Histoire de sexe.

Histoire érotique

Après-midi entre voisines-9

Histoire érotique lesbienne. Plaisirs de lesbiennes…..

Trois copines vont acheter un gode-ceinture.

Couverture-Aujourd'hui, j'achète un sextoy

Le godemichet.

Sophie, Sarah et Nina se réunissent dans une grande brasserie parisienne, pour y déguster des fruits de mer à l’occasion de l’anniversaire de Sophie, la belle cinquantenaire, toujours aussi pulpeuse et sensuelle. Lors de cette rencontre entre copines lesbiennes pour certaines, le champagne ne tarda pas à émoustiller les coquines que nous sommes, et vite, les conversations tournent autour d’un sujet, le sexe, et l’une de nous lance une idée, pourquoi ne pas allez acheter un sextoy dans le quartier chaud de Pigalle, il y a plein de sexshops….Mais il faudra essayer ce gode alors? Lien..

Extrait…..

Nous terminons notre apéritif confortablement assises toutes les deux sur le canapé, en ne pensant et sans oser le dire, plus qu’à aller dans la chambre, nos cerveaux sont embrumés par des pensées saphiques, des envies débordantes de sexualité en tous genres.

Il ne nous fallut pas longtemps pour nous retrouver toutes les deux nues dans ma chambre.

Nous ne parlons même pas de notre rencontre de cet après-midi, qui pourtant était prometteuse, mais ce sont nos papilles sexuelles qui sont en émoi.

Pas le temps de fermer les rideaux de la chambre, mais, qu’importe, dehors il fait sombre.

Fougueuse que je suis, j’allonge Louise sur le lit, et je commence à la couvrir de baisers, en commençant par son cou, dont la peau est très fine, en frôlant à peine son épiderme du bout de mes lèvres j’électrise ma partenaire, jusqu’à lui en donner des frissons, Louise s’offre totalement à moi, je la sens ouverte à toutes les compromissions, je la possède, je ne vais pas me gêner devant une si belle offrande.(Mes plaisirs en live-1)

Ma bouche parcourt ce corps en attente de toutes les fantaisies sexuelles imaginables, ma belle aux seins généreux et gonflés de plaisir m’offre ses tétons bien raides, j’en serre un entre mes lèvres pulpeuses, tandis que le bout de ma langue caresse ce téton.

Je sens alors la poitrine de Louise redoubler de volume sous l’effet de l’excitation.

Mon autre main pelote l’autre sein, et je saisis entre mon pouce et l’index ce téton, pour le rouler délicatement, il se raidit encore plus, Louise est déjà au ciel, sa respiration est profonde, puis en laissant ce sein à son sort, je descends ma main entre ses cuisses, mes doigts se fraient un chemin dans cette douce toison tout humide, car ma compagne mouille comme une éponge sortie de l’eau.

Ma bouche enfin se dirige vers le calice, Louise ouvre encore plus ses jambes, pour m’offrir son bijou, ma langue entre ses poils, arrive sur ce petit bouton rose, c’est comme la mèche d’une dynamite chez Louise, elle va exploser en un rien de temps, c’est la première fois, je pense que la, Louis va m’inonder de son foutre, elle en a tellement envie, qu’il va falloir qu’elle explose une première fois, après elle sera plus calme.

Je la lèche goulûment, car j’adore ce truc, surtout avec les femmes qui mouillent beaucoup, c’est encore plus excitant pour moi ! (Mes plaisirs en live-2)

En même temps que je lèche la chatte de Louise, je farfouille dans la raie de ses fesses avec mon index, à la recherche de l’entrée de son anus, je le trouve sans difficulté, et comme il me semble très accueillant, j’arrête un instant mon cunnilingus, pour venir fourrer le bout de ma langue dans l’anus de ma compagne, cette fois, elle frétille sous l’effet de ma langue, comme un poisson au bout d’un hameçon.

Visiblement ma langue dans son trou du cul, lui fait beaucoup d’effet, c’est une bonne chose, car moi, j’adore cet endroit sombre au goût parfois acre.

Je ne lui demande pas si elle à déjà pratiqué la sodomie, je verrais bien le moment venu, en tout cas elle est très ouverte si je peux dire, pas d’interdit tout simplement.

Comme ma belle n’est pas farouche, je la fais mettre en levrette sur le bord du lit, son beau cul est la, devant moi, j’empoigne ses deux fesses que j’écarte fermement, pour avoir accès direct et libre à son anus, dans la pénombre, je devine cette auréole brunâtre qui est le siège de tous les fantasmes.

Louise s’offre à tous mes désirs, elle se laisse complètement faire.

Ma langue fait merveille dans ce petit trou, et Louise pousse des petits gémissements qui me démontrent qu’elle adore cette gâterie anale.

Une fois cet anus bien humidifié par ma salive, je tente d’y introduire doucement l’extrémité de mon index, quel plaisir de sentir son doigt pénétrer dans ce petit coin de paradis, ma partenaire semble toute disposée à des actes bien plus osés.

Puis au bout d’un moment, je varie les plaisirs, en remettant Louise sur le dos, pour cette fois lui faire goûter les saveurs de ma chatte dégoulinante de plaisir, je mouille comme une source de miel, elle va se régaler.

Ma compagne est sur le dos, se demandant bien ce que je vais lui faire, et bien elle se trompe, cette fois, c’est elle qui va œuvrer.

Je viens me positionner à califourchon sur son visage lui offrant directement mon sexe qui bave de plaisir, moi, je suis épilée, donc Louise va profiter à pleinement de mes sécrétions vaginales, j’espère qu’elle aime, car je suis très prolifique de ce côté-ci.

Ma belle brune à sa bouche contre ma chatte, je me dandine pour mieux sentir sa langue et ses lèvres me lécher.

J’adore cette position, car j’ai le sentiment de dominer ma partenaire, ce qui augmente mon excitation, tout est dans le psy.

J’entends comme un clapotis, c’est le bruit de la langue de Louise qui lèche ma chatte bien coulante, elle s’applique, et finalement apprend très vite, il faut dire que c’est un acte naturel, presque inné.

Entre femmes les choses se font sans savoir, nous sentons bien les envies de l’autre puisque nous sommes toutes les deux des femmes, nous connaissons parfaitement nos envies, nos désirs, nos fantasmes.

C’est un savoir-faire tout à fait naturel.

Louise se délecte de ma mouille, elle me tient tantôt par les cuisses, et tantôt par la taille, en tout cas, elle aime beaucoup, je la sens très gourmande. Une vraie petite furie au lit.(Mes plaisirs en live-3)

Comme j’ai envie de faire plusieurs choses avec Louise, j’arrête ma position en califourchon, ou « face sitting », et je vais faire la position du ciseau, c’est-à-dire que nous allons frotter nos chattes l’une contre l’autre, et exciter nos clitoris par un frottement doux et long, cette position est très excitante, car on regarde nos chattes mouiller, et au bout d’un moment quand nous coulons beaucoup, des filets gluants, collants, apparaissent entre nos sexes, nos foutres se mélangent.

Nous restons dans cette action pendant un bon moment, car le temps ne compte plus, c’est tellement bon, que nous pouvons durer une éternité.

Nos mouvements s’accélèrent, et la pression augmente sur nos chattes, le plaisir devient intense, presque insupportable, puis soudain nous crions toutes les deux en même temps, nous sommes en plein orgasme, et ça dure, c’est puissant, tout notre corps vibre, des frissons jusque dans le visage, grand moment de jouissance, indescriptible sensation de plaisir au paroxysme des sens.

Cette fois, il nous faut un entracte, repos!

Après quelque temps de récupération, je sens ma compagne en demander encore, il faut dire qu’à son âge, elle à un appétit sexuel débordant.

Ah, ma chérie, me disais-je en moi-même, tu vas goûter à mon jouet favori, celui que je viens d’acheter à Pigalle avec mes amies

Je ne dis rien, me lève, pour aller vers ma valise, j’en extrais un sac, dans lequel j’avais glissé mon nouveau jouet, le gode-ceinture.

Un petit tour dans la salle de bain, et me voici de retour harnachée comme un chevalier, avec mon sexe en silicone en guise de lance, brillant de lubrifiant.

Mon sexe en silicone est droit comme un dard, je suis prête à embrocher ma partenaire.

Louise, qui me voit arriver, ouvre grand ses beaux yeux, oh, mais tu as un très beau jouet me dit-elle en rigolant.

Oui, et je vais te faire goûter aux joies de mon gode.

Mets-toi en levrette!

Louise ne bronche pas, elle se place dans la position demandée.

Pour humidifier la chatte de Louise, je commence par lui prodiguer de nouveau un cunnilingus, mais elle est encore toute humide de nos précédents ébats.

Alors, je me place en position, derrière elle, et pointe mon gode sur l’entrée de son vagin, je la pénètre d’abord doucement, puis en la tenant par les hanches, j’imprime des mouvements de va-et-vient dans cette chatte plutôt accueillante.

Louise est aux anges, et exulte de plaisir, elle accompagne mes mouvements avec ses reins en s’empalant sur mon sexe en silicone, je sens ses fesses venir toucher mon bas ventre quand elle pousse sur moi, elle aime ça la petite salope.

Je me déchaîne, là voyant très réceptive de cette pratique, notre chevauchée fantastique prend des allures de rodéo sauvage, où se mêle une odeur de savane bien animale, nous sommes deux bêtes en rut.

Pendant que je la lime profondément avec mon gode-ceinture, j’en profite pour lui exciter son petit trou du cul avec mon pouce, et plus mon gros doigt avance dans l’anus de Louise, plus elle gémit, visiblement, c’est un truc qui l’excite.

Voyons ça de plus près !

Je fais durer son plaisir vaginal le plus longtemps possible pour la rendre folle de désir, sachant que mon pouce est déjà complètement rentré dans l’anus de ma chérie.

Tout glisse à merveille tellement ma compagne mouille beaucoup, du foutre coule le long de ses cuisses, c’est un réel un plaisir de la sentir bien à ce point.

Voyant son état d’abandon total, je ne perds pas de temps, doucement je me retire de sa chatte, et je viens positionner le bout de mon gode sur l’entrée de son anus, elle ne manifeste pas d’hostilité pour le moment, alors ne voulant pas que la bête refroidisse, je pousse mon gode-ceinture dans l’anus de ma belle.

Bon, là, c’est plus serré, je me retire un peu, et recommence, je fais cela une dizaine de fois, sans aucune désapprobation de ma partenaire, et à chaque fois je pénètre plus loin dans ce beau trou du cul, que je vois se dilater au fur et à mesure de son excitation.

Oui, surprise, mais Louise adore par le cul, ça ne fait plus aucun doute.

Enfin, toute la longueur du gode est dans son petit trou, je commence mon va-et-vient long, ample, doux, profond.

Pendant près de 30 minutes je lui ramone son beau petit cul, et elle y prend maintenant un sacré plaisir, Louise va prendre son pied par son cul, c’est assez rare, mais là, elle va jouir, son plaisir monte en puissance, moi, je suis aussi excitée qu’elle, soudain, elle pousse fort en s’empalant violemment sur mon gode, et pousse un râle, un gémissement venant du fond de son être, elle jouit, un orgasme anal fantastique, je la tiens fermement par les hanches pour lui enfoncer mon gode le plus profond possible, c’est dantesque, hallucinatoire.

Après ce rodéo fantastique dans les steppes du sexe, nous restons en position toutes les deux, histoire de reprendre nos esprits et de laisser retomber la pression.(Mes plaisirs en live-4)

Une fois l’ambiance revenue au calme, je me retire précautionneusement de l’anus de Louise, elle souffle, puis elle s’allonge sur le dos, c’est le repos bien mérité de la guerrière.

