Après la première guerre mondiale de 1914-1918 le monde ouvre les yeux et voit le résultat des horreurs que seuls les hommes sont capables de faire. Des millions de morts, de blessés, de mutilés, d’aliénés mentaux devenus fous sous le déluge de feu que le ciel a fait tomber sur eux, des champs entiers sont couverts de tombes, et bien heureux ceux ayant une sépulture, des militaires, des civils, hommes, femmes et enfants payent le prix du sang. Combien de familles endeuillées, combien d’orphelins, combien de femmes ne retrouverons jamais l’être aimé, il a donné sa vie, ou plutôt l’histoire est venue lui voler sa vie, il n’ira plus aux champs faucher le blé. La vie va reprendre, c’est le sens des événements, la vie est plus forte que la mort. Les femmes, ont, elles aussi, largement contribué à l’effort de guerre, elles ont travaillé dans les usines à fabriquer des bombes destinées aux voisins d’en face. Et réciproquement bien sûr. C’est alors que va naître un mouvement de fond chez les femmes, le féminisme, qui jusque-là était souterrain, donc confidentiel. L’émancipation des femmes est la rançon de ce qui leur est dû, la liberté dont elles sont privées depuis des temps immémoriaux.

La première des libertés revendiquées dans les années folles de 1920 à 1940 et encore après, sera la liberté sexuelle, le droit de choisir sa sexualité, de revendiquer les plaisirs qui jusque-là étaient réservés au genre masculin, le monde étant phallocentré, comme si le phallus de l’homme était un passage obligé pour nous les femmes d’avoir du plaisir. Mais après cette guerre, c’est le réveil des sens, une frénésie du bonheur s’empare d’une classe intellectuellement ouverte sur le monde qui s’offre à eux. Les cafés, les cabarets, les restaurants, s’emplissent d’hommes et de femmes qui veulent en découdre avec les interdits sociétaux. Mais ce phénomène touche surtout une catégorie de gens, la bourgeoisie parisienne, la capitale devient le centre de la luxure.Les coquins et coquines sont à la fête dans ce Paris, ou tous les chats sont gris, tout est possible. Et les escapades sexuelles fleurissent comme au printemps.Les femmes prennent leur envol, l’homosexualité féminine arrive au grand jour, de même que la bisexualité entre femmes, des grands noms de la société s’affichent sans vergogne pour montrer à la face du monde, voyez, nous faisons ce que nous voulons maintenant, et nous découvrons des plaisirs jusque-là cachés.

Les lesbiennes et les femmes bisexuelles osent désormais se montrer, et revendiquer la découverte des plaisirs sexuels entre femmes, et c’est une immense révélation. Des grands noms comme Nathalie Clifford Barney, Gertrude Stein, Sylvia Beach, Colette et bien d’autres, vont s’afficher ouvertement en compagnie de leur compagne du moment, certaines d’entre elles vont d’ailleurs vivre une véritable histoire d’amour entre femmes, nous en reparlerons plus tard, car c’est simplement du merveilleux. Nous avons connaissance de ces histoires d’amours entre femmes, grâce à diverses correspondances et ouvrages littéraires écrits pas certaines autrices des faits. Il y a aussi des rapports des institutions policières et juridiques également. Le développement de l’homosexualité et de la bisexualité entre femmes est surtout à cette époque visible dans le milieu artistique et intellectuel. Il y a aussi un fort mouvement de libertinage féminin sexuel dans la classe populaire, qui se produisait déjà durant la guerre elle-même, Mais il est plus difficile à quantifier, car il reste confiné sur une catégorie de la population, qui ne s’exprimait pas sur ce sujet demeuré très tabou. Ma grand-mère, une ouvrière, disaient que dans son quartier ouvrier sur Paris, elle savait que des femmes couchaient avec leur voisine de palier, et ce n’était pas si rare que ça, des rencontres tricots sur le lit n’étaient pas un événement. Mais ce genre de rencontre entre femmes était vraiment sous le sceau du secret, tant le quand dira-t-on populaire était en embuscade, et prêt à bondir sur le moindre événement, avéré ou non d’ailleurs. Cependant, que ce soit dans les milieux bourgeois ou plus modestes, la phraséologie était encore pleine d’allusions pour désigner ou parler des femmes qui sortaient avec des femmes, le mot “lesbienne” était un gros mot, ce qui semble être encore le cas de nos jours. D’ailleurs, si vous tapez “lesbienne” sur google, vous n’allez pas tomber sur des bandes dessinées pour ado, mais immanquablement sur des sites destinés aux adultes, c’est une insulte ouverte au monde LGBT, les gens bien d’un côté, les montres de l’autre, voila un monde bien manichéiste.Les femmes homosexuelles et bisexuelles se trouvent dans une bonne partie de la société bourgeoise et bien pensante, incluant des protestants, des catholiques et d’autres religions, le sexe n’a pas de croyance.L’église est comme toutes les institutions de ce monde, elle a des thèmes et des pratiques.En théorie, elle condamne à l’enfer, ce pécher de chair. En pratique, elle leur donne l’absolution et les envoient au paradis. (In La prostitution devant le philosophe. 1881- Charles Richard) Oui, les lesbiennes partent bien au paradis comme le disait d’ailleurs Colette, ces plaisirs que l’on nomme à la légère “physique”, vont bien au-delà et que le cœur et l’esprit y participent tout autant..

Une relation entre femmes, n’est pas que physique, elle s’accompagne d’une merveilleuse alchimie composée d’un savant et mystérieux mélange de sororité, d’amitié, d’admiration, de douceur, de poésie. C’est en fait un signe de maturité dans une société pleine de préjugée et parfois opprimante. Il faut savoir aussi que la bisexualité chez les femmes ne conduit pas à une appartenance sexuelle, cela va de soi.Au 19e siècle, le terme le plus courant pour parler des femmes bisexuelles ou homosexuelles était plutôt “amitiés féminines”, terme plus générique qui permettait de faire un peu office de paravent cachant un peu ce que l’on voulait y mettre.Puis au début du 20e siècle, le corps médical concluait que la société “normale” était incontestablement l’hétérosexualité, et classait donc de ce fait les autres sexualités dans la case “atteinte psychique” d’où des thérapies de conversion pour revenir dans la norme sociétale du moment. D’ailleurs, à ce sujet, le célèbre mathématicien Alan Turing, qui à découvert le code secret de l’armée allemande durant la dernière guerre mondiale, en craquant le chiffrage de la machine “enigma”, était homosexuel, alors après la guerre, la société anglaise lui proposa, en lui forçant juste un peu la main, de subir une thérapie de conversion pour devenir hétérosexuel, mais voila Alan Turing ne supporta pas ce cocktail de folie, et il finit hélas par se suicider dans les années 50. L’Angleterre se décida à présenter des excuses à cet homme qui fut un très brillant scientifique, et rendit un immense service non seulement à son pays, mais au monde entier évitant de saigner encore un peu plus l’humanité. Cette perte magistrale montre combien il est difficile d’être différent, pas une tête ne doit dépasser du rang, il ne faut pas être trop grand, et pas trop petit non plus sous peine de devenir invisible. La norme, encore en vigueur dans beaucoup d’esprit, reste malgré tout l’hétérosexualité, le genre masculin domine le monde avec son phallus, croyant à tort qu’il est bien le seul pourvoyeur du plaisir pour nous les femmes. Mais voilà, ne pas confondre procréation, ou l’intervention du phallus “peut” être nécessaire, et plaisir sexuel. Si ce plaisir est au bout du rapport sexuel pour l’homme, il n’est en rien garanti pour nous les femmes. Les années folles qui accompagnent la libération des femmes démontrent que la sexualité entre femmes procurent bien plus d’orgasmes, plus fréquents, plus intenses, c’est le nirvana de la sexualité, ceci est un véritable pavé dans la mare des plaisirs sexuels. Ce mythe, confortablement installé depuis des générations, tient aussi à l’illusion entretenue par les femmes qui simulent l’orgasme lors de leur rapport hétérosexuel avec leur mari ou leur compagnon, en effet des enquêtes sur ce sujet montrent que 47% des femmes simulent régulièrement l’orgasme, pourtant 81% des hommes croient leur que partenaire n’a jamais feint de jouir avec eux, les soupirs ne valent pas toujours plaisirs orgasmiques: et cette ruse est bien souvent mise en place pour une raison alarmante, qui est d’écouter le rapport sexuel. 91% des femmes ont déjà simulé l’orgasme, c’est le chiffre révélé par Gleeden à l’occasion de la journée mondiale de l’orgasme du 21 décembre 2006, par l’association anglo-saxonne “The Global Orgasm”, et 11% des femmes simulent la jouissance à chaque rapport sexuel. Un vrai jeu d’acteur en fait. Pourquoi les femmes simulent-elles l’orgasme ? Pour faire plaisir à leur partenaire. Elles cherchent en fait à booster l’égo de leur partenaire pour ne pas le vexer. Mais aussi, et malheureusement, pour écourter le rapport sexuel.

Sensualité lesbienne.

Une autre facette de la sexualité féminine, mise à l’étude en 2018, par le Psychologue USA, Justin J. Lehmiller, sur un échantillon de 4175 femmes, montre que 59% des femmes disent avoir des fantasmes sexuels avec d’autres femmes, ce qui vient confirmer de précédentes études faites une dizaine d’années auparavant, ce qui vient confirmer que les femmes ont une sexualité plus fluide que les hommes.

Cependant, peu de femme osent avouer leur bisexualité au grand jour, car nous restons hélas dans une société très hétéronormée. La bisexualité des femmes reste aussi un grand fantasme masculin, ce qui les poussent souvent à proposer à leur femme ou leur compagne, le fameux plan à trois, mais quelle erreur encore, car l’approche sexuelle des relations entre femmes n’a absolument rien à voir dans ses actes avec l’approche masculine.  La sexualité de la femme est tout en subtilité, et passe par son cerveau. Si la presse féminine fait périodiquement l’apologie de la sexualité lesbienne, en mettant en avant que les femmes ayant des rapports sexuels avec d’autres femmes, ont des vies plus épanouies, car les enquêtes font états de “plaisirs inouïs”, avec des orgasmes en cascades.

Les lesbiennes seraient maitresses dans l’art et la manière, comme l’évoque d’ailleurs un texte du début de notre siècle dont l’autrice est une admiratrice de Sappho, en la personne de Lucie Delarue Mardrus. Hommes et femmes, nous avons les mêmes mains, mais il semble que les lesbiennes soient maîtresses en l’art et la manière. Le magazine féminin “Elle” ne disait-il pas dans l’un de ses articles “Jouis comme une lesbienne”, c’est déjà une ode et une invitation aux plaisirs entre femmes.

Les lesbiennes ont plus d’orgasmes. En effet, Une étude américaine publiée en 2017 par Kinsey institute sur un échantillon de 53.000 personnes, montre que 86% des femmes homosexuelles disent atteindre l’orgasme, contre 65% des femmes dans les rapports hétérosexuels. Cette différence ne se retrouve pas chez les hommes, car les hommes hétérosexuels disent atteindre l’orgasme dans 95% des cas, tandis que les hommes homosexuels jouissent dans 89% des cas, il y a donc peu de différence chez les hommes. La palme de l’orgasme revient de ce fait sans discussion aux femmes ayant des rapports entre elles. Le malentendu dans l’art et la manière, car 30% des hommes pensent que la meilleure façon de parvenir à l’orgasme pour une femme est la pénétration vaginale. Et 91% des lesbiennes disent atteindre l’orgasme en combinant stimulation génitale et sexe oral, sans être  pénétrée au niveau du vagin d’ailleurs.En fait, les femmes peuvent prendre leur temps, parce qu’elles n’ont pas l’obligation de maintenir une érection à tout pris, c’est le couperet de l’éjaculation. Les femmes ayant eu un orgasme peuvent continuer aussitôt vers d’autres orgasmes. Il y a une sorte d’injustice dans la nature elle-même, mais ne faudrait-il pas une autre éducation ? Revenons à nos années folles de 1920- 1940

Quand deux femmes s’aiment, tout est possible.

Cette période folle, voit l’émergence de la garçonne, femme libre, mais d’un milieu bourgeois, fréquentant le Paris select de l’époque où le champagne coulait à flot. La garçonne s’impose comme le nouveau modèle féminin des années 1920/1930. En effet, comme je le disais au début de mon blog, après la première guerre mondiale, les femmes viennent occuper le centre de l’échiquier des libertés féminines, elles veulent affirmer leur indépendance dont elles sont privées depuis des générations, les hommes dictant le comportement des femmes en privé et dans la société, la femme était la chose de l’homme ! L’homme est sujet, la femme est objet….(Simone de Beauvoir, “le deuxième sexe”) Cette indépendance, cette émancipation féminine se voit dans la vie, par la nouvelle mode “garçonne” qu’un certain nombre de femmes émancipées arborent sans vergogne au nez et à la barbe d’un monde qui les avaient ostracisé depuis fort longtemps. La mode garçonne se traduit, dans les faits, par une coupe de cheveux plus courte, donnant ce  nom  à la couleur androgyne, à la femme qui en est porteuse. Puis les femmes adoptent une silhouette plus mince, longues jambes, poitrine plus discrète. La presse ne tarde pas à emboiter le pas en arborant des publicités offrant des corsets permettant de contenir quelques rondeurs non encore maîtrisées. Les cheveux sont courts, couverts par un chapeau très élégant, quant aux pieds, ils sont aussi de la fête, et les souliers à talons bas soulignent cette nouvelle mode.

La cosmétique fait une apparition très remarquée sur les marchés et les grands magasins qui profitent largement de ce nouvel élan, il y a du soufre dans l’air me direz-vous ! Les femmes s’initient à l’art du maquillage, leur permettant ainsi de soustraire aux regards quelques imperfections ou traces du temps. Le sport devient également une prise des femmes pour entretenir sa forme et garder une ligne attractive. La mode des cheveux courts avait été lancé par Joséphine Baker et les Dolly Sisters. Mais cette nouvelle mode n’est pas du goût de tout le monde, elle dérange la société bien pensante, c’est une mode décadente disent certains. Une fois de plus c’est la religion qui vient mettre son nez là, ou elle n’a rien à y faire. C’est une atteinte notoire à la liberté de chacune. En 1921 de nombreuses ligues féminines chrétiennes lançaient un appel aux grands couturiers et aux grands magasins, contre cette mode jugée “inconvenante”. Par exemple, l’Union des œuvres féminines, (à destination des grands magasins et grands couturiers de Paris) écrivait ceci: Nous vous prions de nous aider à mettre un terme à l’inconvenance et à l’immoralité des modes actuelles.