Moi, je pars vers ma salle de bain sur la pointe des pieds, histoire d’enlever mon harnais, en me disant que pour une première expérience c’est très concluant, une seule envie maintenant, c’est de recommencer.

Je vous raconterai bientôt mes nouvelles aventures sexuelles entre femmes.

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Orgasme entre femmes

Après-midi entre voisines-4

Les plaisirs entre femmes, être lesbienne et heureuse.

Après-midi entre voisines

Histoire érotique lesbienne. Rencontre entre lesbiennes.

Histoire d’une rencontre entre deux femmes en chaleur..En cherchant, je vois le rubrique « pour adultes », j’ai mon code secret, mais je ne l’ai pas encore utilisé, allons-y. Oh la la, il y a du choix ! Tiens, si je regardais un film lesbien, je ne connais pas ce genre de porno, c’est le moment de découvrir, il n’est jamais trop tard pour bien faire ! c’est parti, je cherche, et comme je n’y connais rien je choisis un peu au hasard. J’ai choisi un film porno lesbien, je vais découvrir ce monde. Les lesbiennes m’ont toujours fascinée, c’est le jour de découverte alors! Au bout d’une dizaine de minutes, je me retrouve baignée dans cet univers de sexe entre femmes, le saphisme. Je ne suis pas déçue, les filles sont belles, et les broutes minous à gogo, cunnilingus par ici, anulingus pas la, doigtage du vagin, puis du petit trou, ah, ça m’excite bien finalement, je n’aurai pas pensé que cela puisse être aussi excitant, pour moi en tout cas. Je dois dire que je commence sérieusement à chauffer, ma main glisse entre mes cuisses, et je commence à masturber mon petit clito, ma chatte mouille énormément, le canapé ne m’en voudra pas je l’espère, mais je suis en train de m’inonder, je n’en peu plus, ma respiration devient haletante, impossible de résister, je me lève, fonce dans ma chambre, alors que mon foutre coule le long de mes cuisses, j’ouvre ma commode, pour en saisir mon gode, je suis brulante d’envie, je crois que je baiserai avec un âne, tellement je suis en feu. Mon gros gode en main, je retourne dans mon salon, pour de nouveau m’asseoir sur mon canapé encore humide, brillant de foutre, mes deux jambes reposent écartées sur ma table basse, je me poignarde la chatte avec mon super sextoy, ça rentre comme dans du beurre tellement je suis mouillée, je peux gémir crier, tout faire, car je suis seule, le film m’excite outre mesure, je déborde d’envie, les gémissements et bruits organiques de la télé se mêlent à mes bruits, un vrai concert de salope en folie, il faut dire que je suis une chaudasse du cul ! Mon gode fait des merveilles, je ne vois même plus la télé, j’entends juste les cris, les bruits, et mes odeurs de foutre pour faire plus réel. Tout mon entre-jambes est en effervescence, au bord de l’explosion. Je ressors le gode tout brillant de foutre de mon vagin, et le présente à l’entrée de mon trou du cul, je le pousse lentement dans mon anus, c’est une auto sodomisation, un délice, je vais éclater de joie, car par ce petit trou je ne contrôle plus rien, ma folie prend le dessus, je hurle comme une louve au fond des bois, je jouis, j’éjacule sur mon canapé, que ça glisse…

Les perversions de Carole.

Melissa-Lubrick
Plaisir sexuel entre lesbiennes.

 Littérature érotique.

Histoire érotique lesbienne. Carole est une lesbienne très entreprenante et sait faire vibrer une femme, mais qui mieux qu’une femme connaît le corps d’une femme me direz-vous? Ma vendeuse de vélo se rapproche de moi, et commença à poser un baiser sur ma joue, puis doucement sa bouche frôlant la peau de mon visage arriva sur le lobe de mon oreille, tandis que ces doigts exploraient sans vergogne ma chatte qui s’ouvrait à ses avances, sans retenue aucune. Soudain, Carole se mit à me mordiller doucement le lobe de mon oreille, un grand frisson parcourra tout mon être, se traduisant par une inondation dans ma culotte, je mouillais comme cela m’est rarement arrivé, il faut dire que Carole est une experte. Puis elle susurra à mon oreille, tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Non, pas encore lui dis-je en reprenant ma respiration.Et bien je vais te faire goutter aux délices incomparables des plaisirs lesbiens, car vois-tu, je suis lesbienne comme tu dois t’en douter, j’adore les femmes, j’adore les entendre gémir sous mes caresses. Puis elle commença à masturber mon clitoris que je sentis gonfler de plaisir et d’envie, son doigt glissait sur mon petit bouton rose, aidé en cela par ma mouille abondante, je coulais à flots, ou presque. Il ne me fut pas possible de me retenir tellement j’en avais envie, j’écartais mes cuisses encore plus, tout en m’affalant encore plus sur le canapé, j’étais presque allongée, jupe relevée jusqu’au nombril. Ma petite culotte très élastique permettait à Carole toute sorte de mouvement avec ses doigts, mais sa masturbation devenait diabolique, je me mis à pousser un cri, en même temps que mon orgasme arriva, je n’en revenais pas de jouir aussi fort avec une femme. Alors que j’étais encore sur mon nuage orgasmique, l’entre-jambes encore étourdi par tant de plaisir, que Carole, infatigable, et, je pense, insatiable, continuait à me prodiguer des caresses, ses longues mains parcouraient mes cuisses comme pour maintenir mon excitation. De plus comme je suis une femme très chaude, je suis toujours prête à recommencer, Carole qui est une experte en femme, me dira plus tard qu’elle avait deviné que j’étais une chaudasse du cul, les femmes sentent bien ça ! Les mains de Carole s’aventurèrent sous ma jupe remontée, pour venir caresser mon ventre, mais visiblement ma culotte toute trempée gênait les initiatives de ma compagne du moment. C’est alors que Carole, ne donnant pas dans ce genre de détails, retira ma culotte, cette fois, j’avais les cuisses écartées avec ma chatte encore toute mouillée offerte à la vue de Carole. J’étais toujours allongée sur son canapé, Carole m’écarta encore un peu plus les cuisses, et je vis alors son buste se pencher en avant, puis sa tête venir s’emboîter entre mes cuisses, il ne fallait pas être devin pour savoir qu’elle allait me faire un cunnilingus, je vais découvrir les effets d’une langue de femme sur ma chatte, rien que de sentir le bout de sa langue sur mon clito et à l’entrée de mon vagin me remplissait déjà de bonheur, c’est une sensation indescriptible. Je suis aux anges, en regardant le plafond je goûte aux plaisirs du cunnilingus entre femmes,c’est quelque chose d’absolument divin, pour ne pas dire magique, la douceur et l’expertise d’une langue de femme sont nirvanesques. Je vois la chevelure de Carole entre mes cuisses relevées, ma main et mes doigts glissant dans ses cheveux. Les mouvements de la langue de Carole sont à la fois précis, doux et fougueux quand il le faut, cette langue diabolique tourne lentement autour de mon clito, à m’en rendre folle !

Ma tante est dominatrice…

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Rencontre entre lesbiennes.

J’adore ma banquière…Lien

Ma tante est lesbienne et dominatrice sexuelle…..

Livre audio MP3: Jouissance de femme, mes enregistrements d’orgasmes…..Lien

Littérature érotique

Histoire érotique lesbienne….ma jupe assez étroite remontait sur le haut de mes cuisses, j’étais immobilisée sur cette table de campagne, les cuisses écartées, en jupe et culotte, car ma tante ne m’avait pas déculottée. Moi, bâillonnée, je ne pouvais que ronronner tout au plus, je sentais la main de ma tante caresser mes fesses avec insistance, puis elle releva complètement ma jupe, je me sentais cette fois les fesses à l’air ou presque, car ma petite culotte blanche était encore sur moi. Ma tante, exerçait tout son vice sur mon corps, sa main entrant maintenant dans ma culotte, et sans perdre de temps elle enfonça son index dans mon anus, en l’ayant préalablement léché, je fis un sursaut, car son introduction était assez violente, après deux ou trois aller-retour dans mon trou du cul, elle rentra un deuxième doigt, toujours aussi brutalement, je me mis à rugir, ne pouvant rien faire d’autre tant le bâillon était efficace. Puis plus rien, silence, ma tante avait retiré ses deux doigts de mon orifice anal, je l’entendais marcher derrière moi, des bruits de vêtements, de tiroir, visiblement je devine qu’elle est dans ma salle de bains. Au bout d’une dizaine de minutes, je la sentis de nouveau derrière moi, c’est à ce moment, qu’elle écarta ma culotte pour faire apparaître la raie de mes fesses, je sentais qu’elle me tartinait l’anus avec le lubrifiant qu’elle avait pris dans le tiroir de ma salle de bains, je n’attendis pas longtemps pour comprendre, que ma tante c’était harnachée avec mon propre gode-ceinture, et que l’heure était venue pour moi de me faire ramoner l’anus par ma tante lubrique et infernale. Elle me sodomise avec une violence inhabituelle, je sens ce gros gode me pénétrer sans ménagement, et en profondeur. Alors que ma tata était derrière moi, me tenant par les hanches pour mieux m’empaler sur son phallus en silicone, moi, ne pouvant que rugir, tout au plus ronronner, seuls des bruits sourds pouvaient sortir du fond de ma gorge, car toujours entravée et bâillonné, j’étais comme réduite à l’esclavage, soumise aux fantasmes de ma tante. Je la sentais déchaînée sur mon cul, me ramonant avec des mouvements lents, amples et surtout profonds, elle prenait tout son temps, de plus j’entendais des mots crus, comme sale petite pute, je vais te démonter ton cul, tu ne pourras pas t’assoir de si tôt Mélissa. C’était injuste, car je ne pouvais même pas répondre. Ma position sur cette table en bois était celle d’un supplice, mais je dois avouer que j’adore ce genre de pratique sado-maso, et ça tombe bien, car ma tante ne se fait pas prier dans ce domaine. Pendant près de trois quarts d’heure ma tante m’encule, je commence à vraiment aimer ça, d’autant que je jouis souvent par le cul, c’est mon point sensible, et dans des pratiques sado-maso mon plaisir est décuplé. J’entends Ginette ma tante qui souffle, et observe mes réactions, elle regarde ma croupe onduler sous l’effet des pénétrations anales intenses du gode-ceinture. Moi, je suis réduite au silence, mais je gémis, de plus en plus fort, le bruit vient du fond de moi, je commence à jouir, alors ma tante ralentie ses mouvements pour accompagner mon orgasme, je pousse un énorme rugissement, car je jouis comme une folle, wouah, trop bon, je sens que je mouille du cul comme d’habitude. Ma respiration est à son comble, puis enfin je m’apaise, alors d’un geste précis le bâillon me fut retiré, ouf, je suis toute mouillée tant j’ai transpiré de plaisir. Je viens de vivre un intense moment de plaisir, et quand on a le sentiment d’être dans la sphère des interdits, cela exacerbe les sensations. Il n’y a pas de limite aux plaisirs entre personnes consentantes. Je suis complètement exténuée ce soir, ma tata est épuisante, toujours en quête de nouveauté, c’est le credo des femmes mures en général, pas de limitation, et demain risque d’être chaud à en croire ses confidences, mais je vous raconterai cela plus tard….

Apéro entre voisines.

Texte de Virginie Despente, dans Society 2019.

« À mon avis, dans vingt ans, la plupart des meufs sont lesbiennes. Ça va se faire tout seul. Je le crois réellement. Parce que tout est tellement mieux sexuellement, tu n’y perds pas et pour tout le reste, c’est tellement un soulagement inouï que… Qu’est-ce que tu vas te faire chier ? »

Littérature érotique. Apéro entre voisines.

Histoire érotique . Je ne sais pas trop comment me comporter avec ces deux lesbiennes, car pour le moment, il y a beaucoup de quiproquo, du moins, c’est mon impression, mais rien de vraiment flagrant pour le moment. Donc, je reste sur ma réserve, et je reste attentive à ce scénario. Alors que je portais mon verre de whisky à mes lèvres, je sentais Aurélie me dévorer des yeux, pendant que son amie, ma voisine, était en train de passer sa main sous son pull. Aurélie semblait vouloir me dire quelque chose, ou du moins me faire comprendre la situation. Ni l’une ou l’autre des deux femmes ne pouvaient s’imaginer que moi, j’aimais aussi les femmes, car elles ne le savent pas encore, mais, mes histoires sous forme de BD ne sont que les récits de mes propres aventures entre lesbiennesLes deux nanas ont de forts soupçons sur mes pratiques sexuelles, mais aucune certitude pour le moment. Nous sommes en fait dans une ambiance au fort accent sexuel, mais personne ne dit rien, mis à part, Laura ma voisine qui caresse tantôt le dos, tantôt la nuque d’Aurélie, des présomptions, pas de preuve! Notre réunion est cependant très sympathique, tout le monde s’observe, personne ne dit rien ! Bon, il faut que je me lève pour aller faire un pipi, je demande à Laura le chemin des toilettes, elle me dit que c’est en haut, à côté de sa chambre. Bien, j’y vais, et la, surprise, il me faut emprunter l’escalier, c’est évident, mais cet escalier est en verre, et j’avais pu comme cela admirer les dessous de Laura il y a deux jours, moi étant à la place d’Aurélie aujourd’hui. Comme je suis en jupe, je pense que les deux nanas vont se régaler à la vue de mon entre-jambe, si j’avais su, je n’aurais pas mis de culotte. Alors, me voici gravissant lentement cet escalier, et je sentais bien les regards vicieux de mes deux lesbiennes cochonnes de la soirée. Arrivée à la dernière marche, je fais exprès de faire une grande enjambée, pour m’offrir en spectacle, ce dont mes deux lesbiennes cochonnes ne se privent pas. En moi-même, je me disais, je suis avec deux bonnes salopes, et j’aime bien ! Enfin, je trouve les toilettes, je referme la porte derrière moi, mais pas de verrou pour fermer, ce n’est pas grave, nous sommes entre femmes après tout. De mes deux mains, je relève ma jupe le plus haut possible, puis descends ma culotte, et enfin je me soulage, quel bonheur ! J’entendis dans le même temps quelqu’un monter l’escalier, puis soudain, la porte des toilettes s’ouvre, bien sûr, elle n’était pas fermée ! C’est Laura, qui venait voir si j’avais bien trouvé ses toilettes, mais oui, j’y suis, d’ailleurs assise sur le trône, les cuisses bien écartées, Laura s’excuse, mais n’en perd pas une miette, encore plus salope que moi, ce n’est pas peu dire. Puis confuse, en apparence, elle referme la porte de mes toilettes, et redescend, je l’entends raconter son histoire à Aurélie qui éclate de rire. Me vient une idée, je vais retirer ma culotte, et la mettre dans ma poche, comme ça, je vais redescendre avec mon petit cul à l’air sous ma jupe, il faut que ça respire ces petites bêtes sauvages. Me voici donc sans culotte sous ma petite jupe, tout en me dirigeant vers l’escalier pour rejoindre les copines qui m’attendaient en bas sur le canapé, je pensais que cette fin d’après-midi était sous le sceau des ambiguïtés et des envies coquines….

Mon amante japonaise.

Lesbienne désir.

Lesbienne et désirs.

Extrait de mon histoire érotique.

Littérature érotique.

Histoire érotique lesbienne. Au bout d’un bon moment, voyant que ma chère voisine prenait goût à ce que je m’occupe de son trou du cul, je décide de lui introduire un doigt dans cet anus, qui commençait à se dilater sous l’effet de ma langue magique, elle adore ça, pour preuve, elle n’a pas arrêté de pousser pour ouvrir son petit trou. Mon index rentre doucement, je le mouille dans ma bouche, et le plonge dans le petit trou de ma voisine, elle frétille de joie, ses reins se creusent son cul bouge dans tous les sens, et elle pousse sur ses reins comme pour mieux s’empaler sur mon doigt, je pousse ce doigt au maximum, et lui implique des va et vient, Valérie devient intenable, encore plus me dit-elle, alors deux doigts, ah ! Petit grincement de Valérie, j’y vais doucement, ça y est, c’est rentré, quelques mouvements doux, et l’anus se dilate, d’ailleurs Valérie pousse tellement que mes doigts rentrent maintenant sans problème, je trifouille à l’intérieur, puis je sors mes doigts, et les faits lécher à Valérie, elle a poussé, donc un autre goût…. Mais elle le fait, le vice est dans la peau cette voisine ! La respiration de Valérie devient haletante, mes doigts ne suffisent plus, cette fois, elle s’excite, alors je retire mes deux doigts, et comme elle a le cul complètement dilaté, je plonge ma langue dans cet anus accueillant, quel délice, cette sensation nouvelle plaît beaucoup à ma compagne. Valérie mouille du cul, maintenant ce petit trou est à ma disposition, j’excite ma voisine, car je lui masturbe son joli clito en même temps, c’est un truc irrésistible. Elle ne tarde pas à jouir, elle en pisse de bonheur sur mon canapé, maintenant, je la possède, elle est à moi, je vais pouvoir lui faire tout ce que je veux. Après avoir joui, Valérie va faire un saut à la salle de bains, à son retour, je lui propose le café, mais il est presque froid, bon, c’est un café liégeois alors ? Rire ! Petite pose salutaire autour du café, nos caresses reprennent de plus belles, et nous discutons de sexe bien sûr ! J’ai envie de me faire lécher par Valérie, alors je me lève, laisse tomber mon kimono, et nue, je demande à ma voisine de s’allonger sur le canapé, moi, je viens sur elle en position 69, je lui dis directement, lèche-moi la chatte, commence par le clito, doucement, tu tournes autour avec ta langue, après quand je serai bien excitée, tu me boufferas toute ma chatte, tu verras, je mouille énormément, tu vas goûter à mon nectar, il est doux, abondant et sucré, après tu n’auras plus faim. Valérie me butine avec beaucoup de douceur, c’est une abeille consciencieuse.
J’attends que Valérie ait bien profité de ma chatte, et quand je serai bien, alors en récompense, je lui lécherai moi aussi son clito, pour jouir toutes les deux. Mais moi, je vais partir avant Valérie, je me redresse, pour qu’elle me lèche aussi mon trou du cul, car toute cette zone est excitée, en plus je suis très sensible du petit trou quand je suis en chaleur. Je pars, mon orgasme est bruyant, je crie fort, et j’éjacule dans la bouche de Valérie, je reste au-dessus de sa bouche, pour qu’elle n’en perde pas une goutte, ce foutre, est précieux comme du caviar, j’aimerai bien aussi pisser dans la bouche de Valérie pensais-je ! Mais attendons une prochaine fois ! Ma compagne est toute mouillée de mon foutre, son visage est luisant, et collant de mon nectar. Alors pour récompenser Valérie, je l’achève dans un cunnilingus démoniaque, elle ne peut pas y résister en deux minutes, elle inonde mon canapé, je lape tout son foutre, instant de bonheur.

Ma pédicure est lesbienne.

Ma pedicure est lesbienne
Ma pédicure est lesbienne.

Littérature érotique.

 Histoire érotique de gode…Comme je suis un peu gênée dans mes mouvements, c’est Sonia qui vient sur moi, elle ne me demande rien, elle exécute un mouvement rapide, pour se placer sur mon visage à califourchon, sa chatte sur ma bouche, elle est dégoulinante de mouilleje lèche tout ce délicieux nectar, bien sucré, et le sien est particulièrement odorant, et abondant, de quoi nourrir une ruche entière, alors c’est jour de fête pour moi aussi, je me gave de son miel. Dans le même temps Sonia me semble perdre le contrôle d’elle même, elle me fait lécher son anus, et insiste longtemps pour que ma langue aille explorer cet orifice, là il y a plus que du miel…et Sonia trouve un malin plaisir, à m’offrir son trou du cul, avec un brin de perversité évident, elle insiste, et profite de mon handicap pour se faire lécher son anus à outrance, visiblement, c’est son truc, elle me semble un peu scato ! Moi, dans mon état, je suis un peu coincée et cela semble être du goût de ma voisine, elle fait ce qu’elle veut de moi.  Puis, au bout d’un bon moment, et après avoir tout bu et tout mangé d’elle, elle se retire du dessus, et me laisse enfin reprendre une bouffée d’air frais. Mais pas de répits, Sonia, me retourne délicatement, pour me mettre sur le ventre, elle écarte mes cuisses, et avec ses deux mains, éloigne mes fesses, et se jette sur mon anuselle lèche avec une telle ardeur que j’en suis complètement déboussolée, elle est affamée, de mon trou du cul, c’est rare de développer autant de fougue pour dévorer un petit trou. Mais, en fait, je suis aux anges, je sens sa langue intrusive, parcourir d’abord délicatement le pourtour de cet orifice tant convoité, cet obscur objet du désir, puis avec force elle pousse sa langue à l’intérieur de mon trou du cul, elle y reste très longtemps, cet endroit lui plaît beaucoup, car elle y butine son miel. C’est interminable, je ne vais pas m’en plaindre, cependant au bout d’un bon moment, elle se retire, puis va chercher son sac à main, pour en extraire un gros gode, elle commence alors à me tartiner mon petit trou, avec le lubrifiant, et doucement me sodomise avec son gode, je le sens rentrer profondément en moi, puis elle imprime un mouvement de va-et-vient à son gode, j’adore cette sensation, elle me triture pendant 20 à 30 minutes, au bout de ce temps, je me sens très excitée, je vais jouir par le cul, c’est comme ça que je jouis le plus fort, ça y est je pars, mon orgasme anal fonctionne à merveille, je pousse un râle animal, long et profond, mon souffle est haletant, je suis épuisée, alors, Sonia retire le gode doucement de mon anus, et en femme experte et perverse, elle vient lécher mon trou du cul pour lui faire une bonne toilette pleine de douceur. Sonia est visiblement satisfaite, elle assume tous ses fantasmes, furent-ils les plus extravagants. Je ne vais pas me plaindre de cette situation, car en l’occurrence, moi je suis handicapée dans mes mouvements, et j’en profite largement pour me laisser faire, ma voisine pourrait tout me faire, je n’ai aucune limite. Non seulement, j’ai toujours un peu mal à ma cheville, mais en plus j’ai maintenant l’anus en fleur, largement dilaté pour que la langue de Sonia puisse y rentrer, et elle aime vraiment ça, il n’y a aucun doute là-dessus, car depuis plus de 30 minutes sa langue parcours mon trou du cul autour, et surtout dedans, c’est une divine sensation pour moi, je me délecte de ce moment absolument divin, et j’écarte généreusement mes cuisses pour mieux m’offrir à ma voisine. Je suis encore très excitée, je mouille du cul, et le plaisir commence à remonter sérieusement en moi, des frissons de plaisir m’envahissent, je m’agrippe à mon oreiller, tant j’ai envie de jouir de nouveau, car Sonia, est experte, pendant qu’elle me lèche mon anus, elle masturbe mon clito avec l’une de ses mains qu’elle à délicatement glissée sous mon ventre, c’est du pur bonheur tout simplement. Mais impossible de me retenir, le plaisir qui vient du plus profond de mes entrailles me fait perdre totalement le contrôle de moi-même, je me laisse complètement aller, je jouis fortement, en envoyant une abondante giclée de foutre dans les mains de ma voisine, alors, elle commence à ralentir ses mouvements de langue, et sa masturbation commence à faiblir, pour enfin me laisser le temps de reprendre mes esprits, les draps vont se souvenir de ce moment…. Je suis un peu sonnée, par cette longue séance de sexe entre femmes, je récupère lentement pendant que ma voisine est partie se faire une petite toilette dans ma salle de bains. Au retour de Sonia, elle me retrouve assise sur mon lit, le cul un peu bizarre, je suis assise sur l’instrument de mon bonheur du jour ! Mais, ma voisine à toujours une longueur d’avance sur moi, je la vois près du lit avec bande Velpeau d’une main, et pommade de l’autre, mais après tout me dit-elle je suis officiellement ici pour te servir d’infirmière, personne ne peut se douter de se qui se passe ici entre nous ! Et, le plus naturellement du monde, Sonia s’occupe de mon pied, après me l’avoir fait prendre avec rage !