1°) En ne créant ni en ne vendant aucun modèle qui blesse la morale

2°) En abolissant l’usage du décolleté déplacé, de l’étroitesse et de la courtesse exagérée des jupes, en prohibant l’emploi abusif des étoffes transparentes.

3°) En supprimant dans les toilettes tout ce qui sent le débraillé et le vulgaire…

Certaines femmes tirent également à boulets rouges sur les soins de beauté et la cosmétique. Malgré ces critiques virulentes, agressives parfois, la mode garçonne trace sa route assumant tout simplement le mouvement d’indépendance des femmes en général..

Femmes homosexuelles, un monde d’érotisme et de sensualité.

Le lesbianisme.
Lesbiennes des années folles.

Les immenses plaisirs d’une relation homosexuelle entre femmes.

L’homosexualité féminine, si elle a toujours existé, est sortie de l’ombre pour venir sur le devant de la scène, avec, enfin, la libéralisation et l’indépendance des femmes, dans la deuxième moitié du XIX siècle. Les freins à cette apparition sont multiples, les convenances, la religion, les hommes qui supportent mal que les femmes puissent avoir plus de plaisir entre elles, plutôt qu’avec un homme, c’est la démonstration que le phallus n’est pas le seul générateur de plaisir et d’orgasme pour nous les femmes. Mais cette émancipation féminine reste tout de même encore réservée à des milieux comme la littérature, les arts en général, la bourgeoisie des villes, c’est un peu un entre-soi. Ces plaisirs saphiques, certes pas nouveaux, émoustillent les hommes, qui tout en critiquant allègrement les femmes, aimeraient bien entrer dans la danse, mais non messieurs, vous n’êtes pas les bienvenus chez nous, les lesbiennes, ou les gouines, ou bien aussi, goudou comme le disent beaucoup d’hommes, Paris est devenu un lieu incontournable pour les rencontres entre femmes, cabarets, music-hall, cafés, hôtels et appartement pour rencontres coquines entre femmes. Cette vague de fond du libertinage entre femmes explose, et beaucoup de femmes y gouttent, et surtout l’adoptent, même les femmes mariées hétérosexuelles s’adonnent en cachette à ce monde des plaisirs saphiques.

Quand je vous disais que les femmes avaient enfin la possibilité de s’aimer entre elles dès la deuxième moitié du XIX siècle, ce n’est pas tout à fait exact, car au début du XIX siècle, deux femmes se marièrent à l’église en Grande-Bretagne. Ce fût le premier mariage homosexuel entre femmes de l’histoire, mais sans reconnaissance officielle.

Voici brièvement ce conte de fée.

En 1834, deux femmes, nées en Grande-Bretagne, se marièrent à l’église de Holy Trinity de York. Ces deux femmes étaient d’une part, Anne Lister, née en 1791 à Halifax, et décédée dans le Caucase le 22 septembre 1840, c’était une riche héritière. Sa compagne, Anne Walker ,était aussi une riche héritière, née en Grande-Bretagne le 20 mai 1803, décédée en Grande-Bretagne le 25 février 1854. Ces deux femmes étaient éperdument amoureuses l’une de l’autre, d’ailleurs, à la mort d’Anne Lister, alors en voyage toutes les deux dans le Caucase, sa compagne, Anne Walker, la fera embaumer, afin de pouvoir ramener son corps en Grande-Bretagne, ce voyage de retour sera compliqué et durera environ 7 mois, puis Anne Lister sera enfin inhumée dans le caveau familial de la famille Lister à Halifax. De son vivant, Anne Lister entretiendra une abondante correspondance amoureuse dont les passages qui parlent ouvertement de sexe entre femmes seront codés, ce codage ne sera résolu que très tardivement, bien plus d’un siècle plus tard.

Plus près de notre époque, année 1960/80, vous aviez une femme courageuse et combattante au sujet du droit des femmes, il s’agit de la reine des nuits lesbiennes, Madame Elula Perrin, qui défendait bec et ongles le droit des femmes qui aimaient les femmes, elle fut aussi directrice des établissements Katmandou et Privilège, pour les femmes seulement.

De plus Elula Perrin écrira plusieurs livres pour crier son amour des femmes, mais aussi sa haine des nombreux hommes qui ne respectent pas les femmes et leurs désirs lesbiens. Cette femme commencera sa vie comme hétérosexuelle, et ayant découvert le saphisme lors d’un voyage au Maroc avec son mari, lui avouera sa nette attirance pour les femmes, et donc à partir de ce moment, le couple se séparera pour toujours, le chemin d’Elula sera maintenant ouvertement vers et avec les femmes.

Je reproduis ici le début de son livre « Coup de gueule pour l’amour des femmes »

Ce texte est une partie du prologue.

Voici donc !

« Homme, je te hais !

Érigé sur un monde que tu domines d’une courte queue, campant sur tes positions millénaires, tu prétends encore et toujours dominer l’univers et régir la vie des femmes. Tu te crois toujours liberté éclairant le monde quand tu n’es qu’une torche en voie d’extinction ; tu te penses caste privilégiée quand tu n’es plus qu’un asile de ‘has benn’ frileux protégeant avec acharnement leurs privilèges. Depuis des mille et mille ans tu tiens sous ta coupe la femme, ma sœur. Tu l’as si bien conditionnée, dressée, matée, bâtée, qu’elle a du mal à redresser la tête. Ou est passé le féminisme flamboyant des années 75, malgré ses outrances et ses luttes intestines qui ont sans doute causé sa perte et sapé sa crédibilité ? Yvette Roudy, ministre de la condition féminine, s’était attiré les quolibets pour avoir protesté contre un spot télévisé montrant une femme dansant avec une serpillière. Depuis, les féministes ont capitulé. Elles sont devenues muettes……. Elles ont baissé les bras, sont rentrées dans le rang, manger dans la main de l’homme détenteur du fric et de la toute puissance. Alors, enhardis et sans vergogne, les publicitaires se sont déchaînés. Les femmes nues ont envahi la pub, toute la pub. Tétons, cul, orgasme sont là, non pas pour eux même, mais pour vanter des voitures et des machines à laver. La ménagère modèle nage dans des poudres plus blanches que blanches, brandit des tornades nettoyantes et nous confie que ses ragnagnas sont endiguées par des couches plus larges et plus étanches…… » C’était juste hier, et à votre avis, qu’est-ce qui a changé ?

Mais l’homosexualité entre femmes, c’est-à-dire le saphisme qui était extrêmement répandu depuis cette fin de siècle, suscitait pourtant des commentaires désapprobateurs de la part de nombreuses personnes, surtout des hommes, qui pour certains avaient pignon sur rue, le saphisme était considéré comme une anomalie, un vice de société. D’ailleurs, Léo Taxil, dans son livre sur ‘la corruption fin de siècle’ (écrit en 1909) parlera de « plaie sociale » au vu du nombre important de femmes qui se livraient avec entrain, aux joies du saphisme.

Dans son livre, il dit ceci.

Aux dernières élections municipales de Paris, quelques candidats, parmi ceux qui laissaient la politique au second plan, ont poussé un cri d’alarme : Paris disaient-ils dans leurs professions de foi, Paris est devenu un foyer de corruption ; le vice sort des égouts et envahit les trottoirs. Les quartiers qui jusqu’à présent, n’avaient pas été atteints par l’horrible lèpre de la prostitution sont infectés comme les autres, les filles publiques racolent aux alentours de Saint-Sulpice, exactement comme sur les boulevards extérieurs.Eh bien c’en est trop, notre capitale ne doit pas être le lupanard de l’Europe. Il faut réagir.

Mais cette protestation n’a pas été entendu !

Suite du livre de Leo Taxil. (1909)

Le saphisme….

Ainsi que le sadisme, le saphisme a pour origine le lupanard officiel, il est facile de comprendre que ce vice féminin contre nature a pour cause indirecte l’aberration génétique masculine. Le nom de ce vice vient de Sappho, la courtisane-poète, qui s’y adonna. Une femme qui aime une femme est appelée saphiste, on dit aussi lesbienne, parce que les habitantes de Lesbos étaient accusées de cette dépravation, ou encore tribade, qui veut dire frotter.

La propagation effroyable du saphisme hors des lupanards en est la meilleure preuve. Beaucoup de filles de maison pratiquaient le saphisme, et beaucoup de filles publiques pratiquaient également le saphisme. Mais en fait, la plupart des femmes disent ne pas pratiquer le saphisme, car elles sont discrètes.

La pratique du saphisme dans les lupanards touche surtout une clientèle de luxe. Au bois de Boulogne dans l’allée des poteaux, des femmes racolent d’autres femmes, qui arrivent en calèche accompagnées de leur petit caniche, signe fréquent de reconnaissance.

Ce racolage dans l’allée du bois de Boulogne se pratique plutôt le matin à partir de 10 heures et jusqu’à midi. Puis, c’est ensuite sur les Champs Élysée que se pratique ce racolage, à partir de 16h jusqu’à la tombée de la nuit, les bourgeoises emmènent ensuite leur fille dans un restaurant dans le quartier des halles centrales, pour avoir ses faveurs à l’hôtel, ou même dans leur calèche.

Les délices sexuels lesbiens de Mélissa.

Les plaisirs sexuels entre femmes.

Mélissa est assise juste devant moi sur le canapé, il fait chaud, dehors, c’est le grand calme, pas un bruit en ce dimanche. Je la regarde alors que visiblement Mélissa, toujours aussi lascive, ne me voit plus, elle est absorbée par un livre qui semble lui procurer beaucoup d’émois. Son contenu est érotique, je vois le titre d’ici, « Comment avoir des orgasmes par la masturbation », c’est tout un programme. Mélissa est en petite tenue, juste une culotte blanche en coton, un chemisier ample et léger, au travers duquel je peux voir la silhouette de sa généreuse poitrine. Les tétons de Mélissa se dessinent sur le tissu de son vêtement, tandis que sa belle chevelure noire et bouclée tombe harmonieusement sur ses épaules. Ces longues et belles jambes nues sont relevées, elles ont le teint d’une belle métisse de feu. J’adore cette femme, nous vivons ensemble toutes depuis deux ans déjà, et ce n’est que du bonheur. La sexualité de Mélissa est épanouie, rien ne l’arrête, sa vie se conjugue avec harmonie et plaisir. Tandis qu’elle tourne lentement les pages de son livre, moi je n’existe plus. De temps à autre, j’entends Mélissa reprendre son souffle. Son livre dans la main gauche, tandis que son autre main se promène doucement sur son ventre, elle glisse doucement sous son chemisier, je la vois se caresser le ventre, elle est tellement absorbée dans son histoire, que Mélissa est dans un autre monde. Tout ce qui l’entoure n’existe plus pour le moment. Soudain, sans rien dire, Mélissa tourne sa tête vers moi, puis ouvre grand ses beaux yeux, esquive un sourire de satisfaction et sans rien dire, replonge dans sa lecture qui visiblement l’absorbe complètement. Ses jambes sont toujours relevées, mais elles s’écartent légèrement au fur et à mesure de sa lecture, sa main qui explore son ventre semble s’aventurer un peu plus haut, sur l’un de ses seins, elle semble y prendre goût, puis continue à se caresser, un sein, puis l’autre, le tout en dévorant son livre. J’observe que les tétons de Mélissa se raidissent avec le temps, c’est facile à voir au travers de son chemisier un peu transparent et léger, les caresses de Mélissa deviennent de plus en plus insistantes sur sa poitrine, moi, je sais qu’elle est très sensible des seins, elle adore quand je lui lèche le bout de ses tétons. Maintenant, je devine qu’un des doigts de Mélissa tourne autour d’un téton, je suis certaine que sa poitrine va encore gonfler avec son excitation. Oui, ça y est, sa poitrine augmente de volume, et Mélissa attrape l’un de ses deux seins à pleine main,le malaxe avec énergie, alors que sa respiration se fait plus profonde. Elle déborde d’envie, ça ne fait aucun doute. Cette lecture érotique émoustille ma copine. Tout en se caressant énergiquement un sein, Mélissa quitte son livre des yeux un court instant pour regarder dans ma direction et en profite pour me lancer un regard enflammé, comme une invitation à la fête qui se prépare. Moi, je ne bouge pas, je lui souris avec un rictus complice. Alors, Mélissa se replonge dans son histoire sensuelle qui, c’est évident, ne la laisse pas de glace. La main baladeuse de ma copine se promène sur son corps, explorant tantôt le ventre, tantôt les seins, puis sa main dérape. Maintenant la main de Mélissa se trouve sur sa cuisse, puis vite cette main tombe sur l’intérieur de sa cuisse, c’est un endroit où la peau est très fine, une zone sensible, très érogène. Cette fois, elle n’hésite pas, d’ailleurs elle ne s’embarrasse pas de préjugés inutiles et bloquants. Mélissa allonge ses deux jambes sur le canapé, puis passe sa main entre ses cuisses, cette main doit sentir la chaleur de son sexe au travers de sa culotte. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’elle pose son livre sur la table basse juste à côté d’elle, cette fois, elle a les deux mains libres. C’est alors qu’elle s’allonge sur le canapé, écarte encore plus ses cuisses et glisse ses deux mains dans sa culotte, un profond soupir d’aise vient remplir l’atmosphère du salon. Puis, ma copine ressort l’une de ses mains de sa culotte, pour venir caresser l’un de ses seins, complètement gonflé. Une main dans sa culotte, l’autre sous son chemisier s’occupant d’un sein, qui se fait triturer, malaxé, avec petits pincements du téton, avec l’autre main dans sa culotte elle glissait un doigt entre les lèvres de son sexe humide, je voyais de longs et doux mouvements de cette main sous la culotte de Mélissa. L’excitation de ma copine grandissait vite, c’est une nature chaude, elle est très sensuelle. Soudain, n’en pouvant plus, Mélissa attrapa sa culotte avec ses deux mains cette fois, la retira, pour la balancer au travers du salon, sa culotte alla atterrir sur notre plante d’appartement, c’est plus décoratif comme ça ! De nouveau, elle releva ses jambes, les écarta et recommença à caresser son sexe, je la voyais tourner tout doucement, je veux dire lentement autour de son clito avec son index, Puis, pour mieux la regarder, je décidais de changer de place, j’allais m’asseoir aussi sur le canapé, comme ça je suis aux premières loges, à moins d’un mètre de cet objet du désir, le sexe de Mélissa. En fait, elle est vraiment exhibitionniste, Mélissa adore se montrer, Moi, j’aime regarder. La chatte de ma copine est toute luisante, la lubrification est naturelle, son doigt glisse tout seul, et j’entends même quelques légers clapotis quand elle commence à introduire un doigt à l’intérieur de son vagin. Puis son doigt ressort de sa chatte et vient tourner lentement, autour de son clito en érection, le sexe de ma copine est très humide, ce qui rend la scène encore plus excitante. Moi, j’adore regarder ma copine se masturber, d’ailleurs elle le sait bien, elle s’applique, et ça l’excite encore plus. Ce qui est magique, c’est que je ne la touche pas, je la caresse juste du regard, ce qui la rend folle. Sa respiration devient haletante, elle s’accélère, et cette fois son index tourne et s’agite sur son clito, l’instant est chargé d’électricité, l’orage gronde, le tonnerre roule au loin dans les entrailles de Mélissa, je vois sa chatte suinter de plaisir, l’envie déborde, l’instant s’éclaire, un profond râle naît de Mélissa, son orgasme arrive, il est long, puissant, débordant et incontrôlable, c’est l’explosion, Mélissa se déchaîne, éjacule et inonde le canapé. Son corps arc-bouté commence à se détendre, sa respiration ralentit, son souffle plus ténu, elle s’apaise, s’allonge complètement sur le canapé, c’est le repos du guerrier.