Rencontre érotique avec ma pharmacienne.

Ma pharmacienne est lesbienne

Ma pharmacienne est lesbienne.

 Histoire érotique.

 Histoire érotique d’un massage entre femmes qui dérape…Françoise est une femme ponctuelle, pour notre deuxième rencontre massage, elle est exactement à l’heure. Maintenant, elle connaît le rituel, et elle se rend directement dans ma salle de bains, puis en ressort complètement emmaillotée dans un peignoir blanc.
Elle s’allonge sur mon lit, lequel me sert accessoirement de table de massage, cette fois, je la sens plus détendue que la dernière fois, mais elle garde cependant toujours sa petite culotte noire. Sans avoir à lui demander, elle se place directement en position ventrale pour recevoir mon massage sur son dos et toute cette face postérieure.
Pendant que je lui masse le cou, nous discutons de nos vies, effectivement, elle me confirme qu’elle est mariée avec deux enfants, elle a acheté cette pharmacie depuis peu, et cela représente beaucoup de travail, mais me dit-elle, on a rien sans rien. C’est difficile pour une femme de mener une activité professionnelle comme celle-ci et de s’occuper de sa famille, puis en rigolant, elle rajoute, et de trouver le temps de se faire masser….
Comme, elle m’avait dit que cette fois, elle aurait plus de temps, je m’applique pour la masser, je prends tout le temps nécessaire pour qu’elle se sente bien. Tout en discutant, j’arrive avec mon massage, à la hauteur de ses fesses, et comme elle garde sa culotte, je fais comme la dernière fois, c’est-à-dire que je glisse mes mains sous sa culotte sans hésitation d’ailleurs, j’insiste sur ses fesses, puis je m’aventure entre ses fesses avec un doigt, elle ne dit rien, au contraire, j’entends un petit gémissement de satisfaction, à peine perceptible, c’est vrai, mais tout de même ! Sa culotte est assez souple, je peux donc descendre une main dans sa culotteentre ses cuisses, là, c’est déjà osé, mais elle ne dit rien, ou plutôt, je la vois bouger un peu. Son entre-jambes est doux et chaud, je remarque qu’elle mouille, et elle écarte encore un peu plus ses jambes, ça m’excite aussi, mais pour le moment pas d’engagement vraiment sexuel, que du massage, qui déborde un peu, c’est vrai, mais à ma grande surprise ma pharmacienne semble plutôt apprécier mes gestes ! J’explore son entre-jambe assez longtemps pour l’exciter, et lui faire lâcher prise, elle se laisse complètement faire, les cuisses écartées, je n’hésite plus, mon doigt est sur l’entrée de sa chatte, c’est trempé. Je lui demande maintenant de se retourner, toujours avec sa culotte, elle ne propose à aucun moment de la retirer, tant pis. Je lui masse ses seins, je devrais plutôt dire, je caresse ses seins, les tétons durcissent, cette fois elle parle, et me dit d’une voix basse, j’adore ce que vous faite, c’est la première fois que je me fais masser comme ça par une femme. Ma réponse est dans le même esprit, et je lui dis, que moi, je suis contente de lui procurer du plaisir, et de rajouter, je vais vous donnez du plaisir ! Oui, je veux bien me répond-elle. Alors le ton est donné, je glisse directement ma main dans sa culotte, et mon doigt cherche son clitoris, que je ne tarde pas à masturber directement, elle respire fortement, elle mouille beaucoup, car cette situation est pour elle toute nouvelle, et d’autant plus excitante.
Plus question d’hésitation, mes doigts pénètrent sa chatte, elle écarte ses cuisses du plus qu’elle peut, cette fois, on enlève la culotte, je la masturbe tout ce que je peux, son plaisir monte, elle est complètement mouillée, elle se donne à moi, m’offre son corps, les jambes en l’air, elle jouit dans un orgasme bruyant. Je viens de faire jouir ma pharmacienne, elle ne pensait pas en arriver à ce stade, mais elle est très contente de découvrir ce plaisir saphique, je viens de lui ouvrir la porte du plaisir sexuel entre femmes.

L’art de vendre des sextoys.

Vente sextoys

Littérature érotique.

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Histoire de la vente de gode en réunion entre femmes, c’est hot… Véronique, notre hôtesse nous fait sont numéro de défilé de mode, aujourd’hui, le thème est le port du gode ceinture. Elle est là, devant les deux dernières clientes, à exhiber son jouet favori, Véronique passe et repasse devant nos yeux, et nous en profitons, pour de temps en temps, lui toucher ses fesses et elle semble bien adorer cette situation, toutes les trois, nous laissons tomber nos inhibitions. Pendant ce temps Mireille, la belle blonde, ne perd pas de temps, sa main commence à parcourir mes cuisses sous le regard envieux de Véronique, qui ne tarde pas à retourner dans sa chambre afin de retirer son harnais gode ceinture. Elle revient avec nous deux, alors que nous sommes assises sur le canapé, pendant ce court instant, Mireille et moi, nous nous caressons, elle glisse sa main dans mon soutien-gorge, puis me roule un baiser fougueux, sa langue rencontre la mienne, nous nous léchons nos langues. La situation devient très excitante, plus de barrières, Mireille passe sa main sous ma robe, entre mes cuisses, j’écarte mes cuisses, sa main explore mon entre-jambe, et dans le même temps Véronique avait pris place à côté de moi, à ma droite, j’avais Mireille, et à ma gauche, Véronique, voilà un trio d’enfer ! Mes cuisses bien écartées, je sentais deux mains sous ma robe, mes deux voisines me caressaient en même temps, puis l’une m’embrassait, l’autre me pelotait les seins, je suis l’objet de tous leurs désirs. Mireille, dégrafe mon soutien-gorge, puis, je me retrouve torse-nue. Il ne me fallut pas attendre plus longtemps, pour que véronique, retire ma culotte, alors que Mireille ôte ma robe, cette fois, je me retrouve complètement nue, entre les deux femmes, alors que nous sommes toutes les trois sur le canapé. Mireille se déshabille, elle aussi, Véronique était déjà en petite culotte, mais sans attendre retire son haut, puis sa culotte, ainsi nous voici toutes les trois sur un pied d’égalité, nous sommes nues sur le canapé, mais la place est un peu juste, alors Véronique nous propose de nous transporter dans sa chambre pour disposer de son grand lit de deux mètres. L’équipe des coquines traversent l’appartement, toutes complètement nues pour rejoindre la chambre de Véronique. C’est nettement plus confortable que le canapé, naturellement, je m’allonge, alors à ce moment Véronique m’embrasse sur la bouche, tandis que Mireille lèche mes seins en caressant mon sexe fraîchement épilé, cette sensation d’appartenir à deux femmes en même temps, est divine.  Cette phase est particulièrement sensuelle, c’est le jardin d’Éden. Je conseille à toutes les femmes de faire l’amour avec une autre femme, et à trois femmes, c’est le nirvana. Véronique continue de m’embrasser avec ardeur, pendant ce temps Mireille titille mon petit bouton rose, tout en me léchant mes seins, je commence à être sérieusement excitée, Mireille qui a les doigts dans ma chatte me dit, tu mouilles beaucoup toi ! Elle commence, à descendre sur mon sexe avec sa douce bouche, je sens ses lèvres sur mon ventre, puis elle continue à descendre, enfin, je sens la chaleur de son souffle sur ma chatte, sa langue commence à me déguster, tantôt le bout de sa langue tourne autour de mon clito, tantôt le bout de sa langue pénètre dans mon vagin tout coulant de plaisir… Mais Mireille ne veut pas me faire jouir maintenant, alors que Véronique occupe toute ma bouche avec sa langue, Mireille se lève, et retourne au salon pour prendre les sextoys qui étaient restés sur la table basse. De nouveau sur le lit, Mireille n’hésite pas, délicatement, elle écarte mes jambes puis, pénètre ma chatte avec un gode de bonne taille, je suis tellement excitée, que nul besoin de lubrifiant, ça rentre tout seul. Elle me masturbe avec le gode, pendant qu’elle me lèche mes seins, quant à Véronique, elle m’embrasse goulûment. Cette fois, je vais partir, car l’excitation est à son paroxysme, je suis trempée, Véronique me tient le visage, sa langue remplie ma bouche, impossible de dire un mot, juste des gémissements de plus en plus intenses. Je bouge énormément sous les assauts du gode, j’en veux encore plus, mais là, j’explose, j’éjacule intensément, je jouis, je hurle malgré la langue de Véronique dans ma bouche, je me suis transformée en objet sexuel pour femme à cet instant, et vraiment, j’adore.

Initiation érotique de ma cousine.

Ma voisine est lesbienne

Ma cousine est lesbienne.

Littérature érotique.

 

Livre audio MP3: Jouissance de femme, mes enregistrements d’orgasmes…..Lien

Histoire érotique de ma cousine qui découvre les plaisirs lesbiens...Maintenant que Marie est là, devant moi, je ne peux plus dormir. Des idées étonnantes traversent mon esprit, d’autant que je sens la respiration de ma cousine augmenter légèrement. Elle me regarde fixement, puis me dit j’ai chaud, il faut dire qu’avec tout le vin et le champagne qu’elle à but, ça donne quelques calories qu’il va falloir éliminer. Puis Marie se redresse dans le lit, et retire soudain son tee-shirt avec lequel elle c’était couché, voilà comme ça j’aurai moins chaud me dit-elle. Son buste se dessine en contre-jour, elle a de magnifiques seins, bien droits, et je devine le dessin de ses tétons, bien raides comme deux petits dards. Puis Marie se rallonge dans le lit familial. En se remettant dans le lit, ma cousine n’hésite pas un instant, elle s’allonge cette fois tout près de moi, je sens même la présence de ses seins sur moi. Mes pensées obscènes seraient-elles réalités ? Marie est toute nue dans mon lit, et pendant ce temps Juliette ronfle et pète aussi de temps en temps, c’est la fête dans sa chambre. Je tâte le terrain. Ma main se dirige vers la joue de Marie, doucement je descends ma main sur son cou, et je profite de l’endroit pour lui caresser affectueusement sa nuque. Ceci provoque en Marie un émoi certain, je la vois ouvrir légèrement sa bouche, d’ailleurs elle a de très belles lèvres pulpeuses et attirantes, qui ne demandent que des baisers. Mes caresses sur sa nuque provoquent en Marie comme une électrisation, je sens son corps se raidir et bouger au fur et à mesure. Mon audace va grandissante, voyant que ma cousine ne disait rien, mais semblait à l’évidence y prendre un malin plaisir, ma main indépendante et baladeuse, pris la décision de faire une promenade sur les seins de Marie. Cette main aventureuse se risqua sur une poitrine que je sentais se gonfler à grande vitesse, plus de doute Marie à des envies, allez, tant pis pour les conventions, j’y vais. Au moins, je prends soin de ma cousine. C’est l’esprit de famille. Maintenant les dés sont jetés, pas question de s’arrêter en si bon chemin. Ma main n’obéit plus qu’à elle même, elle se promène partout, impossible de la raisonner, ma menotte coquine s’en donne à cœur joie. Cette fois, mon sang ne fait plus qu’un tour, ma main infernale ne cesse de vagabonder, je la retrouve soudain entre les cuisses de ma cousine, et je me rends compte qu’elle mouille comme une fontaine, et les rousses c’est très hot, je sens le parfum de son foutre remonter sous les draps, fragrances sauvages de la savane. Marie cette fois libérée, écarte ses cuisses pour mieux m’offrir sa ruche à miel.

Une passagère bien coquine.

Passagère lesbienne

Passagère lesbienne.

Littérature érotique.

Un voyage en voiture très sexy, ma conductrice est lesbienne….De nouveau en route vers Cherbourg, toujours sur l’autoroute, le temps est clair, je suis d’ailleurs très étonnée de la visibilité au travers des vitres teintées de cette voiture, c’est drôle de penser que vous voyez bien vers l’extérieur, mais que les gens de l’extérieur ne vous voient pas, ou presque, d’ailleurs, j’ai lu que le gouvernement allait interdire les vitres teintées, rumeur ou réalité ? Alors que nous roulions en discutant de nos travails respectifs, je regarde Sandrine, et je vois que parmi les boutons du devant de sa jupe, celui du bas était déboutonné, me laissant entrevoir un peu plus les jolies jambes de ma conductrice. Moi, j’étais en robe, je croisais mes jambes, laissant remonter volontairement elle-ci pour laisser un peu plus mes cuisses à la vue de Sandrine, ma conductrice, histoire de tester ses orientations sexuelles, car pour le moment tout est dans le non-dit et les attitudes provocatrices. Sandrine ralentit un peu, moi, je regarde le paysage sur ma droite, c’est bien la Normandie, que de verdure, c’est beau. Je me retourne vers elle pour lui parler du paysage, et là, je me rends compte que deux boutons de sa jupe étaient défaits, je regarde avec insistance tout en lui parlant, dans le même temps, je sentais que quelque chose se passait, moi, je n’hésite pas, je croise mes jambes dans l’autre sens, et cette fois, ma robe remonte vraiment, j’y vais sans hésitation, Sandrine me regarde et cette fois, déboutonne presque tout les boutons de sa jupe, maintenant, je vois sa culotte, elle écarte ses cuisses autant que possible, alors qu’elle conduit, en même temps, elle fait très attention. Je lui dis, il y a un parking dans 3 000 mètres, arrêtons-nous ! Quelques minutes après nous voici au fond du parking, seule voiture, portes verrouillées, vitres teintées, nous passons à l’arrière du véhicule. Une grande banquette pour nous deux, elle jupe ouverte, moi robe en haut des cuisses, ma main dans sa culotteje la caresse, doucement, elle mouille abondamment, je la masturbe dans la voiture, Sandrine me dit que c’est la première fois qu’elle fait ça avec une femme, je l’embrasse sur la bouche et je lui fais goûter à ma langue. Ma conductrice se laisse faire, ma parole, elle devait en rêver pour en avoir autant envie, elle est complètement trempée, je lui rentre un doigt dans son vagin, elle adore, je profite de ce doigt bien lubrifié pour lui faire goûter aux plaisirs de l’anus, je lui enfonce un doigt dans son petit trou du cul, elle ne dit toujours rien, elle gémit de plaisir, alors je lui glisse un deuxième doigt dans son petit cul, surprise, elle mouille du cul.
J’adore faire craquer une femme, et lui faire goûter aux plaisirs sexuels entre femmes, même celles dites hétérosexuelles, bien sous tous rapports, se laisse tenter par cette aventure inoubliable, bien sûr certaine ont des interdits, et malgré leurs envies et leurs pulsions, hésitent à sauter le pas, pourtant, c’est, je pense dans la nature des femmes que d’être attirée aussi par les femmes, cependant, à mon avis, il ne faut pas mélanger les deux, c’est-à-dire pratiquer le triolisme, car les plaisirs sont de nature très différent, voire incompatible, c’est comme de mettre de la vinaigrette sur un coulis de framboise, alors je conseille aux femmes de faire avec l’un ou l’une, mais pas les deux en même temps. Nous sommes toujours installées à l’arrière de la voiture, personne autour, Sandrine découvre les plaisirs saphiques, et elle est très demandeuse. L’atmosphère de la voiture sent le sexe de femme, un parfum sucré, presque exotique. J’ai envie de faire jouir Sandrine avant de reprendre la route, car nous ne pouvons pas rester dans ce parking trop longtemps. Elle écarte ses cuisses sous mes caresses, elle n’a plus sa culotte, je descends vers son sexe, complètement mouillé, et je commence à lui faire un cunnilingus, dont j’ai maintenant le secret, je prends son clito entre mes lèvres, et je le caresse doucement du bout de ma langue, Sandrine commence à vibrer, son souffle devient profond, moi, je lèche sa chatte, comme une affamée que je suis. Sa mouille coule à flot, c’est abondant et j’adore me délecter de ce doux et sucré nectar. Sandrine est tellement excitée qu’elle ne tarde pas à jouir très violemment, avec un orgasme dont elle se souviendra très longtemps. Pour une première avec une femme, c’est une réussite me confit Sandrine. Maintenant, il nous faut penser à reprendre la route, elle enfile de nouveau sa culotte, nous nous préparons à repartir, juste au moment ou une voiture vient stationner juste à côté de nous, alors qu’il y a de la place partout ! Moteur en route, et reprenons l’autoroute, détendues que nous sommes, je suis satisfaite d’avoir fait plaisir à ma conductrice, elle me dit en rigolant, tu es la passagère idéale…

Mes aventures entre femmes.

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Plaisirs sexuels entre lesbiennes.

Aventures entre femmes lesbiennes.

Histoire érotique

Je découvre que ces deux dames, Angèle et Honorine sont des fêtardes, elles sont hétérosexuelles, mais aiment bien faire venir des femmes de préférence assez jeunes pour les baisers ensemble, c’est mon impression pour le moment. De toute façon, moi, je les trouve marrantes, et en plus elles ne s’embarrassent pas de détails, elles sont plutôt bien conservées et avec des envies sexuelles qui sortent par les yeux. Elles présentent bien, deux bourgeoises bronzées complices en plus les Daltons du sexe entre femmes. Le ton et les verbes montent autour de la table, troisième coupe de champagne, les bulles font effet dans le petit groupe de femme que nous sommes, les rires et les gestes sont de plus en plus vaillants, Angèle qui est toujours en face de moi relève encore un peu plus sa jupe et écarte les cuisses, cette fois, je vois bien, elle n’a pas de culotte, et voyant que je regardais avec insistance, elle ouvre alors ces cuisses à fond, j’ai vu sur sa chatte en direct, elle n’hésite pas, sur d’elle, et son amie Honorine lui dit, et si tu nous montrais de plus près ta chatte, cette fois, c’est l’annonce d’une partie de cul entre femmes, deux femmes très mures veulent simplement se baiser une jeune. Alors Angèle se lève, s’approche de moi, sa jupe est complètement relevée, sa chatte, juste devant moi, elle attrape ma main, et la place entre ses cuisses, elle mouille, c’est trempé, ça coule, voici une femme qui n’a pas de problème de libido, et visiblement pas froid aux yeux.
Pendant que ma main se trouve entre ses cuisses bien humides, l’autre dame, Honorine, sa copine, lui caresse les fesses, l’ambiance est très chaude, plus de retenue ! Moi, je suis toujours assise, et je me dis que ces dames doivent être coutumières de ce genre de rencontre, le coup du champagne à la maison est un prétexte pour attraper l’abeille butineuse. Angèle nous fait venir dans sa chambre, je me retrouve nue sur le lit, Honorine m’écarte les cuisses et me lèche directement ma chatte, et comme tout ça est bien excitant, je mouille beaucoup, ce qui semble bien du goût de ma compagne d’entre mes cuisses, je l’inonde complètement, elle aime cette vieille salope, tu en veux alors je vais t’en donner. Mais pendant que Honorine me fait un cunnilingus de gourmande, l’autre, Angèle, sans rien dire vient à califourchon au-dessus de ma tête et m’oblige à la lécher, elle est épilée, heureusement, en plus elle coule bien, je la lèche et je bois son abondante mouille, c’est chaud et sucré. Les deux dames sont vraiment deux salopes, aucun tabou, Angèle qui est la dame de 60 ans, est au-dessus de moi, je la lèche pour ne pas dire, je la bois, car elle me pisse dans la bouche, en me tenant la tête coincée entre ses cuisses, elle me traite de petite pute, en me disant tient boit ma pisse, tu verras, c’est bon pour ta santé ! Je suis en présence de femmes sans aucun préjugé, elle me tient bien, et je bois tout jusqu’à la dernière goûte, ça change du champagne parce que c’est chaud et sans bulle ! Je suis comme un gadget sexuel, Angèle et Honorine assouvissent leurs envies sexuelles, et ces deux dames semblent plutôt osées, sans tabou, du moins, c’est mon impression. Pendant que j’essuie la chatte d’Angèle avec ma langue, l’autre, Honorine m’excite le clito avec sa langue, je ne sais plus trop  j’en suis, alors je me laisse faire, le plaisir monte en moi, la jouissance arrive, je ne contrôle plus rien, alors Angèle qui m’a pissé dans la bouche me fait maintenant lécher son trou du cul, ma langue est à l’entrée de son petit trou, et là, je sens son anus s’ouvrir, car Angèle pousse comme pour chier, et son orifice se dilate, ma langue va explorer l’intérieur de son trou du cul, mais d’un seul coup, le plaisir me gagne, je jouis et en même temps, je pousse profondément ma langue dans le trou du cul d’Angèle, j’ai joui en hurlant, les deux dames s’arrêtent doucement avec élégance et satisfaction

Initiation érotique de ma voisine.

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Initiation lesbienne.

Histoire érotique.

Pendant que nous discutions en sirotant nos whiskys, j’observe que ma voisine a les mains un peu baladeuses sur Aurélie, assise à côté d’elle sur le canapé. Surprise, cela ne semble pas gêner Aurélie le moins du monde, j’ai comme l’impression que les deux nanas sont de connivence.  Je fais comme si rien ne se passait, mais tout de même Laura passe sa main sur le coup de son amie, laquelle est visiblement aux anges, tandis que moi, je suis un peu là à tenir la chandelle en quelque sorte.  Je me demande ce que ces deux garces, disons les choses comme je les sens, essayent de faire, de l’exhibition, ou alors, c’est pour elles une situation normale!  Laura, pas du tout incommodée par ma présence, continue vaillamment à passer sa main, cette fois dans le dos d’Aurélie, qui commence sérieusement à bouger son beau cul sur le canapé, visiblement, ça la gratte quelque part !  Nos verres viennent de prendre un sacré coup de vieux, alors Laura ne se fait pas prier, se lève de nouveau pour nous resservir un grand verre de ce breuvage écossais aux mille vertus.  Puis Laura reprend sa place à côté d’Aurélie, dont la jupe commence à escalader ses belles cuisses, de mon point de vue, je commence à me régaler de ce spectacle gratuit, les hauts des cuisses d’Aurélie sont offerts à mes yeux, et clic-clac j’enregistre tout ça dans mon cerveau, qui aidé par mon allié écossais commence à avoir des envies plus que coquines.  Je commence à imaginer des scènes pornos entre les trois femmes en présence en cette fin d’après-midi.  D’un seul coup, une idée me traverse l’esprit!  Et si je dessinais cette rencontre pour en faire une BD porno, d’après une histoire vraie ?  L’idée me plaît bien, mais pour le moment j’en suis à l’imaginaire. 