L’art du gode-ceinture et jouets sexuels.

L'art d'utiliser le gode-ceinture

Scénario godemichet, les plaisirs saphiques.

Me voici enfin seule chez moi, tranquillement allongée sur mon canapé, un bouquin entre les mains.Je suis en train de lire ou plutôt de déguster des scènes érotiques décrites dans «les 120 journées de Sodome et Gomorrhe, » par le Marquis de Sade. Inutile de vous faire un dessin, mais ça donne chaud, car ce Marquis de Sade a une réputation plutôt sulfureuse en matière de sexualité. Aucun interdit, avec Sade, c’est le monde de la transgression, tout y passe, de la sodomie, à des pratiques dignes des pires scènes sadomasochistes. Durant cette lecture, je navigue dans un monde qui semble irréel, cependant mes yeux sont littéralement scotchés aux pages de mon livre, quant à mon esprit, il est sur un tapis volant, je change de dimensions, ne sachant plus à ce moment, si j’étais dans le réel ou dans un rêve. Au fur et à mesure que j’avale les lignes de mon bouquin, je sentais en moi, une douce température monter, comme si les rayons du soleil passant par la fenêtre, tombaient sur mes pieds, puis remontaient le long de mes jambes nues, car, il faut le dire, je m’étais mise en petite culotte sur mon divan, personne dans ma maison ne pouvant me voir. Tout comme le soleil montant dans le ciel, et réchauffant la terre, ma température commençait aussi sérieusement à monter, mais là, ce n’est pas le soleil qui est responsable de mon état, je nomme le responsable, c’est le livre de Sade, il enflamme mon esprit, et entre mes cuisses je sens comme un air tropical, chaud et humide ? Ma culotte risque de s’en souvenir. Alors que j’étais complètement absorbée par la lecture de mon histoire coquine, très salaces, car avec Sade, ça ne donne pas vraiment dans la dentelle,,,vous êtes directement plongée dans le royaume de la luxure. Je tiens encore mon livre avec ma main gauche, afin de pouvoir attraper avec l’autre main, mon verre de vin qui se trouve juste sur la table basse à côté du canapé. Une gorgée de Bordeaux ne peut pas me faire de mal dans la situation où je me trouve, entre réalité et rêve. Il ne me fallut pas trop d’effort pour reposer mon verre de vin sur ma table basse, libérant du même coup ma main, et plutôt que de reprendre la lecture de mon livre en le tenant de mes deux mains, comme par un automatisme inné, ma main libre vint, comme par enchantement se poser sur mon sein droit, il faut dire que je suis en petite culotte, mais également en soutient-gorge, car étant seule dans mon appartement, toutes les libertés me sont d’offices octroyées. Tout en lisant non pas Proust, mais les 120 journées de Sodome et Gomorrhe du Marquis de Sade, je sentais comme un accès de fièvre m’envahir, ma respiration devenait plus profonde, mes poumons se gonflaient malgré moi, la situation commençait à m’échapper, tant et si bien que mes seins se gonflèrent sans que je n’y puisse rien faire. Ma main posée sur mon gros nichon droit sentait ce sein se gonfler sous l’effet de mes pensées qui vagabondaient dans les nymphes de ma sexualité débridée. Le bout de mon téton devenait dur, il se gonflait d’autant plus que machinalement je me caressais le sein, le faisant durcir encore un peu plus. N’en pouvant plus, mon instinct prit alors le dessus, et d’un geste bref, je fis sauter ma bretelle de soutien-gorge, pour libérer de sa coque ce sein gonflé d’envie. Mon gros nichon enfin libre était maintenant à la disposition de ma main, alors je ne me privais pas de le caresser, le malaxer et pincer le bout de mon téton. Mon excitation allait montante, mes envies incontrôlables, mes idées plus que lubriques, ma main s’échappant de temps en temps dans ma culotte, à la rencontre de ma chatte déjà toute humide. Impossible de résister à ce démon, mon doigt commençait à tourner autour de mon clito en feu, il est en pleine érection, je tourne autour, il durcit, et mon index le sollicite encore, mon plaisir monte, puis, mon livre tombe, car, je ne tiens plus rien, du coup, j’arrache tout mon soutien-gorge, me voici les deux seins a l’air, j’écarte mes cuisses, et sentant ma cyprine couler jusque dans la raie de mes fesses, je n’hésitais pas un seul instant pour rentrer d’abord un doigt dans mon vagin, puis la folie me gagne, alors deux doigts viennent explorer mon vagin dégoulinant de cyprine, c’est mon canapé qui va être à la fête, lui ne sera pas épargné. Mes doigts ne me suffisent plus, alors, comme je suis équipée de jouets sexuels, je vais arrêter ma masturbation, en retirant mes doigts de mon vagin, et me lever pour aller dans ma chambre chercher mon godemichet, un sextoy que j’ai acheté le mois dernier sur internet, Une fois dans ma chambre, il ne me fallut pas bien longtemps pour ouvrir le tiroir de ma commode, et en sortir mon jouet favori, un gode en silicone rose, de 18 cm pas trop large, mais plutôt assez souple, il est très doux au toucher, comme une peau de satin, de plus mon outil est vibrant à volonté, avec sont jeu de pile, je peux l’utiliser à volonté pendant des heures, il ne fatigue jamais, toujours à mon service, Dimanche dernier, comme j’étais seule chez moi, ma copine étant absente, je me suis faite un après-midi d’enfer avec mon joujou, à la fin de l’après-midi, après avoir joui plusieurs fois, j’étais épuisée, Aujourd’hui se présente bien, car la température de ma chambre est idéale pour être nue, alors, je jette ma culotte et mon soutien-gorge sur le fauteuil, et je me retrouve donc complètement à poils, personne pour me voir, alors tout est permis. Mon lit étant juste devant moi, il me fallut juste tomber dessus avec dans l’une de mes mains, le gode facétieux. Me voici sur le dos, mes jambes relevées, et mes cuisses bien écartées, comme ça je peux regarder cette scène coquine dans le miroir qui est juste devant moi, au pieds de mon lit, je trouve cette vision particulièrement excitante, d’ailleurs comme je suis très excitée, ma chatte n’arrête pas de baver, je vois des brillances de cyprine entre mes cuisses grâce au miroir, il faut dire que je mouille beaucoup de façon générale, les brunes sont assez prolifiques de ce côté-là. étant donné mon abondante lubrification naturelle, je n’ai aucun besoin de lubrifiant, les choses sont tout à fait naturelles, normal je reste dans le bio ! De la main gauche, je viens doucement caresser ma chatte, tout glisse à merveille, j’introduis mon index dans mon vagin inondé de cyprine, ça déborde, et mon nectar coule entre mes fesses, je sens ce liquide descendre vers mon anus, assurant du même coup une lubrification anale naturelle, je ne tarde pas à introduire également mon index dans mon trou du cul, qui d’ailleurs ne demande que ça, je sens les spasmes de mon sphincter anal, comme si il me demandait quelque chose, oh le gourmand. Puis, je termine ce hors d’œuvre, en retirant mon index de cet orifice qui en attendait encore plus, le gredin! Cette fois, c’est ma main droite équipée de mon gode préféré, qui va entrer en action, je pointe le nez de mon gode sur l’entrée de mon vagin, puis, doucement je l’introduis vers l’intérieur de ma chatte, et comme je suis trempée, l’affaire s’avère très glissante, et hop, le gode dérape gentiment en moi, je le sens s’introduire doucement, il rentre à pas léger, en catimini, sournoisement, il rampe, il remonte dans le fond de moi, puis comme pour prendre un peu d’air frais, il ressort, puis sans attendre, rentre de nouveau en moi, ceci parfaitement coordonné avec les mouvements de ma main, cette main qui comme par instinct, ne cesse de pousser, puis retirer, le gode de ma chatte, les mouvements de va-et-vient s’accélèrent, alors que ma respiration devient plus profonde et les frissons envahissent tout mon corps, je vibre, mes soupirs commencent à devenir plus forts, je suis haletante, je suis comme coupée du monde réel, il n’y a plus que moi en compagnie de mon plaisir, je suis dans l’ivresse du bien-être, c’est un monde de volupté. La raison n’existe plus, mon cerveau est l’esclave de mes désirs, et inversement. Cette scène surréaliste, je la vois en directe, car mes cuisses bien écartées se reflètent dans le miroir se trouvant au pied de mon lit Des effluves de foutre emplissent l’atmosphère de ma chambre, ce qui ne manque pas d’avoir un effet très aphrodisiaque, décuplant mes désirs, mes envies, mes fantasmes. Tout m’échappe, j’ai des envies que je n’oserai même pas avouer, le Marquis de Sade semble faire école sur moi. Tout s’accélèrent, je vais exploser, voici plus d’une demi-heure que je me masturbe, soudain, j’éclate, un hurlement sort de mes entrailles, mon orgasme est violent, dantesque, il y a comme une bête sauvage qui sort de moi, ma jouissance me parait durer des minutes interminables, je vibre, je frissonne, enfin je m’affaisse complètement. Ma jouissance est toujours bestiale, mais j’en redemande toujours, car, je suis insatiable, une véritable bête de sexe.

Plaisirs entre femmes

Depuis mon balcon, je vois Sonia juste en face de chez moi, une belle brune pas très farouche, nous allons faire plus intimement connaissance et même envisager de réaliser une vidéo pas très sage entre nous, quand nous ferons l’amour entre femmes. C’est alors que moi Rachelle, je vais rencontrer grâce à internet, Virginie une lesbienne blonde, sulfureuse, qui s’enflamme dès qu’on la touche. Les plaisirs entre femmes sont inoubliables..

Extrait de « Plaisirs entre femmes« 

Tout en papotant, je regarde Sonia, qui me semble parfaitement à l’aise chez moi, elle est engoncée dans son fauteuil, tant et si bien que sa jupe noire remonte sur le haut de ses cuisses, sans provoquer la moindre gêne.

Bien, je trouve le spectacle de ses cuisses très agréable à regarder, mais il va falloir que je me lève pour aller faire le café, je veux dire appuyer sur le bouton marche afin que le café daigne se faire.

J’en avise Sonia, qui aussitôt se lève pour me proposer son aide.

Mais alors, voilà qu’en se levant, Sonia qui était engoncée dans ce fauteuil comme dans un piège, décroise ses belles gambettes, et sans le vouloir offre son entre cuisses à mon regard.

Le spectacle mérite le détour je vous le dis.

Sa culotte est blanche, et de suite mon esprit s’égare dans des situations les plus improbables.

J’ose à cet instant, avoir des pensées qui, disons le, sont à caractère homosexuelles.

Dans mes rêves j’ai souvent imaginé faire l’amour avec une femme, être lesbienne le temps d’un instant, ou d’une nuit.

Faire l’amour entre femmes est paraît-il le summum de la sensualité, les orgasmes sont plus longs et plus fréquents.

Je descends de mon nuage, et vite direction cuisine avec Sonia qui me colle aux fesses pour m’aider.

Dans la cuisine, rien à faire, si ce n’est de prendre le plateau avec le sucre et les tasses pour poser l’ensemble sur la table basse du salon.

C’est Sonia qui s’en charge, moi, j’ai juste appuyé sur le bouton marche de la machine à café.

Il me restera juste le café à porter jusqu’au salon, ou Sonia m’attend avec les jambes croisées.

Nous discutons jusqu’au milieu de l’après-midi sans nous lasser, visiblement nous sommes heureuses d’être ensemble.

Sonia me dit aimer lire, alors je lui demande quel genre de lecture aimes-tu ?

Quel auteur par exemple ?

En ce moment, je lis Sarah Water, c’est une écrivaine anglaise qui à un style que j’adore, ces écrits sont plein de sensualité.

En fait Sarah Water aime les histoires lesbiennes, et elle décrit les scènes avec beaucoup de talent…..