Pourtant, l’ambiance ne me semble pas loin de la partouze entre femmes, mais moi, toute nouvelle voisine, je suis un peu sur ma réserve.

Initiation d’une beurette.

beurette-lesbienne

Beurette lesbienne.

Histoire érotique.

En buvant nos cafés, je regarde avec envie les longues jambes de ma femme de ménage, elle se rend bien compte de l’effet qu’elle produit sur moi, et elle n’hésite pas à faire des effets de jambes.Mais au fur et à mesure de la discussion, Karima écarte nonchalamment ses jambes, comme je suis juste en face d’elle, ma vue est plongeante, mes yeux vicieux regardent entre ses cuisses, elle me provoque ! Le jeu va crescendo, les cuisses de ma femme de ménage s’ouvrent toujours un peu plus, ce qui à pour effet de faire remonter un peu plus sa jupe, cette fois je vois sa culotte, hier elle était blanche, aujourd’hui c’est une culotte rouge, encore plus excitant ce rouge. Perverse comme je suis, je n’ai pas enfilé de culotte aujourd’hui, bien décidée à exciter ma femme de ménage, après-tout, il faut connaître les gens avec qui on travaille, je pense. Comme je suis en face de Karima, moi, engoncée dans mon canapé, j’écarte maintenant bien mes cuisses, c’est sans ambiguïté, je m’offre à ma femme de ménage, j’ai la jupe remontée, ma chatte à l’air ! Alors Karima se lève, vient vers moi, remonte complètement sa jupe, moi, je lui baisse sa culotte, je passe ma main entre ses cuisses, elle est toute mouillée, c’est une femme de ménage cochonne comme moi, alors on va s’entendre. Puis comme elle se trouve devant moi, entre mes jambes bien écartéesla chatte déjà coulante de plaisir, Karima se baisse, vient se placer à genoux entre mes cuisses bien ouvertes, alors à ce moment, elle plonge sa tête sur ma chatte, et entame un prodigieux cunnilingus, pendant qu’elle me lèche, je déboutonne mon chemisier, pour dégager mes seinsmes tétons sont raides de plaisir. Pendant que ma beurette me lèche, elle me pénètre par l’anus avec son index, là, je redouble d’excitation, j’inonde mon canapé de mon abondant nectar, vas-y bouffe moi, baise-moi par tous mes trous, car j’adore. Cette première rencontre est très rapide, même violente, car à force de nous exciter mutuellement nous en avions très envie l’une comme l’autre.

Moi, impossible de me retenir, je me cambre sur mon canapé, je crie, ma respiration est haletante, je n’en peux plus, j’aimerais que Karima me baise toute une nuit, elle est très excitante, une salope comme j’aime. Maintenant, j’ai joui comme une bête, comme une chienne ! Ma femme de ménage s’applique à bien faire mon ménage intime, devant et derrière, un bonheur ! Une fois terminé, je dis en plaisantant à Karima, tu vois, en plus de ton ménage, tu me baiseras tous les jours dés ton arrivée, avant même de commencer ton travail avec l’aspirateur ! Elle rigole, et me répond que tout le plaisir sera pour moi, je vous lécherai tous les jours, et plus encore ! Chiche, je lui réponds !

J’aime bien ma nouvelle recrue, car elle est compétente dans beaucoup de domaines, avec elle, c’est le ménage partout.. Maintenant que la récréation est terminée, la vie et les activités domestiques vont reprendre normalement, alors je me lève de mon canapé, non sans oublier de l’essuyer, car il est tout mouillé de mes sécrétions sexuelles.

Pendant ce temps, Karima est allée dans la chambre pour se changer, elle ne tarde pas à réapparaître avec sa blouse de travail, qui, soit dit en passant est très sexy. Me concernant, je vais dans le bureau pour rédiger des courriers sur mon PC. Pourtant, je suis encore sur un nuage, avec cette partie de cul entre ma femme de ménage et moi. Déjà, j’entends le doux ronronnement de l’aspirateur que Karima pousse langoureusement, elle est tournée son dos face à moi, alors je suis saisie par la vue de ses fesses quand elle se baisse un peu, en effet comme sa blouse est assez courte, je vois devant moi un beau culsans-culotte, Karima est nue sous sa blouse, je trouve cela coquin, et c’est autorisé dans la convention collective de ma mini-entreprise….Mes pensées sont vagabondes, je suis obsédée par les fesses de ma femme de ménage, j’irai bien y mettre ma langue. J’aimais bien la culotte rouge de ma beurette, mais très franchement, sans-culotte, c’est mieux.

Rencontres érotiques entre femmes mariées.

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Femmes bisexuelles.

Reprenons nos esprits après cet intermède agréable. Suite du menu, le poisson, après la moule, c’est dans le même ton ! Nous terminons ce repas, entrecoupé de nombreux baisers et caresses diverses de plus en plus osées. Il reste une coupe de champagne, nous en profitons sans nous faire prier, les bulles nous donnent plein d’envies inavouables. Pas le temps de prendre un café, j’emmène Marion dans ma chambre d’ami, vite, nous sommes allongées sur le lit, nos étreintes sont à la hauteur de nos envies, je déshabille Marion, nue sur mon lit, moi, je jette mes vêtements sur le fauteuil, nous sommes maintenant nues l’une contre l’autre. Nos baisers sont fougueux, j’excite Marion, son clito est en érection, et elle mouille énormément, je quitte sa bouche, et je viens lui lécher ses seins, ils sont beaux, fermes avec des tétons durcis par l’envie, pendant le même temps, je continue à la masturber, je descends ma bouche vers son sexe, c’est une première pour moi, je vois son sexe maintenant de très près, effectivement son clito est assez gros pour une femme, j’embrasse le bas de son ventre et j’approche doucement ma bouche de son sexe, elle se cambre, écarte bien ses cuisses pour s’offrir à ma bouche, je me lance et attrape son clito entre mes lèvres, c’est comme-ci je lui faisais une fellation, j’aspire son clito, il est très raide, Marion ne pourra pas me résister longtemps tellement elle est excitée par cette situation qu’elle ne connaissait pas, Je lèche Marion comme si je voulais la dévorer, ça y est elle part dans un orgasme de folle, elle hurle, c’est l’extase pour elle, puis elle éjacule dans ma bouche, là, je déguste son nectar sucré, hum, c’est doux et bon, cette sensation est nouvelle pour moi bien sûr, mais également pour Marion, avoir un orgasme aussi violent avec une femme, elle n’y pensait pas il y à quinze jours, les choses sont arrivées très vite en fait. Ma compagne récupère ses esprits, car elle est très étonnée par ces nouvelles sensations de plaisir entre femmes. Nous sommes allongées toutes les deux, nues sur mon lit, Marion me caresse, ses mains sont douces, ses gestes lents comme j’aime, elle me retourne pour me placer sur le ventre, de cette façon, elle peut caresser mon dos, mes reins et mes fesses, d’ailleurs, elle me dit qu’elle adore mon postérieur. Je sens ses lèvres dans mon cou, et doucement, elle parcourt mon dos en longeant ma colonne vertébrale, c’est extrêmement sensuel, sa bouche arrive à la hauteur de la naissance de la raie de mes fesses, elle sort alors le bout de sa langue, puis descend doucement entre mes fesses, elle se place cette fois derrière moi, et elle m’écarte les jambes pour se placer entre elles, Marion est accroupie et se penche sur mes fesses, les embrasse, et avec sa langue cette fois bien sortie, elle remonte entre mes fesses, puis écarte mes fesses, je sens maintenant sa langue autour de mon anus, j’ai l’impression qu’elle aime cet endroit, à moins que ce soit un fantasme, peu importe, je découvre et j’aime. Marion écarte franchement mes fesses, et me lèche goulument mon anus, puis y rentre son doigt, voyant que j’aimais, elle rentre deux doigts, puis une fois mon anus bien dilaté, elle retire ses doigts et les remplace par sa langue, ah, que c’est bon ce truc-là. Pour mieux sentir sa langue dans mon petit trou, je me mets en levrette, alors Marion se déchaîne, c’est vraiment une vorace affamée, elle peut tout manger, j’adore ce truc-là ! Cela m’excite terriblement, et ensuite, elle me lèche ma chatte qui n’arrête pas de pleurer de bonheur, oui, ça coule bien, Marion se régale d’ailleurs beaucoup, c’est son dessert, et elle peut sans problème se resservir… Mon orgasme arrive très vite, nous en avons toutes les deux trop envie d’ailleurs, je jouis fortement en éjaculant dans la bouche de ma compagne, qui n’en perd pas une goutte, je trouve que pour une découverte, c’est très réussi. Nous avons toutes les deux expérimenté cette facette de la sexualité entre femmes, nous aurions dû essayer cela plus tôt. L’après-midi passe très vite, il faut déjà rentrer dans nos foyers, moi, je suis sur place, mais Marion à de la route à faire. Nous allons nous revoir la semaine prochaine au même endroit, chez moi !

Ma rencontre érotique avec une femme d’affaires.

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Sensualité lesbienne.

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Histoire érotique.

Une fois sortis du café, nous nous dirigeons directement vers la voiture, une grosse berline noire aux vitres teintées, nous sommes installées toutes les deux dans son carrosse, avec vue panoramique sur l’extérieur, mais sachant que personne ne pouvait nous voir, c’est assez étrange comme sensation. Madeleine démarre, et fait le tour de la Place des Ternes, puis me propose d’aller se garer dans un parking souterrain que visiblement, elle connaissait. Dix minutes après nous voici au 4ième sous sol d’un parking, Madeleine, se gare dans une place assez à l’écart, cette zone est plutôt mal éclairée, mais qu’importe, la nuit tous les chats sont gris. Le moteur est maintenant arrêté, silence. Madeleine se rapproche de moi, mais en étant à l’avant pas commode de se rapprocher, la voiture est large, alors nous décidons de nous installer à l’arrière de la voiture, avec une banquette bien grande et très confortable. Nous sommes maintenant à l’arrière du véhicule, j’entends le clic de verrouillage des portières. Et sans attendre Madeleine me prend dans ses bras et m’embrasse avec fougue en mélangeant sa langue avec la mienne, c’est chaud, profond et très excitant d’être dans une voiture entre femmes. En même temps je sens les mains de mon amante explorer ma poitrine, nous retirons nos vestes, Madeleine est très excitée et pleine d’envies, je dois dire que cette situation ne me laisse pas indifférente, être entre femmes dans une voiture est plutôt de nature à faire monter votre libido, les baisers de ma compagne se font de plus en plus insistants, en même temps que Madeleine m’embrasse sur le cou, elle ouvre mon haut, quelques boutons et hop, me voici en soutien-gorge, mais pas pour longtemps, car elle l’enlève, et libère mes seins qu’elle commence d’abord à caresser, j’adore et mes tétons d’ailleurs ne tardent pas à se durcir, ce qui rend la situation encore plus excitante. La bouche de mon amante descend vers mes seins, puis elle lèche doucement et goulûment mes jolis seins bien fermes, je suis torse nue dans la voiture, madeleine en jupe, qui avec nos mouvements remonte assez haut, me laissant entrevoir sa culotte noire, j’en profite pour glisser ma main dans sa culotte et la masturber en même temps qu’elle me lèche mes seins, Madeleine est complètement trempée, elle mouille beaucoup sous l’effet de mes caresses. Pendant que madeleine me lèche mes seins, elle dégrafe rapidement mon pantalon, pour ensuite glisser elle aussi une main dans ma culotte, et caresser mon petit bouton rose, le pantalon à moitié descendu, mais étant un peu gênant pour nos ébats, je ne tarde pas à le retirer entièrement, me voici presque toute nue dans la voiture, juste en petite culotte. L’atmosphère est chaude, ça sent le sexe dans la voiture, les doigts de mon amante pénètrent dans mon vagin déjà tout mouillé, un mouvement de va et vient dans mon sexe me comble, Madeleine retire sa jupe, puis ma culotte, cette fois me voici complètement nue dans sa voiture, d’instinct j’écarte mes cuisses pour mieux sentir les assauts de ma compagne, je m’allonge sur la banquette, avec les cuisses très écartées, une jambe reposant sur le dos du siège avant, et l’autre jambe sur le dos du siège arrière, c’est-à-dire la banquette arrière. C’est dans cette position, ouverte, offerte, que Madeleine commença à me faire un cunnilingus en douceur pour le début, et en glissant sa langue dans mon vagin pour boire tout mon abondant nectar, elle adore me déguster, car me dit-elle tu as un goût de miel, je suis sa ruche, mais je ne pique pas. Mon excitation est à son paroxysme, au bord de l’explosion et complètement incontrôlable, moi les cuisses écartées dans la voiture, Madeleine abusant de moi, avec bien sur ma complicité plus que coquine. Cette fois c’est au-dessus de mes forces, j’ai envie de jouir, je me laisse partir non sans un gémissement long et profond. C’est la première fois que je me fais baiser dans une voiture, et par une femme, ça n’a pas d’égal, alors j’ai bien envie de recommencer dès que cela sera possible. Maintenant que nos ébats sexuels sont terminés pour le moment, il faut nous rhabiller, et penser à rentrer chez nous. Madeleine, infatigable, m’embrasse et recommence à glisser sa main dans ma culotte à peine remise, mais il faut que je rentre lui dis-je. De toute façon, nous nous revoyons dans quelques jours pour toute la journée cette fois avec un plan sexe non-stop. Madeleine démarre, et nous sortons du parking comme si rien n’était arrivée, comme deux femmes bon chic bon genre, voyons ! Madeleine me dépose aux environs de chez moi, discrètement et avec une bise me confirme notre prochain rendez-vous pour lundi à 11h, elle viendra me chercher vers chez moi.