C’est une coquine

Avec ma copine Maria, nous décidons de faire quelques emplettes entre femmes, au rayon lingerie d’un grand magasin parisien. Lors de cette balade au rayon petites culottes, et soutiens-gorges, nous rencontrons un groupe de Japonaises, lesquelles choisissaient des sous-vêtements chics de la mode Française. Il me fut impossible de résister aux charmes de l’une de ces belles Japonaises. Elle s’avérera être une lesbienne extrêmement sensuelle, voire explosive ! Attention, lecture pour adultes avertis. (Liens sonores en live dans le livre)

Elle aime ça

Je suis comme une mante religieuse, car je dévore et j’aime les belles femmes que mon flair de prédatrice débusque dans les supermarchés, ou celles qui croisent mon chemin. Sonia, est l’une d’elles, une bourgeoise bien mûre, style années 50-60, BCBG, elle va tomber dans mes griffes. Ce récit érotique sans concession, s’adresse exclusivement à un public avertit et majeur.

Pour en savoir plus…..cliquez ici

Extrait… »Elle aime ça« 

…Tout se passe à la vitesse d’un éclair, sans rien dire, je vois cette femme baissée, en train de récupérer des publicités qu’elle a sans doute fait tomber sur le sol du hall d’entrée en ouvrant sa boite à lettres.

Rien d’extraordinaire me direz-vous !

Mais, ce qui attire mon œil de femme malicieuse, c’est que cette personne est une belle brune, avec de longs cheveux noirs, et qui arbore, semble-t-il, des formes des plus avenantes.

Je suis face à elle, moi debout avec ma charrette à provisions, et elle, presque agenouillée, essayant de récupérer tant bien que mal, divers papiers jonchant le carrelage du hall d’entrée.

Mais mon regard toujours plein de malice s’attarde sur le généreux décolleté de mon inconnue, et là mes sens sont aux aguets tant le spectacle est alléchant.

En effet, je suis à la première loge pour admirer cette poitrine a priori assez opulente, de madame X, je dis X car pour le moment j’ignore d’où sort cet “ovni” doté de gros nichons.

Mais comme le spectacle est totalement gratuit, alors j’en profite, et je me délecte du regard, car non seulement cette charmante personne me montre ses attributs au travers d’un décolleté provocant, mais comble de bonheur pour moi, elle est vêtue d’une jupe noire assez courte, c’est l’impression que j’en ai, qui dans cette position accroupie lui remonte sur le haut de ses belles cuisses bronzées, cette vue suscite en moi des envies matinales infernales, et lubriques, je vous laisse deviner ce qui passe dans ma petite tête de coquine.

Puis, madame X, me sentant juste devant elle, relève sa tête et me gratifie d’un aimable sourire accompagné d’un bonjour, et elle me regarde sans pour autant resserrer ses belles cuisses entrouvertes par cette position.

Une chose est certaine à cet instant, je ne connais pas encore le nom de cette personne, mais je sais qu’elle porte une culotte blanche.

Puis madame X, se relève, et me regarde presque amusée, toujours avec son sourire très avenant, je peux même dire avec un rictus très coquin.

Enfin, nous échangeons quelques mots, des banalités d’usages, histoire de meubler cette rencontre imprévue dans mon programme.

J’apprends en fait que cette madame X n’habite pas mon immeuble, mais elle vient une ou deux fois par semaine pour s’occuper de sa maman, que je ne connais pas plus que ça d’ailleurs.

Finalement, elle me dit qu’elle va bientôt reprendre l’appartement de sa maman, car cette dernière doit déménager pour occuper un logement plus petit, situé dans un autre immeuble du quartier.

En somme, nous allons être voisine lui dis-je alors ?

Oui, tout à fait.

Soyez sincèrement la bienvenue, madame.

Ravie, je suis Sophie.

Et moi, je suis Julia, et j’habite au 6e.

Puis le plus naturellement du monde, Sophie me tend la main.

Au contact de sa peau, j’ai comme une impression de frissonnement, quelque chose parcourt mon corps, me donnant le sentiment que cela est réciproque, à en croire son regard enflammé, ou alors, je prends mes désirs pour des réalités.

Histoire de sexe.

Histoire érotique

Après-midi entre voisines-9

Histoire érotique lesbienne. Plaisirs de lesbiennes…..

Trois copines vont acheter un gode-ceinture.

Couverture-Aujourd'hui, j'achète un sextoy

Le godemichet.

Sophie, Sarah et Nina se réunissent dans une grande brasserie parisienne, pour y déguster des fruits de mer à l’occasion de l’anniversaire de Sophie, la belle cinquantenaire, toujours aussi pulpeuse et sensuelle. Lors de cette rencontre entre copines lesbiennes pour certaines, le champagne ne tarda pas à émoustiller les coquines que nous sommes, et vite, les conversations tournent autour d’un sujet, le sexe, et l’une de nous lance une idée, pourquoi ne pas allez acheter un sextoy dans le quartier chaud de Pigalle, il y a plein de sexshops….Mais il faudra essayer ce gode alors? Lien..

Extrait…..

Nous terminons notre apéritif confortablement assises toutes les deux sur le canapé, en ne pensant et sans oser le dire, plus qu’à aller dans la chambre, nos cerveaux sont embrumés par des pensées saphiques, des envies débordantes de sexualité en tous genres.

Il ne nous fallut pas longtemps pour nous retrouver toutes les deux nues dans ma chambre.

Nous ne parlons même pas de notre rencontre de cet après-midi, qui pourtant était prometteuse, mais ce sont nos papilles sexuelles qui sont en émoi.

Pas le temps de fermer les rideaux de la chambre, mais, qu’importe, dehors il fait sombre.

Fougueuse que je suis, j’allonge Louise sur le lit, et je commence à la couvrir de baisers, en commençant par son cou, dont la peau est très fine, en frôlant à peine son épiderme du bout de mes lèvres j’électrise ma partenaire, jusqu’à lui en donner des frissons, Louise s’offre totalement à moi, je la sens ouverte à toutes les compromissions, je la possède, je ne vais pas me gêner devant une si belle offrande.(Mes plaisirs en live-1)

Ma bouche parcourt ce corps en attente de toutes les fantaisies sexuelles imaginables, ma belle aux seins généreux et gonflés de plaisir m’offre ses tétons bien raides, j’en serre un entre mes lèvres pulpeuses, tandis que le bout de ma langue caresse ce téton.

Je sens alors la poitrine de Louise redoubler de volume sous l’effet de l’excitation.

Mon autre main pelote l’autre sein, et je saisis entre mon pouce et l’index ce téton, pour le rouler délicatement, il se raidit encore plus, Louise est déjà au ciel, sa respiration est profonde, puis en laissant ce sein à son sort, je descends ma main entre ses cuisses, mes doigts se fraient un chemin dans cette douce toison tout humide, car ma compagne mouille comme une éponge sortie de l’eau.

Ma bouche enfin se dirige vers le calice, Louise ouvre encore plus ses jambes, pour m’offrir son bijou, ma langue entre ses poils, arrive sur ce petit bouton rose, c’est comme la mèche d’une dynamite chez Louise, elle va exploser en un rien de temps, c’est la première fois, je pense que la, Louis va m’inonder de son foutre, elle en a tellement envie, qu’il va falloir qu’elle explose une première fois, après elle sera plus calme.

Je la lèche goulûment, car j’adore ce truc, surtout avec les femmes qui mouillent beaucoup, c’est encore plus excitant pour moi ! (Mes plaisirs en live-2)

En même temps que je lèche la chatte de Louise, je farfouille dans la raie de ses fesses avec mon index, à la recherche de l’entrée de son anus, je le trouve sans difficulté, et comme il me semble très accueillant, j’arrête un instant mon cunnilingus, pour venir fourrer le bout de ma langue dans l’anus de ma compagne, cette fois, elle frétille sous l’effet de ma langue, comme un poisson au bout d’un hameçon.

Visiblement ma langue dans son trou du cul, lui fait beaucoup d’effet, c’est une bonne chose, car moi, j’adore cet endroit sombre au goût parfois acre.

Je ne lui demande pas si elle à déjà pratiqué la sodomie, je verrais bien le moment venu, en tout cas elle est très ouverte si je peux dire, pas d’interdit tout simplement.

Comme ma belle n’est pas farouche, je la fais mettre en levrette sur le bord du lit, son beau cul est la, devant moi, j’empoigne ses deux fesses que j’écarte fermement, pour avoir accès direct et libre à son anus, dans la pénombre, je devine cette auréole brunâtre qui est le siège de tous les fantasmes.

Louise s’offre à tous mes désirs, elle se laisse complètement faire.

Ma langue fait merveille dans ce petit trou, et Louise pousse des petits gémissements qui me démontrent qu’elle adore cette gâterie anale.

Une fois cet anus bien humidifié par ma salive, je tente d’y introduire doucement l’extrémité de mon index, quel plaisir de sentir son doigt pénétrer dans ce petit coin de paradis, ma partenaire semble toute disposée à des actes bien plus osés.

Puis au bout d’un moment, je varie les plaisirs, en remettant Louise sur le dos, pour cette fois lui faire goûter les saveurs de ma chatte dégoulinante de plaisir, je mouille comme une source de miel, elle va se régaler.

Ma compagne est sur le dos, se demandant bien ce que je vais lui faire, et bien elle se trompe, cette fois, c’est elle qui va œuvrer.

Je viens me positionner à califourchon sur son visage lui offrant directement mon sexe qui bave de plaisir, moi, je suis épilée, donc Louise va profiter à pleinement de mes sécrétions vaginales, j’espère qu’elle aime, car je suis très prolifique de ce côté-ci.

Ma belle brune à sa bouche contre ma chatte, je me dandine pour mieux sentir sa langue et ses lèvres me lécher.

J’adore cette position, car j’ai le sentiment de dominer ma partenaire, ce qui augmente mon excitation, tout est dans le psy.

J’entends comme un clapotis, c’est le bruit de la langue de Louise qui lèche ma chatte bien coulante, elle s’applique, et finalement apprend très vite, il faut dire que c’est un acte naturel, presque inné.

Entre femmes les choses se font sans savoir, nous sentons bien les envies de l’autre puisque nous sommes toutes les deux des femmes, nous connaissons parfaitement nos envies, nos désirs, nos fantasmes.

C’est un savoir-faire tout à fait naturel.

Louise se délecte de ma mouille, elle me tient tantôt par les cuisses, et tantôt par la taille, en tout cas, elle aime beaucoup, je la sens très gourmande. Une vraie petite furie au lit.(Mes plaisirs en live-3)

Comme j’ai envie de faire plusieurs choses avec Louise, j’arrête ma position en califourchon, ou « face sitting », et je vais faire la position du ciseau, c’est-à-dire que nous allons frotter nos chattes l’une contre l’autre, et exciter nos clitoris par un frottement doux et long, cette position est très excitante, car on regarde nos chattes mouiller, et au bout d’un moment quand nous coulons beaucoup, des filets gluants, collants, apparaissent entre nos sexes, nos foutres se mélangent.

Nous restons dans cette action pendant un bon moment, car le temps ne compte plus, c’est tellement bon, que nous pouvons durer une éternité.

Nos mouvements s’accélèrent, et la pression augmente sur nos chattes, le plaisir devient intense, presque insupportable, puis soudain nous crions toutes les deux en même temps, nous sommes en plein orgasme, et ça dure, c’est puissant, tout notre corps vibre, des frissons jusque dans le visage, grand moment de jouissance, indescriptible sensation de plaisir au paroxysme des sens.

Cette fois, il nous faut un entracte, repos!

Après quelque temps de récupération, je sens ma compagne en demander encore, il faut dire qu’à son âge, elle à un appétit sexuel débordant.

Ah, ma chérie, me disais-je en moi-même, tu vas goûter à mon jouet favori, celui que je viens d’acheter à Pigalle avec mes amies

Je ne dis rien, me lève, pour aller vers ma valise, j’en extrais un sac, dans lequel j’avais glissé mon nouveau jouet, le gode-ceinture.

Un petit tour dans la salle de bain, et me voici de retour harnachée comme un chevalier, avec mon sexe en silicone en guise de lance, brillant de lubrifiant.

Mon sexe en silicone est droit comme un dard, je suis prête à embrocher ma partenaire.

Louise, qui me voit arriver, ouvre grand ses beaux yeux, oh, mais tu as un très beau jouet me dit-elle en rigolant.

Oui, et je vais te faire goûter aux joies de mon gode.

Mets-toi en levrette!

Louise ne bronche pas, elle se place dans la position demandée.

Pour humidifier la chatte de Louise, je commence par lui prodiguer de nouveau un cunnilingus, mais elle est encore toute humide de nos précédents ébats.

Alors, je me place en position, derrière elle, et pointe mon gode sur l’entrée de son vagin, je la pénètre d’abord doucement, puis en la tenant par les hanches, j’imprime des mouvements de va-et-vient dans cette chatte plutôt accueillante.

Louise est aux anges, et exulte de plaisir, elle accompagne mes mouvements avec ses reins en s’empalant sur mon sexe en silicone, je sens ses fesses venir toucher mon bas ventre quand elle pousse sur moi, elle aime ça la petite salope.

Je me déchaîne, là voyant très réceptive de cette pratique, notre chevauchée fantastique prend des allures de rodéo sauvage, où se mêle une odeur de savane bien animale, nous sommes deux bêtes en rut.

Pendant que je la lime profondément avec mon gode-ceinture, j’en profite pour lui exciter son petit trou du cul avec mon pouce, et plus mon gros doigt avance dans l’anus de Louise, plus elle gémit, visiblement, c’est un truc qui l’excite.

Voyons ça de plus près !

Je fais durer son plaisir vaginal le plus longtemps possible pour la rendre folle de désir, sachant que mon pouce est déjà complètement rentré dans l’anus de ma chérie.

Tout glisse à merveille tellement ma compagne mouille beaucoup, du foutre coule le long de ses cuisses, c’est un réel un plaisir de la sentir bien à ce point.

Voyant son état d’abandon total, je ne perds pas de temps, doucement je me retire de sa chatte, et je viens positionner le bout de mon gode sur l’entrée de son anus, elle ne manifeste pas d’hostilité pour le moment, alors ne voulant pas que la bête refroidisse, je pousse mon gode-ceinture dans l’anus de ma belle.

Bon, là, c’est plus serré, je me retire un peu, et recommence, je fais cela une dizaine de fois, sans aucune désapprobation de ma partenaire, et à chaque fois je pénètre plus loin dans ce beau trou du cul, que je vois se dilater au fur et à mesure de son excitation.

Oui, surprise, mais Louise adore par le cul, ça ne fait plus aucun doute.

Enfin, toute la longueur du gode est dans son petit trou, je commence mon va-et-vient long, ample, doux, profond.

Pendant près de 30 minutes je lui ramone son beau petit cul, et elle y prend maintenant un sacré plaisir, Louise va prendre son pied par son cul, c’est assez rare, mais là, elle va jouir, son plaisir monte en puissance, moi, je suis aussi excitée qu’elle, soudain, elle pousse fort en s’empalant violemment sur mon gode, et pousse un râle, un gémissement venant du fond de son être, elle jouit, un orgasme anal fantastique, je la tiens fermement par les hanches pour lui enfoncer mon gode le plus profond possible, c’est dantesque, hallucinatoire.

Après ce rodéo fantastique dans les steppes du sexe, nous restons en position toutes les deux, histoire de reprendre nos esprits et de laisser retomber la pression.(Mes plaisirs en live-4)

Une fois l’ambiance revenue au calme, je me retire précautionneusement de l’anus de Louise, elle souffle, puis elle s’allonge sur le dos, c’est le repos bien mérité de la guerrière.

Moi, je pars vers ma salle de bain sur la pointe des pieds, histoire d’enlever mon harnais, en me disant que pour une première expérience c’est très concluant, une seule envie maintenant, c’est de recommencer.

Je vous raconterai bientôt mes nouvelles aventures sexuelles entre femmes.

image copie

Orgasme entre femmes

Après-midi entre voisines-4

Les plaisirs entre femmes, être lesbienne et heureuse.

Après-midi entre voisines

Histoire érotique lesbienne. Rencontre entre lesbiennes.

Histoire d’une rencontre entre deux femmes en chaleur..En cherchant, je vois le rubrique « pour adultes », j’ai mon code secret, mais je ne l’ai pas encore utilisé, allons-y. Oh la la, il y a du choix ! Tiens, si je regardais un film lesbien, je ne connais pas ce genre de porno, c’est le moment de découvrir, il n’est jamais trop tard pour bien faire ! c’est parti, je cherche, et comme je n’y connais rien je choisis un peu au hasard. J’ai choisi un film porno lesbien, je vais découvrir ce monde. Les lesbiennes m’ont toujours fascinée, c’est le jour de découverte alors! Au bout d’une dizaine de minutes, je me retrouve baignée dans cet univers de sexe entre femmes, le saphisme. Je ne suis pas déçue, les filles sont belles, et les broutes minous à gogo, cunnilingus par ici, anulingus pas la, doigtage du vagin, puis du petit trou, ah, ça m’excite bien finalement, je n’aurai pas pensé que cela puisse être aussi excitant, pour moi en tout cas. Je dois dire que je commence sérieusement à chauffer, ma main glisse entre mes cuisses, et je commence à masturber mon petit clito, ma chatte mouille énormément, le canapé ne m’en voudra pas je l’espère, mais je suis en train de m’inonder, je n’en peu plus, ma respiration devient haletante, impossible de résister, je me lève, fonce dans ma chambre, alors que mon foutre coule le long de mes cuisses, j’ouvre ma commode, pour en saisir mon gode, je suis brulante d’envie, je crois que je baiserai avec un âne, tellement je suis en feu. Mon gros gode en main, je retourne dans mon salon, pour de nouveau m’asseoir sur mon canapé encore humide, brillant de foutre, mes deux jambes reposent écartées sur ma table basse, je me poignarde la chatte avec mon super sextoy, ça rentre comme dans du beurre tellement je suis mouillée, je peux gémir crier, tout faire, car je suis seule, le film m’excite outre mesure, je déborde d’envie, les gémissements et bruits organiques de la télé se mêlent à mes bruits, un vrai concert de salope en folie, il faut dire que je suis une chaudasse du cul ! Mon gode fait des merveilles, je ne vois même plus la télé, j’entends juste les cris, les bruits, et mes odeurs de foutre pour faire plus réel. Tout mon entre-jambes est en effervescence, au bord de l’explosion. Je ressors le gode tout brillant de foutre de mon vagin, et le présente à l’entrée de mon trou du cul, je le pousse lentement dans mon anus, c’est une auto sodomisation, un délice, je vais éclater de joie, car par ce petit trou je ne contrôle plus rien, ma folie prend le dessus, je hurle comme une louve au fond des bois, je jouis, j’éjacule sur mon canapé, que ça glisse…

Les perversions de Carole.

Melissa-Lubrick
Plaisir sexuel entre lesbiennes.

 Littérature érotique.

Histoire érotique lesbienne. Carole est une lesbienne très entreprenante et sait faire vibrer une femme, mais qui mieux qu’une femme connaît le corps d’une femme me direz-vous? Ma vendeuse de vélo se rapproche de moi, et commença à poser un baiser sur ma joue, puis doucement sa bouche frôlant la peau de mon visage arriva sur le lobe de mon oreille, tandis que ces doigts exploraient sans vergogne ma chatte qui s’ouvrait à ses avances, sans retenue aucune. Soudain, Carole se mit à me mordiller doucement le lobe de mon oreille, un grand frisson parcourra tout mon être, se traduisant par une inondation dans ma culotte, je mouillais comme cela m’est rarement arrivé, il faut dire que Carole est une experte. Puis elle susurra à mon oreille, tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Non, pas encore lui dis-je en reprenant ma respiration.Et bien je vais te faire goutter aux délices incomparables des plaisirs lesbiens, car vois-tu, je suis lesbienne comme tu dois t’en douter, j’adore les femmes, j’adore les entendre gémir sous mes caresses. Puis elle commença à masturber mon clitoris que je sentis gonfler de plaisir et d’envie, son doigt glissait sur mon petit bouton rose, aidé en cela par ma mouille abondante, je coulais à flots, ou presque. Il ne me fut pas possible de me retenir tellement j’en avais envie, j’écartais mes cuisses encore plus, tout en m’affalant encore plus sur le canapé, j’étais presque allongée, jupe relevée jusqu’au nombril. Ma petite culotte très élastique permettait à Carole toute sorte de mouvement avec ses doigts, mais sa masturbation devenait diabolique, je me mis à pousser un cri, en même temps que mon orgasme arriva, je n’en revenais pas de jouir aussi fort avec une femme. Alors que j’étais encore sur mon nuage orgasmique, l’entre-jambes encore étourdi par tant de plaisir, que Carole, infatigable, et, je pense, insatiable, continuait à me prodiguer des caresses, ses longues mains parcouraient mes cuisses comme pour maintenir mon excitation. De plus comme je suis une femme très chaude, je suis toujours prête à recommencer, Carole qui est une experte en femme, me dira plus tard qu’elle avait deviné que j’étais une chaudasse du cul, les femmes sentent bien ça ! Les mains de Carole s’aventurèrent sous ma jupe remontée, pour venir caresser mon ventre, mais visiblement ma culotte toute trempée gênait les initiatives de ma compagne du moment. C’est alors que Carole, ne donnant pas dans ce genre de détails, retira ma culotte, cette fois, j’avais les cuisses écartées avec ma chatte encore toute mouillée offerte à la vue de Carole. J’étais toujours allongée sur son canapé, Carole m’écarta encore un peu plus les cuisses, et je vis alors son buste se pencher en avant, puis sa tête venir s’emboîter entre mes cuisses, il ne fallait pas être devin pour savoir qu’elle allait me faire un cunnilingus, je vais découvrir les effets d’une langue de femme sur ma chatte, rien que de sentir le bout de sa langue sur mon clito et à l’entrée de mon vagin me remplissait déjà de bonheur, c’est une sensation indescriptible. Je suis aux anges, en regardant le plafond je goûte aux plaisirs du cunnilingus entre femmes,c’est quelque chose d’absolument divin, pour ne pas dire magique, la douceur et l’expertise d’une langue de femme sont nirvanesques. Je vois la chevelure de Carole entre mes cuisses relevées, ma main et mes doigts glissant dans ses cheveux. Les mouvements de la langue de Carole sont à la fois précis, doux et fougueux quand il le faut, cette langue diabolique tourne lentement autour de mon clito, à m’en rendre folle !

Ma tante est dominatrice…

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Rencontre entre lesbiennes.

J’adore ma banquière…Lien

Ma tante est lesbienne et dominatrice sexuelle…..

Livre audio MP3: Jouissance de femme, mes enregistrements d’orgasmes…..Lien

Littérature érotique

Histoire érotique lesbienne….ma jupe assez étroite remontait sur le haut de mes cuisses, j’étais immobilisée sur cette table de campagne, les cuisses écartées, en jupe et culotte, car ma tante ne m’avait pas déculottée. Moi, bâillonnée, je ne pouvais que ronronner tout au plus, je sentais la main de ma tante caresser mes fesses avec insistance, puis elle releva complètement ma jupe, je me sentais cette fois les fesses à l’air ou presque, car ma petite culotte blanche était encore sur moi. Ma tante, exerçait tout son vice sur mon corps, sa main entrant maintenant dans ma culotte, et sans perdre de temps elle enfonça son index dans mon anus, en l’ayant préalablement léché, je fis un sursaut, car son introduction était assez violente, après deux ou trois aller-retour dans mon trou du cul, elle rentra un deuxième doigt, toujours aussi brutalement, je me mis à rugir, ne pouvant rien faire d’autre tant le bâillon était efficace. Puis plus rien, silence, ma tante avait retiré ses deux doigts de mon orifice anal, je l’entendais marcher derrière moi, des bruits de vêtements, de tiroir, visiblement je devine qu’elle est dans ma salle de bains. Au bout d’une dizaine de minutes, je la sentis de nouveau derrière moi, c’est à ce moment, qu’elle écarta ma culotte pour faire apparaître la raie de mes fesses, je sentais qu’elle me tartinait l’anus avec le lubrifiant qu’elle avait pris dans le tiroir de ma salle de bains, je n’attendis pas longtemps pour comprendre, que ma tante c’était harnachée avec mon propre gode-ceinture, et que l’heure était venue pour moi de me faire ramoner l’anus par ma tante lubrique et infernale. Elle me sodomise avec une violence inhabituelle, je sens ce gros gode me pénétrer sans ménagement, et en profondeur. Alors que ma tata était derrière moi, me tenant par les hanches pour mieux m’empaler sur son phallus en silicone, moi, ne pouvant que rugir, tout au plus ronronner, seuls des bruits sourds pouvaient sortir du fond de ma gorge, car toujours entravée et bâillonné, j’étais comme réduite à l’esclavage, soumise aux fantasmes de ma tante. Je la sentais déchaînée sur mon cul, me ramonant avec des mouvements lents, amples et surtout profonds, elle prenait tout son temps, de plus j’entendais des mots crus, comme sale petite pute, je vais te démonter ton cul, tu ne pourras pas t’assoir de si tôt Mélissa. C’était injuste, car je ne pouvais même pas répondre. Ma position sur cette table en bois était celle d’un supplice, mais je dois avouer que j’adore ce genre de pratique sado-maso, et ça tombe bien, car ma tante ne se fait pas prier dans ce domaine. Pendant près de trois quarts d’heure ma tante m’encule, je commence à vraiment aimer ça, d’autant que je jouis souvent par le cul, c’est mon point sensible, et dans des pratiques sado-maso mon plaisir est décuplé. J’entends Ginette ma tante qui souffle, et observe mes réactions, elle regarde ma croupe onduler sous l’effet des pénétrations anales intenses du gode-ceinture. Moi, je suis réduite au silence, mais je gémis, de plus en plus fort, le bruit vient du fond de moi, je commence à jouir, alors ma tante ralentie ses mouvements pour accompagner mon orgasme, je pousse un énorme rugissement, car je jouis comme une folle, wouah, trop bon, je sens que je mouille du cul comme d’habitude. Ma respiration est à son comble, puis enfin je m’apaise, alors d’un geste précis le bâillon me fut retiré, ouf, je suis toute mouillée tant j’ai transpiré de plaisir. Je viens de vivre un intense moment de plaisir, et quand on a le sentiment d’être dans la sphère des interdits, cela exacerbe les sensations. Il n’y a pas de limite aux plaisirs entre personnes consentantes. Je suis complètement exténuée ce soir, ma tata est épuisante, toujours en quête de nouveauté, c’est le credo des femmes mures en général, pas de limitation, et demain risque d’être chaud à en croire ses confidences, mais je vous raconterai cela plus tard….

Apéro entre voisines.

Texte de Virginie Despente, dans Society 2019.

« À mon avis, dans vingt ans, la plupart des meufs sont lesbiennes. Ça va se faire tout seul. Je le crois réellement. Parce que tout est tellement mieux sexuellement, tu n’y perds pas et pour tout le reste, c’est tellement un soulagement inouï que… Qu’est-ce que tu vas te faire chier ? »

Littérature érotique. Apéro entre voisines.