Leçons de tango.

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Sexe lesbien.

Histoire érotique.

Nous reprenons notre déjeuner, le vin commence à avoir des effets hallucinatoires sur nos comportements, nos mains s’égarent ici et là, moi, j’éprouve un malin plaisir à glisser ma main entre les cuisses de Carmen, je passe un doigt habilement entre sa culotte et sa douce peau, son minou est déjà humide, normale, j’ai pensé dès le début que c’était une femme très chaude, une latino sensuelle ! Carmen se prête bien au jeu, elle écarte bien ses cuisses sous la table, et tout ça avec un sourire entendu, elle se trémousse la cochonne, et moi, de lui dire tu voudrais découvrir la douche dorée, et à ma grande surprise, elle me répondit du tac au tac, « oui »! Alors, je me lève, entraînant Carmen avec moi, vers son canapé de cuir, je l’allonge sur le dos, je retire ma culotte, puis d’un geste sur, je relève ma jupe, puis ans rien dire de plus, j’adopte la position de face-sitting, c’est-à-dire que je viens me placer sur le visage de ma prof de tango, là, c’est une autre danse, je commence par présenter ma chatte déjà dégoulinante de foutre, à la bouche de Carmen, et pas besoin de lui dire quoi que ce soit, Carmen commençait à me lécher ma chatte brûlante, quand je sentis une irrésistible envie de pisser monter en moi, la pression devient trop grande, je lâche un peu, et j’envoie une bonne giclée de pisse dans la bouche de Carmen, qui semble aimer mon liquide, et comme elle est très occupée à me lécher, avec une bouche bien pleine, c’est le moins que je peux dire, alors, je continue à lui pisser dans sa bouche, oh, c’est bon, d’une part je trouve ça excitant, et pour comble de bonheur, quel soulagement. Dans le même temps, je parle à Carmen, qui ne peut pas me répondre trop occupée à déguster ma pisse, voilà, tu goûtes enfin à une bonne douche dorée, tu aimes ? Elle hoche la tête en signe de satisfaction, je me disais que cette prof de danse est pleine de bon sens. Une fois la dernière goutte de pisse avalée, je laisse Carmen me faire une toilette avec sa langue, visiblement elle semble bien y prendre goût la garce. Je redescends de son canapé, et rebaisse ma jupe, pour être plus présentable et continuer notre repas. Ma prof est ravie de cette séance de douche, mais tout de même, elle tient à boire un grand verre de vin rosé. Nous pouvons maintenant reprendre le fils de nos bavardages, j’ai l’impression, que la séance de tango pour aujourd’hui, va attendre, que voulez-vous nous ne pouvons pas tout faire. Après cet entracte dans notre repas, et maintenant que Carmen a assouvi sa soif de moi, nous allons enfin pouvoir goûter à la cuisine de Carmen, un ragoût de mouton façon Caraïbe, c’est-à-dire pimenté. La première bouchée ne me laisse pas indifférente, en effet c’est fort en bouche, et très parfumé également, je me demande quelles herbes viennent aromatiser ce plat latino, ma cuisinière du moment me donne des noms de plantes que je ne connais pas, à part le piment de la Jamaïque, le reste est inconnu pour moi. Inutile de dire que ce plat spécial, et le vin rosé, fait une association plutôt explosive. Je commence sérieusement à me trémousser sur ma chaise, mais je ne suis pas la seule à ressentir les effets aphrodisiaques de cette cuisine caribéenne. Nous venons à bout de ce plat, qui, il faut le dire, est très copieux, il va falloir digérer tout ça. Carmen nous a concoctés pour le dessert, une salade de fruits exotiques, nous voyageons en même temps que nous déjeunons en quelque sorte. Allons nous asseoir un peu sur le canapé, le temps de faire passer notre mouton aux herbes et piments. Toutes les deux assises, nous papotons, en même temps que nos mains parcourent le corps de l’autre, j’adore caresser la belle poitrine de Carmen, là, elle est bien gonflée, son soutien-gorge va finir par exploser, alors pour éviter de tels dégâts, je passe ma main sous le teeshirt de Carmen, et d’un geste expert, je lui dégrafe son soutien-gorge, libérant du même coup, cette belle poitrine, je ne m’arrête pas en si bon chemin, et lui ôte aussi son haut, Carmen est torse nue, sa poitrine est superbe, bien ferme, avec des tétons bien raides, alors je ne résiste pas à l’envie de poser mes lèvres sur le bout de ses seins, j’en lèche un, pendant que je titille l’autre entre mes deux doigts, sa poitrine de gonfle encore plus, le torse de Carmen prend du volume, elle me tient la tête pour mieux l’appuyer sur ses seins, j’arrête de lui caresser un sein avec ma main, pour aller plonger cette main dans la culotte de Carmen, en passant d’abord sous sa jupe, une fois dans sa culotte, j’ai l’heureuse surprise de sentir une chatte en complète effervescence, elle mouille énormément. Tout s’accélère, Carmen est devant moi, sur le canapé, torse nu, et moi, j’ai envie d’elle, de Carmen, cette magnifique latino, brune et sensuelle. Je retire la jupe et la culotte de ma prof de tango, elle est complètement nue sur le canapé, j’ai une folle envie de la bouffer, d’ailleurs elle le sent bien la garce, avec son regard à la fois angélique et satanique. Cette brune met le feu dans mon ventre. Ma bouche descend le long de son ventre, j’arrive à hauteur de sa chatte bien baveuse, je glisse doucement ma langue dans la fente de ce sexe gluant, déjà odorant de foutre, et Carmen est aux anges, d’instinct, elle écarte complètement ses cuisses, pour que je puisse la déguster sans modération, je la lèche comme si elle était mon dessert, elle me donne tout, je prends tout.  Nous sommes toutes les deux dans un état second folles à en perdre la tête, la raison n’excite pas, seules nos envies nous dominent, esclaves de nos corps et de nos pulsions sexuelles. Je demande à Carmen de se mettre en position levrette, avant qu’elle ne finisse par jouir, tant son clito est devenu sensible sous les assauts de ma langue de bonne salope.Dans cette position, j’admire les belles fesses de ma compagne de tango, ce cul est prodigieux, ma bouche se promène sur le galbe de ces fesses, ma bouche arrive dans la raie de ces merveilleuses fesses, tandis qu’avec mes deux mains, j’écarte délicatement le postérieur de Carmen, et là, je vois une auréole brunâtre, c’est beau, et en son centre son petit trou du cul.

Surprise, ma masseuse est transsexuelle.

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Les lesbiennes.

Histoire érotique.

Lolita, c’est bien occupée de moi, surtout de mes fesses, j’ai adoré cette sensation, me faire sodomiser par une transsexuelle est une chose que j’espère bien recommencer dés que possible. En attendant, ma masseuse s’absente quelques minutes, et revient vers moi en me tendant un gode ceinture, inutile de vous faire un dessin, elle me propose de mettre ce gode ceinture sur moi, et devinez ce qu’elle aimerait ? Et bien tout simplement qu’à mon tour, je la sodomise, pour compléter cette séance de massage un peu particulière, il faut le dire. Alors, je ne me fais pas prier, je chausse, si je puis dire, ce gadget sexuel, un beau gode-ceinture,  en l’ajustant au mieux sur ma taille, les sangles sont en cuir souple, avec un gros gode noir en silicone, de vingt centimètres de longueur, sur cinq d’épaisseur environ. Mais, il y a, à l’opposer de ce sexe en silicone, un autre sexe plus petit celui-la, il est destiné à venir en moi, j’ai donc déjà à l’intérieur de mon vagin, un gode en silicone, qui fera des allers retours en même temps que la partie qui sera dans le cul de Lolita, c’est un gode double. Une fois le gadget en place sur moi, je mets Lolita à quatre pattes sur la table, elle a un très beau culelle écarte ses cuisses, son sexe pend entre ses jambes, ses seins pointent aussi vers le bas. Je commence à la caresser, d’abord les fesses, elle adore ça la garcesont sexe raidi, je l’attrape, et lentement, j’implique un doux et lent va et vient sur cette queue, qui maintenant est sollicitée par mes mains. Lolita, commence à être bien excitée, il faut dire que je fais tout pour ça, voir une femme à quatre pattes avec une grosse bite entre ses cuisses, qui de plus est la sienne, est un peu surréaliste, et émoustillant en même temps, je vous conseille d’essayer ce truc ! J’attrape le lubrifiant, et je tartine le cul de Lolita, sans hésitation, j’en profite pour la pénétrer avec un doigt, et je vais lui toucher sa prostate, un bon massage prostatique pour commencer, et son trou du cul va se dilater. Au bout de quelques minutes, je sens que Lolita attend que je la pénètre par son cul bien ouvert maintenant. Je pointe mon gode ceinture sur l’entrée de son anus, je pousse doucement avec mes reins, la tête du gode rentre facilement dans son trou du cul, je pousse doucement pour bien l’enfiler à fond, je regarde ce gros morceau de silicone noir rentrer dans son cul, c’est excitant pour moi, et en plus, j’ai moi aussi l’autre partie du gode dans mon vagin. Alors commence un long mouvement de glissade dans Lolita, je la ramone dans son cul, en même temps et passe une main sous son ventre en attrapant sa grosse queue toute raide, une baise avec Lolita, je devrais dire j’encule ma masseuse, moi, je suis aussi en chaleur qu’elle, car les mouvement du gode dans mon vagin commence à produire des effets. Comme ma main est sur le sexe de Lolita, je sens que le bout de sa queue devient plus humide, le massage de sa prostate va emmener Lolita vers l’orgasme. Maintenant, que l’excitation est à son paroxysme, mes deux mains tiennent les reins de Lolita, pour mieux accompagner mes mouvements, je l’enfourne par le cul, elle adore se faire baiser, sa respiration devient haletante, ses reins se cambrent encore un peu plus, Lolita est une belle salope, elle en veut encore plus, pendant tous ces mouvements de va-et-vient, ses seins se baladent eux aussi, Lolita hurle, je l’encule encore plus, avec plus de violence, son cul est plein, moi je ne vais pas tarder à jouir, cette vision d’un beau cul devant mes yeux décuple mes envies. Ouah! Lolita jouit, elle éjacule sur la table de massage, heureusement, elle avait eu la bonne idée de mettre une serviette en protection. À chaque mouvement lent du gode dans le cul de Lolita, une giclée de sperme sort de sa queue, alors de nouveau, je repasse une main sous son ventre, pour aider à cette éjaculation, qui n’en fini pas, la serviette est inondée. Moi, j’arrive aussi à l’orgasme, je crie de plaisir, et j’éjacule également, mais je pisse aussi de plaisir, tellement je me relâche. Il faut maintenant que je me retire du cul de Lolita, j’y vais doucement pour éviter les dégâts éventuels. Enfin, les vingt centimètres du gode ressortent, tout brillant et gluant, car Lolita mouille du cul. Là, nous sommes un peu fatiguées, nous allons toutes les deux sous la douche, pour effacer toutes les traces de ce super moment. J’ai fait une expérience que je trouve extra, et je n’ai qu’une seule idée, c’est de recommencer.