Histoire érotique . Je ne sais pas trop comment me comporter avec ces deux lesbiennes, car pour le moment, il y a beaucoup de quiproquo, du moins, c’est mon impression, mais rien de vraiment flagrant pour le moment. Donc, je reste sur ma réserve, et je reste attentive à ce scénario. Alors que je portais mon verre de whisky à mes lèvres, je sentais Aurélie me dévorer des yeux, pendant que son amie, ma voisine, était en train de passer sa main sous son pull. Aurélie semblait vouloir me dire quelque chose, ou du moins me faire comprendre la situation. Ni l’une ou l’autre des deux femmes ne pouvaient s’imaginer que moi, j’aimais aussi les femmes, car elles ne le savent pas encore, mais, mes histoires sous forme de BD ne sont que les récits de mes propres aventures entre lesbiennesLes deux nanas ont de forts soupçons sur mes pratiques sexuelles, mais aucune certitude pour le moment. Nous sommes en fait dans une ambiance au fort accent sexuel, mais personne ne dit rien, mis à part, Laura ma voisine qui caresse tantôt le dos, tantôt la nuque d’Aurélie, des présomptions, pas de preuve! Notre réunion est cependant très sympathique, tout le monde s’observe, personne ne dit rien ! Bon, il faut que je me lève pour aller faire un pipi, je demande à Laura le chemin des toilettes, elle me dit que c’est en haut, à côté de sa chambre. Bien, j’y vais, et la, surprise, il me faut emprunter l’escalier, c’est évident, mais cet escalier est en verre, et j’avais pu comme cela admirer les dessous de Laura il y a deux jours, moi étant à la place d’Aurélie aujourd’hui. Comme je suis en jupe, je pense que les deux nanas vont se régaler à la vue de mon entre-jambe, si j’avais su, je n’aurais pas mis de culotte. Alors, me voici gravissant lentement cet escalier, et je sentais bien les regards vicieux de mes deux lesbiennes cochonnes de la soirée. Arrivée à la dernière marche, je fais exprès de faire une grande enjambée, pour m’offrir en spectacle, ce dont mes deux lesbiennes cochonnes ne se privent pas. En moi-même, je me disais, je suis avec deux bonnes salopes, et j’aime bien ! Enfin, je trouve les toilettes, je referme la porte derrière moi, mais pas de verrou pour fermer, ce n’est pas grave, nous sommes entre femmes après tout. De mes deux mains, je relève ma jupe le plus haut possible, puis descends ma culotte, et enfin je me soulage, quel bonheur ! J’entendis dans le même temps quelqu’un monter l’escalier, puis soudain, la porte des toilettes s’ouvre, bien sûr, elle n’était pas fermée ! C’est Laura, qui venait voir si j’avais bien trouvé ses toilettes, mais oui, j’y suis, d’ailleurs assise sur le trône, les cuisses bien écartées, Laura s’excuse, mais n’en perd pas une miette, encore plus salope que moi, ce n’est pas peu dire. Puis confuse, en apparence, elle referme la porte de mes toilettes, et redescend, je l’entends raconter son histoire à Aurélie qui éclate de rire. Me vient une idée, je vais retirer ma culotte, et la mettre dans ma poche, comme ça, je vais redescendre avec mon petit cul à l’air sous ma jupe, il faut que ça respire ces petites bêtes sauvages. Me voici donc sans culotte sous ma petite jupe, tout en me dirigeant vers l’escalier pour rejoindre les copines qui m’attendaient en bas sur le canapé, je pensais que cette fin d’après-midi était sous le sceau des ambiguïtés et des envies coquines….

Mon amante japonaise.

Lesbienne désir.

Lesbienne et désirs.

Extrait de mon histoire érotique.

Littérature érotique.

Histoire érotique lesbienne. Au bout d’un bon moment, voyant que ma chère voisine prenait goût à ce que je m’occupe de son trou du cul, je décide de lui introduire un doigt dans cet anus, qui commençait à se dilater sous l’effet de ma langue magique, elle adore ça, pour preuve, elle n’a pas arrêté de pousser pour ouvrir son petit trou. Mon index rentre doucement, je le mouille dans ma bouche, et le plonge dans le petit trou de ma voisine, elle frétille de joie, ses reins se creusent son cul bouge dans tous les sens, et elle pousse sur ses reins comme pour mieux s’empaler sur mon doigt, je pousse ce doigt au maximum, et lui implique des va et vient, Valérie devient intenable, encore plus me dit-elle, alors deux doigts, ah ! Petit grincement de Valérie, j’y vais doucement, ça y est, c’est rentré, quelques mouvements doux, et l’anus se dilate, d’ailleurs Valérie pousse tellement que mes doigts rentrent maintenant sans problème, je trifouille à l’intérieur, puis je sors mes doigts, et les faits lécher à Valérie, elle a poussé, donc un autre goût…. Mais elle le fait, le vice est dans la peau cette voisine ! La respiration de Valérie devient haletante, mes doigts ne suffisent plus, cette fois, elle s’excite, alors je retire mes deux doigts, et comme elle a le cul complètement dilaté, je plonge ma langue dans cet anus accueillant, quel délice, cette sensation nouvelle plaît beaucoup à ma compagne. Valérie mouille du cul, maintenant ce petit trou est à ma disposition, j’excite ma voisine, car je lui masturbe son joli clito en même temps, c’est un truc irrésistible. Elle ne tarde pas à jouir, elle en pisse de bonheur sur mon canapé, maintenant, je la possède, elle est à moi, je vais pouvoir lui faire tout ce que je veux. Après avoir joui, Valérie va faire un saut à la salle de bains, à son retour, je lui propose le café, mais il est presque froid, bon, c’est un café liégeois alors ? Rire ! Petite pose salutaire autour du café, nos caresses reprennent de plus belles, et nous discutons de sexe bien sûr ! J’ai envie de me faire lécher par Valérie, alors je me lève, laisse tomber mon kimono, et nue, je demande à ma voisine de s’allonger sur le canapé, moi, je viens sur elle en position 69, je lui dis directement, lèche-moi la chatte, commence par le clito, doucement, tu tournes autour avec ta langue, après quand je serai bien excitée, tu me boufferas toute ma chatte, tu verras, je mouille énormément, tu vas goûter à mon nectar, il est doux, abondant et sucré, après tu n’auras plus faim. Valérie me butine avec beaucoup de douceur, c’est une abeille consciencieuse.
J’attends que Valérie ait bien profité de ma chatte, et quand je serai bien, alors en récompense, je lui lécherai moi aussi son clito, pour jouir toutes les deux. Mais moi, je vais partir avant Valérie, je me redresse, pour qu’elle me lèche aussi mon trou du cul, car toute cette zone est excitée, en plus je suis très sensible du petit trou quand je suis en chaleur. Je pars, mon orgasme est bruyant, je crie fort, et j’éjacule dans la bouche de Valérie, je reste au-dessus de sa bouche, pour qu’elle n’en perde pas une goutte, ce foutre, est précieux comme du caviar, j’aimerai bien aussi pisser dans la bouche de Valérie pensais-je ! Mais attendons une prochaine fois ! Ma compagne est toute mouillée de mon foutre, son visage est luisant, et collant de mon nectar. Alors pour récompenser Valérie, je l’achève dans un cunnilingus démoniaque, elle ne peut pas y résister en deux minutes, elle inonde mon canapé, je lape tout son foutre, instant de bonheur.

Ma pédicure est lesbienne.

Ma pedicure est lesbienne
Ma pédicure est lesbienne.

Littérature érotique.

 Histoire érotique de gode…Comme je suis un peu gênée dans mes mouvements, c’est Sonia qui vient sur moi, elle ne me demande rien, elle exécute un mouvement rapide, pour se placer sur mon visage à califourchon, sa chatte sur ma bouche, elle est dégoulinante de mouilleje lèche tout ce délicieux nectar, bien sucré, et le sien est particulièrement odorant, et abondant, de quoi nourrir une ruche entière, alors c’est jour de fête pour moi aussi, je me gave de son miel. Dans le même temps Sonia me semble perdre le contrôle d’elle même, elle me fait lécher son anus, et insiste longtemps pour que ma langue aille explorer cet orifice, là il y a plus que du miel…et Sonia trouve un malin plaisir, à m’offrir son trou du cul, avec un brin de perversité évident, elle insiste, et profite de mon handicap pour se faire lécher son anus à outrance, visiblement, c’est son truc, elle me semble un peu scato ! Moi, dans mon état, je suis un peu coincée et cela semble être du goût de ma voisine, elle fait ce qu’elle veut de moi.  Puis, au bout d’un bon moment, et après avoir tout bu et tout mangé d’elle, elle se retire du dessus, et me laisse enfin reprendre une bouffée d’air frais. Mais pas de répits, Sonia, me retourne délicatement, pour me mettre sur le ventre, elle écarte mes cuisses, et avec ses deux mains, éloigne mes fesses, et se jette sur mon anuselle lèche avec une telle ardeur que j’en suis complètement déboussolée, elle est affamée, de mon trou du cul, c’est rare de développer autant de fougue pour dévorer un petit trou. Mais, en fait, je suis aux anges, je sens sa langue intrusive, parcourir d’abord délicatement le pourtour de cet orifice tant convoité, cet obscur objet du désir, puis avec force elle pousse sa langue à l’intérieur de mon trou du cul, elle y reste très longtemps, cet endroit lui plaît beaucoup, car elle y butine son miel. C’est interminable, je ne vais pas m’en plaindre, cependant au bout d’un bon moment, elle se retire, puis va chercher son sac à main, pour en extraire un gros gode, elle commence alors à me tartiner mon petit trou, avec le lubrifiant, et doucement me sodomise avec son gode, je le sens rentrer profondément en moi, puis elle imprime un mouvement de va-et-vient à son gode, j’adore cette sensation, elle me triture pendant 20 à 30 minutes, au bout de ce temps, je me sens très excitée, je vais jouir par le cul, c’est comme ça que je jouis le plus fort, ça y est je pars, mon orgasme anal fonctionne à merveille, je pousse un râle animal, long et profond, mon souffle est haletant, je suis épuisée, alors, Sonia retire le gode doucement de mon anus, et en femme experte et perverse, elle vient lécher mon trou du cul pour lui faire une bonne toilette pleine de douceur. Sonia est visiblement satisfaite, elle assume tous ses fantasmes, furent-ils les plus extravagants. Je ne vais pas me plaindre de cette situation, car en l’occurrence, moi je suis handicapée dans mes mouvements, et j’en profite largement pour me laisser faire, ma voisine pourrait tout me faire, je n’ai aucune limite. Non seulement, j’ai toujours un peu mal à ma cheville, mais en plus j’ai maintenant l’anus en fleur, largement dilaté pour que la langue de Sonia puisse y rentrer, et elle aime vraiment ça, il n’y a aucun doute là-dessus, car depuis plus de 30 minutes sa langue parcours mon trou du cul autour, et surtout dedans, c’est une divine sensation pour moi, je me délecte de ce moment absolument divin, et j’écarte généreusement mes cuisses pour mieux m’offrir à ma voisine. Je suis encore très excitée, je mouille du cul, et le plaisir commence à remonter sérieusement en moi, des frissons de plaisir m’envahissent, je m’agrippe à mon oreiller, tant j’ai envie de jouir de nouveau, car Sonia, est experte, pendant qu’elle me lèche mon anus, elle masturbe mon clito avec l’une de ses mains qu’elle à délicatement glissée sous mon ventre, c’est du pur bonheur tout simplement. Mais impossible de me retenir, le plaisir qui vient du plus profond de mes entrailles me fait perdre totalement le contrôle de moi-même, je me laisse complètement aller, je jouis fortement, en envoyant une abondante giclée de foutre dans les mains de ma voisine, alors, elle commence à ralentir ses mouvements de langue, et sa masturbation commence à faiblir, pour enfin me laisser le temps de reprendre mes esprits, les draps vont se souvenir de ce moment…. Je suis un peu sonnée, par cette longue séance de sexe entre femmes, je récupère lentement pendant que ma voisine est partie se faire une petite toilette dans ma salle de bains. Au retour de Sonia, elle me retrouve assise sur mon lit, le cul un peu bizarre, je suis assise sur l’instrument de mon bonheur du jour ! Mais, ma voisine à toujours une longueur d’avance sur moi, je la vois près du lit avec bande Velpeau d’une main, et pommade de l’autre, mais après tout me dit-elle je suis officiellement ici pour te servir d’infirmière, personne ne peut se douter de se qui se passe ici entre nous ! Et, le plus naturellement du monde, Sonia s’occupe de mon pied, après me l’avoir fait prendre avec rage !

Rencontre érotique avec ma pharmacienne.

Ma pharmacienne est lesbienne

Ma pharmacienne est lesbienne.

 Histoire érotique.

 Histoire érotique d’un massage entre femmes qui dérape…Françoise est une femme ponctuelle, pour notre deuxième rencontre massage, elle est exactement à l’heure. Maintenant, elle connaît le rituel, et elle se rend directement dans ma salle de bains, puis en ressort complètement emmaillotée dans un peignoir blanc.
Elle s’allonge sur mon lit, lequel me sert accessoirement de table de massage, cette fois, je la sens plus détendue que la dernière fois, mais elle garde cependant toujours sa petite culotte noire. Sans avoir à lui demander, elle se place directement en position ventrale pour recevoir mon massage sur son dos et toute cette face postérieure.
Pendant que je lui masse le cou, nous discutons de nos vies, effectivement, elle me confirme qu’elle est mariée avec deux enfants, elle a acheté cette pharmacie depuis peu, et cela représente beaucoup de travail, mais me dit-elle, on a rien sans rien. C’est difficile pour une femme de mener une activité professionnelle comme celle-ci et de s’occuper de sa famille, puis en rigolant, elle rajoute, et de trouver le temps de se faire masser….
Comme, elle m’avait dit que cette fois, elle aurait plus de temps, je m’applique pour la masser, je prends tout le temps nécessaire pour qu’elle se sente bien. Tout en discutant, j’arrive avec mon massage, à la hauteur de ses fesses, et comme elle garde sa culotte, je fais comme la dernière fois, c’est-à-dire que je glisse mes mains sous sa culotte sans hésitation d’ailleurs, j’insiste sur ses fesses, puis je m’aventure entre ses fesses avec un doigt, elle ne dit rien, au contraire, j’entends un petit gémissement de satisfaction, à peine perceptible, c’est vrai, mais tout de même ! Sa culotte est assez souple, je peux donc descendre une main dans sa culotteentre ses cuisses, là, c’est déjà osé, mais elle ne dit rien, ou plutôt, je la vois bouger un peu. Son entre-jambes est doux et chaud, je remarque qu’elle mouille, et elle écarte encore un peu plus ses jambes, ça m’excite aussi, mais pour le moment pas d’engagement vraiment sexuel, que du massage, qui déborde un peu, c’est vrai, mais à ma grande surprise ma pharmacienne semble plutôt apprécier mes gestes ! J’explore son entre-jambe assez longtemps pour l’exciter, et lui faire lâcher prise, elle se laisse complètement faire, les cuisses écartées, je n’hésite plus, mon doigt est sur l’entrée de sa chatte, c’est trempé. Je lui demande maintenant de se retourner, toujours avec sa culotte, elle ne propose à aucun moment de la retirer, tant pis. Je lui masse ses seins, je devrais plutôt dire, je caresse ses seins, les tétons durcissent, cette fois elle parle, et me dit d’une voix basse, j’adore ce que vous faite, c’est la première fois que je me fais masser comme ça par une femme. Ma réponse est dans le même esprit, et je lui dis, que moi, je suis contente de lui procurer du plaisir, et de rajouter, je vais vous donnez du plaisir ! Oui, je veux bien me répond-elle. Alors le ton est donné, je glisse directement ma main dans sa culotte, et mon doigt cherche son clitoris, que je ne tarde pas à masturber directement, elle respire fortement, elle mouille beaucoup, car cette situation est pour elle toute nouvelle, et d’autant plus excitante.
Plus question d’hésitation, mes doigts pénètrent sa chatte, elle écarte ses cuisses du plus qu’elle peut, cette fois, on enlève la culotte, je la masturbe tout ce que je peux, son plaisir monte, elle est complètement mouillée, elle se donne à moi, m’offre son corps, les jambes en l’air, elle jouit dans un orgasme bruyant. Je viens de faire jouir ma pharmacienne, elle ne pensait pas en arriver à ce stade, mais elle est très contente de découvrir ce plaisir saphique, je viens de lui ouvrir la porte du plaisir sexuel entre femmes.

L’art de vendre des sextoys.

Vente sextoys

Littérature érotique.

En savoir plus….lien.

Histoire de la vente de gode en réunion entre femmes, c’est hot… Véronique, notre hôtesse nous fait sont numéro de défilé de mode, aujourd’hui, le thème est le port du gode ceinture. Elle est là, devant les deux dernières clientes, à exhiber son jouet favori, Véronique passe et repasse devant nos yeux, et nous en profitons, pour de temps en temps, lui toucher ses fesses et elle semble bien adorer cette situation, toutes les trois, nous laissons tomber nos inhibitions. Pendant ce temps Mireille, la belle blonde, ne perd pas de temps, sa main commence à parcourir mes cuisses sous le regard envieux de Véronique, qui ne tarde pas à retourner dans sa chambre afin de retirer son harnais gode ceinture. Elle revient avec nous deux, alors que nous sommes assises sur le canapé, pendant ce court instant, Mireille et moi, nous nous caressons, elle glisse sa main dans mon soutien-gorge, puis me roule un baiser fougueux, sa langue rencontre la mienne, nous nous léchons nos langues. La situation devient très excitante, plus de barrières, Mireille passe sa main sous ma robe, entre mes cuisses, j’écarte mes cuisses, sa main explore mon entre-jambe, et dans le même temps Véronique avait pris place à côté de moi, à ma droite, j’avais Mireille, et à ma gauche, Véronique, voilà un trio d’enfer ! Mes cuisses bien écartées, je sentais deux mains sous ma robe, mes deux voisines me caressaient en même temps, puis l’une m’embrassait, l’autre me pelotait les seins, je suis l’objet de tous leurs désirs. Mireille, dégrafe mon soutien-gorge, puis, je me retrouve torse-nue. Il ne me fallut pas attendre plus longtemps, pour que véronique, retire ma culotte, alors que Mireille ôte ma robe, cette fois, je me retrouve complètement nue, entre les deux femmes, alors que nous sommes toutes les trois sur le canapé. Mireille se déshabille, elle aussi, Véronique était déjà en petite culotte, mais sans attendre retire son haut, puis sa culotte, ainsi nous voici toutes les trois sur un pied d’égalité, nous sommes nues sur le canapé, mais la place est un peu juste, alors Véronique nous propose de nous transporter dans sa chambre pour disposer de son grand lit de deux mètres. L’équipe des coquines traversent l’appartement, toutes complètement nues pour rejoindre la chambre de Véronique. C’est nettement plus confortable que le canapé, naturellement, je m’allonge, alors à ce moment Véronique m’embrasse sur la bouche, tandis que Mireille lèche mes seins en caressant mon sexe fraîchement épilé, cette sensation d’appartenir à deux femmes en même temps, est divine.  Cette phase est particulièrement sensuelle, c’est le jardin d’Éden. Je conseille à toutes les femmes de faire l’amour avec une autre femme, et à trois femmes, c’est le nirvana. Véronique continue de m’embrasser avec ardeur, pendant ce temps Mireille titille mon petit bouton rose, tout en me léchant mes seins, je commence à être sérieusement excitée, Mireille qui a les doigts dans ma chatte me dit, tu mouilles beaucoup toi ! Elle commence, à descendre sur mon sexe avec sa douce bouche, je sens ses lèvres sur mon ventre, puis elle continue à descendre, enfin, je sens la chaleur de son souffle sur ma chatte, sa langue commence à me déguster, tantôt le bout de sa langue tourne autour de mon clito, tantôt le bout de sa langue pénètre dans mon vagin tout coulant de plaisir… Mais Mireille ne veut pas me faire jouir maintenant, alors que Véronique occupe toute ma bouche avec sa langue, Mireille se lève, et retourne au salon pour prendre les sextoys qui étaient restés sur la table basse. De nouveau sur le lit, Mireille n’hésite pas, délicatement, elle écarte mes jambes puis, pénètre ma chatte avec un gode de bonne taille, je suis tellement excitée, que nul besoin de lubrifiant, ça rentre tout seul. Elle me masturbe avec le gode, pendant qu’elle me lèche mes seins, quant à Véronique, elle m’embrasse goulûment. Cette fois, je vais partir, car l’excitation est à son paroxysme, je suis trempée, Véronique me tient le visage, sa langue remplie ma bouche, impossible de dire un mot, juste des gémissements de plus en plus intenses. Je bouge énormément sous les assauts du gode, j’en veux encore plus, mais là, j’explose, j’éjacule intensément, je jouis, je hurle malgré la langue de Véronique dans ma bouche, je me suis transformée en objet sexuel pour femme à cet instant, et vraiment, j’adore.

Initiation érotique de ma cousine.

Ma voisine est lesbienne

Ma cousine est lesbienne.

Littérature érotique.

 

Livre audio MP3: Jouissance de femme, mes enregistrements d’orgasmes…..Lien

Histoire érotique de ma cousine qui découvre les plaisirs lesbiens...Maintenant que Marie est là, devant moi, je ne peux plus dormir. Des idées étonnantes traversent mon esprit, d’autant que je sens la respiration de ma cousine augmenter légèrement. Elle me regarde fixement, puis me dit j’ai chaud, il faut dire qu’avec tout le vin et le champagne qu’elle à but, ça donne quelques calories qu’il va falloir éliminer. Puis Marie se redresse dans le lit, et retire soudain son tee-shirt avec lequel elle c’était couché, voilà comme ça j’aurai moins chaud me dit-elle. Son buste se dessine en contre-jour, elle a de magnifiques seins, bien droits, et je devine le dessin de ses tétons, bien raides comme deux petits dards. Puis Marie se rallonge dans le lit familial. En se remettant dans le lit, ma cousine n’hésite pas un instant, elle s’allonge cette fois tout près de moi, je sens même la présence de ses seins sur moi. Mes pensées obscènes seraient-elles réalités ? Marie est toute nue dans mon lit, et pendant ce temps Juliette ronfle et pète aussi de temps en temps, c’est la fête dans sa chambre. Je tâte le terrain. Ma main se dirige vers la joue de Marie, doucement je descends ma main sur son cou, et je profite de l’endroit pour lui caresser affectueusement sa nuque. Ceci provoque en Marie un émoi certain, je la vois ouvrir légèrement sa bouche, d’ailleurs elle a de très belles lèvres pulpeuses et attirantes, qui ne demandent que des baisers. Mes caresses sur sa nuque provoquent en Marie comme une électrisation, je sens son corps se raidir et bouger au fur et à mesure. Mon audace va grandissante, voyant que ma cousine ne disait rien, mais semblait à l’évidence y prendre un malin plaisir, ma main indépendante et baladeuse, pris la décision de faire une promenade sur les seins de Marie. Cette main aventureuse se risqua sur une poitrine que je sentais se gonfler à grande vitesse, plus de doute Marie à des envies, allez, tant pis pour les conventions, j’y vais. Au moins, je prends soin de ma cousine. C’est l’esprit de famille. Maintenant les dés sont jetés, pas question de s’arrêter en si bon chemin. Ma main n’obéit plus qu’à elle même, elle se promène partout, impossible de la raisonner, ma menotte coquine s’en donne à cœur joie. Cette fois, mon sang ne fait plus qu’un tour, ma main infernale ne cesse de vagabonder, je la retrouve soudain entre les cuisses de ma cousine, et je me rends compte qu’elle mouille comme une fontaine, et les rousses c’est très hot, je sens le parfum de son foutre remonter sous les draps, fragrances sauvages de la savane. Marie cette fois libérée, écarte ses cuisses pour mieux m’offrir sa ruche à miel.

Une passagère bien coquine.

Passagère lesbienne

Passagère lesbienne.

Littérature érotique.

Un voyage en voiture très sexy, ma conductrice est lesbienne….De nouveau en route vers Cherbourg, toujours sur l’autoroute, le temps est clair, je suis d’ailleurs très étonnée de la visibilité au travers des vitres teintées de cette voiture, c’est drôle de penser que vous voyez bien vers l’extérieur, mais que les gens de l’extérieur ne vous voient pas, ou presque, d’ailleurs, j’ai lu que le gouvernement allait interdire les vitres teintées, rumeur ou réalité ? Alors que nous roulions en discutant de nos travails respectifs, je regarde Sandrine, et je vois que parmi les boutons du devant de sa jupe, celui du bas était déboutonné, me laissant entrevoir un peu plus les jolies jambes de ma conductrice. Moi, j’étais en robe, je croisais mes jambes, laissant remonter volontairement elle-ci pour laisser un peu plus mes cuisses à la vue de Sandrine, ma conductrice, histoire de tester ses orientations sexuelles, car pour le moment tout est dans le non-dit et les attitudes provocatrices. Sandrine ralentit un peu, moi, je regarde le paysage sur ma droite, c’est bien la Normandie, que de verdure, c’est beau. Je me retourne vers elle pour lui parler du paysage, et là, je me rends compte que deux boutons de sa jupe étaient défaits, je regarde avec insistance tout en lui parlant, dans le même temps, je sentais que quelque chose se passait, moi, je n’hésite pas, je croise mes jambes dans l’autre sens, et cette fois, ma robe remonte vraiment, j’y vais sans hésitation, Sandrine me regarde et cette fois, déboutonne presque tout les boutons de sa jupe, maintenant, je vois sa culotte, elle écarte ses cuisses autant que possible, alors qu’elle conduit, en même temps, elle fait très attention. Je lui dis, il y a un parking dans 3 000 mètres, arrêtons-nous ! Quelques minutes après nous voici au fond du parking, seule voiture, portes verrouillées, vitres teintées, nous passons à l’arrière du véhicule. Une grande banquette pour nous deux, elle jupe ouverte, moi robe en haut des cuisses, ma main dans sa culotteje la caresse, doucement, elle mouille abondamment, je la masturbe dans la voiture, Sandrine me dit que c’est la première fois qu’elle fait ça avec une femme, je l’embrasse sur la bouche et je lui fais goûter à ma langue. Ma conductrice se laisse faire, ma parole, elle devait en rêver pour en avoir autant envie, elle est complètement trempée, je lui rentre un doigt dans son vagin, elle adore, je profite de ce doigt bien lubrifié pour lui faire goûter aux plaisirs de l’anus, je lui enfonce un doigt dans son petit trou du cul, elle ne dit toujours rien, elle gémit de plaisir, alors je lui glisse un deuxième doigt dans son petit cul, surprise, elle mouille du cul.
J’adore faire craquer une femme, et lui faire goûter aux plaisirs sexuels entre femmes, même celles dites hétérosexuelles, bien sous tous rapports, se laisse tenter par cette aventure inoubliable, bien sûr certaine ont des interdits, et malgré leurs envies et leurs pulsions, hésitent à sauter le pas, pourtant, c’est, je pense dans la nature des femmes que d’être attirée aussi par les femmes, cependant, à mon avis, il ne faut pas mélanger les deux, c’est-à-dire pratiquer le triolisme, car les plaisirs sont de nature très différent, voire incompatible, c’est comme de mettre de la vinaigrette sur un coulis de framboise, alors je conseille aux femmes de faire avec l’un ou l’une, mais pas les deux en même temps. Nous sommes toujours installées à l’arrière de la voiture, personne autour, Sandrine découvre les plaisirs saphiques, et elle est très demandeuse. L’atmosphère de la voiture sent le sexe de femme, un parfum sucré, presque exotique. J’ai envie de faire jouir Sandrine avant de reprendre la route, car nous ne pouvons pas rester dans ce parking trop longtemps. Elle écarte ses cuisses sous mes caresses, elle n’a plus sa culotte, je descends vers son sexe, complètement mouillé, et je commence à lui faire un cunnilingus, dont j’ai maintenant le secret, je prends son clito entre mes lèvres, et je le caresse doucement du bout de ma langue, Sandrine commence à vibrer, son souffle devient profond, moi, je lèche sa chatte, comme une affamée que je suis. Sa mouille coule à flot, c’est abondant et j’adore me délecter de ce doux et sucré nectar. Sandrine est tellement excitée qu’elle ne tarde pas à jouir très violemment, avec un orgasme dont elle se souviendra très longtemps. Pour une première avec une femme, c’est une réussite me confit Sandrine. Maintenant, il nous faut penser à reprendre la route, elle enfile de nouveau sa culotte, nous nous préparons à repartir, juste au moment ou une voiture vient stationner juste à côté de nous, alors qu’il y a de la place partout ! Moteur en route, et reprenons l’autoroute, détendues que nous sommes, je suis satisfaite d’avoir fait plaisir à ma conductrice, elle me dit en rigolant, tu es la passagère idéale…

Mes aventures entre femmes.

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Plaisirs sexuels entre lesbiennes.

Aventures entre femmes lesbiennes.

Histoire érotique

Je découvre que ces deux dames, Angèle et Honorine sont des fêtardes, elles sont hétérosexuelles, mais aiment bien faire venir des femmes de préférence assez jeunes pour les baisers ensemble, c’est mon impression pour le moment. De toute façon, moi, je les trouve marrantes, et en plus elles ne s’embarrassent pas de détails, elles sont plutôt bien conservées et avec des envies sexuelles qui sortent par les yeux. Elles présentent bien, deux bourgeoises bronzées complices en plus les Daltons du sexe entre femmes. Le ton et les verbes montent autour de la table, troisième coupe de champagne, les bulles font effet dans le petit groupe de femme que nous sommes, les rires et les gestes sont de plus en plus vaillants, Angèle qui est toujours en face de moi relève encore un peu plus sa jupe et écarte les cuisses, cette fois, je vois bien, elle n’a pas de culotte, et voyant que je regardais avec insistance, elle ouvre alors ces cuisses à fond, j’ai vu sur sa chatte en direct, elle n’hésite pas, sur d’elle, et son amie Honorine lui dit, et si tu nous montrais de plus près ta chatte, cette fois, c’est l’annonce d’une partie de cul entre femmes, deux femmes très mures veulent simplement se baiser une jeune. Alors Angèle se lève, s’approche de moi, sa jupe est complètement relevée, sa chatte, juste devant moi, elle attrape ma main, et la place entre ses cuisses, elle mouille, c’est trempé, ça coule, voici une femme qui n’a pas de problème de libido, et visiblement pas froid aux yeux.
Pendant que ma main se trouve entre ses cuisses bien humides, l’autre dame, Honorine, sa copine, lui caresse les fesses, l’ambiance est très chaude, plus de retenue ! Moi, je suis toujours assise, et je me dis que ces dames doivent être coutumières de ce genre de rencontre, le coup du champagne à la maison est un prétexte pour attraper l’abeille butineuse. Angèle nous fait venir dans sa chambre, je me retrouve nue sur le lit, Honorine m’écarte les cuisses et me lèche directement ma chatte, et comme tout ça est bien excitant, je mouille beaucoup, ce qui semble bien du goût de ma compagne d’entre mes cuisses, je l’inonde complètement, elle aime cette vieille salope, tu en veux alors je vais t’en donner. Mais pendant que Honorine me fait un cunnilingus de gourmande, l’autre, Angèle, sans rien dire vient à califourchon au-dessus de ma tête et m’oblige à la lécher, elle est épilée, heureusement, en plus elle coule bien, je la lèche et je bois son abondante mouille, c’est chaud et sucré. Les deux dames sont vraiment deux salopes, aucun tabou, Angèle qui est la dame de 60 ans, est au-dessus de moi, je la lèche pour ne pas dire, je la bois, car elle me pisse dans la bouche, en me tenant la tête coincée entre ses cuisses, elle me traite de petite pute, en me disant tient boit ma pisse, tu verras, c’est bon pour ta santé ! Je suis en présence de femmes sans aucun préjugé, elle me tient bien, et je bois tout jusqu’à la dernière goûte, ça change du champagne parce que c’est chaud et sans bulle ! Je suis comme un gadget sexuel, Angèle et Honorine assouvissent leurs envies sexuelles, et ces deux dames semblent plutôt osées, sans tabou, du moins, c’est mon impression. Pendant que j’essuie la chatte d’Angèle avec ma langue, l’autre, Honorine m’excite le clito avec sa langue, je ne sais plus trop  j’en suis, alors je me laisse faire, le plaisir monte en moi, la jouissance arrive, je ne contrôle plus rien, alors Angèle qui m’a pissé dans la bouche me fait maintenant lécher son trou du cul, ma langue est à l’entrée de son petit trou, et là, je sens son anus s’ouvrir, car Angèle pousse comme pour chier, et son orifice se dilate, ma langue va explorer l’intérieur de son trou du cul, mais d’un seul coup, le plaisir me gagne, je jouis et en même temps, je pousse profondément ma langue dans le trou du cul d’Angèle, j’ai joui en hurlant, les deux dames s’arrêtent doucement avec élégance et satisfaction

Initiation érotique de ma voisine.

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Initiation lesbienne.

Histoire érotique.

Pendant que nous discutions en sirotant nos whiskys, j’observe que ma voisine a les mains un peu baladeuses sur Aurélie, assise à côté d’elle sur le canapé. Surprise, cela ne semble pas gêner Aurélie le moins du monde, j’ai comme l’impression que les deux nanas sont de connivence.  Je fais comme si rien ne se passait, mais tout de même Laura passe sa main sur le coup de son amie, laquelle est visiblement aux anges, tandis que moi, je suis un peu là à tenir la chandelle en quelque sorte.  Je me demande ce que ces deux garces, disons les choses comme je les sens, essayent de faire, de l’exhibition, ou alors, c’est pour elles une situation normale!  Laura, pas du tout incommodée par ma présence, continue vaillamment à passer sa main, cette fois dans le dos d’Aurélie, qui commence sérieusement à bouger son beau cul sur le canapé, visiblement, ça la gratte quelque part !  Nos verres viennent de prendre un sacré coup de vieux, alors Laura ne se fait pas prier, se lève de nouveau pour nous resservir un grand verre de ce breuvage écossais aux mille vertus.  Puis Laura reprend sa place à côté d’Aurélie, dont la jupe commence à escalader ses belles cuisses, de mon point de vue, je commence à me régaler de ce spectacle gratuit, les hauts des cuisses d’Aurélie sont offerts à mes yeux, et clic-clac j’enregistre tout ça dans mon cerveau, qui aidé par mon allié écossais commence à avoir des envies plus que coquines.  Je commence à imaginer des scènes pornos entre les trois femmes en présence en cette fin d’après-midi.  D’un seul coup, une idée me traverse l’esprit!  Et si je dessinais cette rencontre pour en faire une BD porno, d’après une histoire vraie ?  L’idée me plaît bien, mais pour le moment j’en suis à l’imaginaire. 

Pourtant, l’ambiance ne me semble pas loin de la partouze entre femmes, mais moi, toute nouvelle voisine, je suis un peu sur ma réserve.

Initiation d’une beurette.

beurette-lesbienne

Beurette lesbienne.

Histoire érotique.

En buvant nos cafés, je regarde avec envie les longues jambes de ma femme de ménage, elle se rend bien compte de l’effet qu’elle produit sur moi, et elle n’hésite pas à faire des effets de jambes.Mais au fur et à mesure de la discussion, Karima écarte nonchalamment ses jambes, comme je suis juste en face d’elle, ma vue est plongeante, mes yeux vicieux regardent entre ses cuisses, elle me provoque ! Le jeu va crescendo, les cuisses de ma femme de ménage s’ouvrent toujours un peu plus, ce qui à pour effet de faire remonter un peu plus sa jupe, cette fois je vois sa culotte, hier elle était blanche, aujourd’hui c’est une culotte rouge, encore plus excitant ce rouge. Perverse comme je suis, je n’ai pas enfilé de culotte aujourd’hui, bien décidée à exciter ma femme de ménage, après-tout, il faut connaître les gens avec qui on travaille, je pense. Comme je suis en face de Karima, moi, engoncée dans mon canapé, j’écarte maintenant bien mes cuisses, c’est sans ambiguïté, je m’offre à ma femme de ménage, j’ai la jupe remontée, ma chatte à l’air ! Alors Karima se lève, vient vers moi, remonte complètement sa jupe, moi, je lui baisse sa culotte, je passe ma main entre ses cuisses, elle est toute mouillée, c’est une femme de ménage cochonne comme moi, alors on va s’entendre. Puis comme elle se trouve devant moi, entre mes jambes bien écartéesla chatte déjà coulante de plaisir, Karima se baisse, vient se placer à genoux entre mes cuisses bien ouvertes, alors à ce moment, elle plonge sa tête sur ma chatte, et entame un prodigieux cunnilingus, pendant qu’elle me lèche, je déboutonne mon chemisier, pour dégager mes seinsmes tétons sont raides de plaisir. Pendant que ma beurette me lèche, elle me pénètre par l’anus avec son index, là, je redouble d’excitation, j’inonde mon canapé de mon abondant nectar, vas-y bouffe moi, baise-moi par tous mes trous, car j’adore. Cette première rencontre est très rapide, même violente, car à force de nous exciter mutuellement nous en avions très envie l’une comme l’autre.

Moi, impossible de me retenir, je me cambre sur mon canapé, je crie, ma respiration est haletante, je n’en peux plus, j’aimerais que Karima me baise toute une nuit, elle est très excitante, une salope comme j’aime. Maintenant, j’ai joui comme une bête, comme une chienne ! Ma femme de ménage s’applique à bien faire mon ménage intime, devant et derrière, un bonheur ! Une fois terminé, je dis en plaisantant à Karima, tu vois, en plus de ton ménage, tu me baiseras tous les jours dés ton arrivée, avant même de commencer ton travail avec l’aspirateur ! Elle rigole, et me répond que tout le plaisir sera pour moi, je vous lécherai tous les jours, et plus encore ! Chiche, je lui réponds !

J’aime bien ma nouvelle recrue, car elle est compétente dans beaucoup de domaines, avec elle, c’est le ménage partout.. Maintenant que la récréation est terminée, la vie et les activités domestiques vont reprendre normalement, alors je me lève de mon canapé, non sans oublier de l’essuyer, car il est tout mouillé de mes sécrétions sexuelles.

Pendant ce temps, Karima est allée dans la chambre pour se changer, elle ne tarde pas à réapparaître avec sa blouse de travail, qui, soit dit en passant est très sexy. Me concernant, je vais dans le bureau pour rédiger des courriers sur mon PC. Pourtant, je suis encore sur un nuage, avec cette partie de cul entre ma femme de ménage et moi. Déjà, j’entends le doux ronronnement de l’aspirateur que Karima pousse langoureusement, elle est tournée son dos face à moi, alors je suis saisie par la vue de ses fesses quand elle se baisse un peu, en effet comme sa blouse est assez courte, je vois devant moi un beau culsans-culotte, Karima est nue sous sa blouse, je trouve cela coquin, et c’est autorisé dans la convention collective de ma mini-entreprise….Mes pensées sont vagabondes, je suis obsédée par les fesses de ma femme de ménage, j’irai bien y mettre ma langue. J’aimais bien la culotte rouge de ma beurette, mais très franchement, sans-culotte, c’est mieux.

Rencontres érotiques entre femmes mariées.

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Femmes bisexuelles.

Reprenons nos esprits après cet intermède agréable. Suite du menu, le poisson, après la moule, c’est dans le même ton ! Nous terminons ce repas, entrecoupé de nombreux baisers et caresses diverses de plus en plus osées. Il reste une coupe de champagne, nous en profitons sans nous faire prier, les bulles nous donnent plein d’envies inavouables. Pas le temps de prendre un café, j’emmène Marion dans ma chambre d’ami, vite, nous sommes allongées sur le lit, nos étreintes sont à la hauteur de nos envies, je déshabille Marion, nue sur mon lit, moi, je jette mes vêtements sur le fauteuil, nous sommes maintenant nues l’une contre l’autre. Nos baisers sont fougueux, j’excite Marion, son clito est en érection, et elle mouille énormément, je quitte sa bouche, et je viens lui lécher ses seins, ils sont beaux, fermes avec des tétons durcis par l’envie, pendant le même temps, je continue à la masturber, je descends ma bouche vers son sexe, c’est une première pour moi, je vois son sexe maintenant de très près, effectivement son clito est assez gros pour une femme, j’embrasse le bas de son ventre et j’approche doucement ma bouche de son sexe, elle se cambre, écarte bien ses cuisses pour s’offrir à ma bouche, je me lance et attrape son clito entre mes lèvres, c’est comme-ci je lui faisais une fellation, j’aspire son clito, il est très raide, Marion ne pourra pas me résister longtemps tellement elle est excitée par cette situation qu’elle ne connaissait pas, Je lèche Marion comme si je voulais la dévorer, ça y est elle part dans un orgasme de folle, elle hurle, c’est l’extase pour elle, puis elle éjacule dans ma bouche, là, je déguste son nectar sucré, hum, c’est doux et bon, cette sensation est nouvelle pour moi bien sûr, mais également pour Marion, avoir un orgasme aussi violent avec une femme, elle n’y pensait pas il y à quinze jours, les choses sont arrivées très vite en fait. Ma compagne récupère ses esprits, car elle est très étonnée par ces nouvelles sensations de plaisir entre femmes. Nous sommes allongées toutes les deux, nues sur mon lit, Marion me caresse, ses mains sont douces, ses gestes lents comme j’aime, elle me retourne pour me placer sur le ventre, de cette façon, elle peut caresser mon dos, mes reins et mes fesses, d’ailleurs, elle me dit qu’elle adore mon postérieur. Je sens ses lèvres dans mon cou, et doucement, elle parcourt mon dos en longeant ma colonne vertébrale, c’est extrêmement sensuel, sa bouche arrive à la hauteur de la naissance de la raie de mes fesses, elle sort alors le bout de sa langue, puis descend doucement entre mes fesses, elle se place cette fois derrière moi, et elle m’écarte les jambes pour se placer entre elles, Marion est accroupie et se penche sur mes fesses, les embrasse, et avec sa langue cette fois bien sortie, elle remonte entre mes fesses, puis écarte mes fesses, je sens maintenant sa langue autour de mon anus, j’ai l’impression qu’elle aime cet endroit, à moins que ce soit un fantasme, peu importe, je découvre et j’aime. Marion écarte franchement mes fesses, et me lèche goulument mon anus, puis y rentre son doigt, voyant que j’aimais, elle rentre deux doigts, puis une fois mon anus bien dilaté, elle retire ses doigts et les remplace par sa langue, ah, que c’est bon ce truc-là. Pour mieux sentir sa langue dans mon petit trou, je me mets en levrette, alors Marion se déchaîne, c’est vraiment une vorace affamée, elle peut tout manger, j’adore ce truc-là ! Cela m’excite terriblement, et ensuite, elle me lèche ma chatte qui n’arrête pas de pleurer de bonheur, oui, ça coule bien, Marion se régale d’ailleurs beaucoup, c’est son dessert, et elle peut sans problème se resservir… Mon orgasme arrive très vite, nous en avons toutes les deux trop envie d’ailleurs, je jouis fortement en éjaculant dans la bouche de ma compagne, qui n’en perd pas une goutte, je trouve que pour une découverte, c’est très réussi. Nous avons toutes les deux expérimenté cette facette de la sexualité entre femmes, nous aurions dû essayer cela plus tôt. L’après-midi passe très vite, il faut déjà rentrer dans nos foyers, moi, je suis sur place, mais Marion à de la route à faire. Nous allons nous revoir la semaine prochaine au même endroit, chez moi !