Mes histoires érotiques.

Histoire érotique.

Avant de rejoindre Solange discrètement dans sa chambre, je fais une halte dans la mienne, pour y prendre quelques affaires, brosse à dents, petite culotte et deux ou trois bricoles dont je pourrai avoir besoin. Puis à pas de velours, je vais frapper à la porte de Solange, laquelle, d’une douce voix demande, qui est là? C’est moi Eva, alors elle ne tarda pas à m’ouvrir, en se cachant derrière sa porte, car elle était déjà complètement nue.
La porte de sa chambre refermée, Solange m’attrape par la taille et me plaque au mur, dégrafe directement mon pantalon, et glisse sa douce main dans ma culotte, puis prend ma main et la place entre ses cuisses, elle est déjà complètement excitéesa chatte est trempée. Visiblement, Solange est surexcitée, car elle me jette sur le lit, m’embrasse profondément, et je me retrouve nue sur son lit en un rien de temps, que c’est-il donc passé ? Les choses sont allées aussi vite que l’éclair, pas le temps de respirer pratiquement, elle me demande de me mettre sur le lit, sur le dos, puis me demande d’attendre un peu, et comme une panthère, elle saute du lit, pour aller aux toilettes, j’entends un bruit de robinet, non, c’est Solange qui fait pipi, bruyamment d’ailleurs, elle revient, moi toujours allongée, je suis obéissante, et elle se place à califourchon les cuisses écartées au-dessus de mon visage, sa chatte sur ma bouche, elle est encore toute mouillée de pisse, d’ailleurs, j’ai raison, car elle me demande de lui faire sa toilette intime avec ma langue, toilette partout, c’est un plat salé sucré en somme ! Elle bouge sur mon visage afin que je ne perde pas une goutte de sa rosée ! Et pendant que je lui fais sa toilette avec ma langue, elle me dit, que la prochaine fois, elle me donnera son champagne à boire, elle est sado/maso plus aucun doute. Elle est toujours sur mon visage, là, je lui lèche son anus, pour le moment, il est encore propre…. Ma langue rentre dans son trou du cul, là, je sens une saveur aigre-douce, mais je continue, car Solange semble aimer ce genre de truc, elle m’avait annoncé au restaurant qu’elle me demanderait des choses particulières, nous y sommes. Solange est inondée de la chatte, mélange de cyprine et de pipi, moi, je déguste tout. Soudain, le plaisir de Solange se manifeste par un râle bruyant, elle éjacule abondamment dans ma bouche, elle jouit puissamment, c’est presque un bruit venu de la forêt, un bruit animal, sauvage !
Elle a joui de façon brutale et incontrôlable, je suis trempée de partout, cheveux mouillés, visage dégoulinant, ne parlons pas des draps… Ce premier ring me donne une idée déjà assez précise sur les envies de Solange, elle veut se défouler en essayant mille choses que l’on trouve dans certaines vidéos classées X, pourquoi pas alors, ça fait de mal à personne, et c’est uniquement entre femmes. Pour notre repos, Solange avait prévu une bouteille de champagne rosée, avec des bulles celui-là !
Toutes les deux nues dans la chambre, j’entends de pouf de la bouteille, et le bruit léger et sensuel des bulles de champagne résonnant dans nos coupes, que nous ne tardons pas à porter aux lèvres. Une coupe, puis une autre, et les bulles montent à la tête, nos propos deviennent salés, et même très cochons. Au bout d’une heure de papotage et tripotage en tout genre, Solange un peu éméchée, et moi aussi me redemande de m’allonger sur le lit encore mouillé, je suis de nouveau sur le lit, Solange attrape ma tête, la place entre ses cuisses, me dit lèche moi, et boit cette rosée, je m’exécute, je la lèche, et sans plus attendre Solange me pisse dans la bouche, il faut dire que le champagne est un puissant diurétique, elle me tient fermement la tête, pour être certaine que je ne perde pas une goutte de sa pisse, en fait, ce n’est pas mauvais, surtout après le champagne ! Elle se retient un peu et pisse par petites giclées, afin de ne pas en perdre. Voilà, maintenant elle à terminé de faire pipi, je lui fais sa toilette, elle est propre. Je lui dis qu’avec tout ce que je viens de boire, j’ai moi aussi envie d’aller aux toilettes, non, reste ici, je suis tes toilettes, je ne me fais pas prier, je viens sur elle, elle ouvre sa bouche, et je me libère complètement cette fois, grosse soif de Solange, elle me dévore, j’aime ce côté vicieuse de Solange.

La passagère du train.

Mes plaisirs entre femmes-a

Plaisirs entre femmes lesbiennes.

Histoire érotique.

Notre dégustation d’huîtres se passe au mieux, dans une atmosphère pour le moins conviviale, et sans doute un peu plus, si j’en crois les yeux doux que Sandra me fait. Notre rencontre dans le TGV prend maintenant une tournure plus amicale, nous frôlons avec l’intime. Après avoir réglé notre addition, une promenade sur la jetée s’impose, histoire de faire passer la bouteille de muscadet que nous venons allègrement de descendre. L’air du large sera sans doute la meilleure des solutions pour nous dégriser avant de reprendre la voiture, et de toute façon il n’est pas tard. C’est marée haute, il n’y a pas de chalutier à quai, ils sont en pêche, les parcs à huîtres sont recouverts par la marée haute, et nos narines s’enivrent de l’air du large chargé d’iode. Après une heure de balade salutaire, nous regagnons la voiture pour Saint-Malo, nous allons prendre le même chemin que pour venir c’est à dire par la côte, afin de profiter au maximum du paysage. En route, je ne peux m’empêcher, c’est plus fort que moi, de poser ma main sur la cuisse de Sandra, et comme elle est en jupette, j’ai tout le loisir de sentir sa peau sous ma main, elle est douce. L’iode marin me remplit d’envie, alors voyant que mon geste semblait bien plaire à Sandra, je décide de glisser ma main doucement entre les cuisses de ma passagère. Cet endroit est voluptueux, je remonte un peu plus, allez, je vais encore plus loin, Sandra ouvre encore plus ses jambes, ma main remonte sa jupe, et cette main indomptable vient brièvement tutoyer la culotte de ma voisine. Douce sensation éphémère, car je dois vite reposer mes deux mains sur le volant, ici la route tourne un peu tout de même! Cette approche est un prélude à mes envies, et je ne doute plus un instant que mes pulsions soient également partagées par ma passagère.  Je commence à me faire des films dans ma tête. Comme il faut bien prendre des initiatives dans la vie, je propose à Sandra de venir visiter ma chambre et sa vue imprenable sur la baie de Saint-Malo. En fait Sandra n’attendait que ça ! Elle meurt d’envie de sentir une femme lui faire quelques douceurs. Alors, plus de temps à perdre, directement à l’hôtel titine, titine c’est le nom que je viens de donner à ma voiture. Voilà, je me gare, sur la première place. Et après avoir récupéré la clef de ma chambre, nous montons toutes les deux en empruntant l’ascenseur. Clic-clac, j’ouvre la porte. Sandra me suit, je l’emmène vers la baie vitrée pour qu’elle admire le panorama. Puis, elle se retourna vers moi, attendant mes avances….

Les amantes adultères.

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Coquines et lesbiennes.

Justine me plaque toujours sur le mur intérieur des toilettes des femmes, sa poitrine arrogante fait pression sur mes seins, je suis comme électrisée. Elle ne m’embrasse pas, elle me gloutonne, sa langue sauvage et intrusive est en pleine bataille dans ma bouche, je ne peux rien dire, tout juste marmonner, ronronner, pousser quelques soupirs ! Je suis presque clouée sur ce mur, me laissant agresser pour mon plus grand plaisir, alors que très vite des envies plus que lubriques envahissaient mes pensées. Cette fois, le feu est allumé. D’ailleurs Justine qui ne semble pas manchote dans cette circonstance, ne tarda pas à soulever ma jupe, et glissa sa douce main directement dans ma culotte, c’est alors qu’elle se rendit immédiatement compte de l’effet qu’elle me procurait ! Tu es toute mouillée me dit-elle doucement à l’oreille. Oui, je dois dire que je me sens très excitée, mais l’endroit n’est pas vraiment propice, pour ce genre de jeu lui dis-je ! Mais c’est tellement bon, que j’en oublie l’endroit, je me laisse faire, j’ai rarement eu autant envie de sexe qu’en cette circonstance. Justine redouble d’audace, elle baisse ma culotte, s’accroupit, et vient lécher directement entre mes cuisses , j’inondais son visage de mon foutre, mon corps exultait, j’étais hors de moi ! Gloups, Justine se délectait de mon nectar, et je dois dire que cette abeille est une sacrée butineuse, c’est un cunnilingus comme seules les femmes savent faire entre elles, tout simplement magique. Pour moi, c’est une heureuse découverte, du coup j’irai bien plus loin avec Justine, mais nous ne pouvons pas rester trop longtemps enfermées toutes les deux dans ces toilettes. Nous allons finir par attirer des curieuses. Vite je remets ma culotte, et Justine essuie son visage, nous sortons, bigre, il était grand temps, car voici deux mamies qui descendent aux toilettes, oh, chocking ! Une fois sortie de notre antre, Justine se dirige vers les lavabos, pour une rincette salutaire, car si en rentrant chez elle sa copine lui fait la bise, elle risque d’être surprise par le parfum de mon foutre qui pourrait encore embaumer les joues et la bouche de Justine. Je n’ai pas eu le temps de jouir, mais que c’était bon. Tant pis, nous aurons plus de temps dans un autre endroit une prochaine fois.

 

L’impudique lesbienne.

Impudique

Lesbienne impudique.

Après quinze minutes de marche, nous voici arrivées chez Gina, un petit repos s’impose. Ma compagne me propose un café, que j’accepte volontiers, je m’installe confortablement dans l’un des fauteuils du salon, pendant que Gina s’agite en cuisine autour de sa machine à café, j’entends des bruits de tasses, c’est signe que les choses vont dans le bon sens. Voici ma belle, avec son plateau garni de nos deux cafés, elle le pose sur la table basse, du coup je me relève pour venir m’asseoir sur le canapé à côté de Gina, j’aime cette proximité, elle favorise les échanges de toutes natures. Ma compagne me fait un bisou sur la joue, c’est plein d’affection et d’amour, j’aime beaucoup ce style de femme, car non seulement elle est belle comme le jour, mais en plus je la trouve sexuellement à mon goût, il me semble qu’elle n’a pas d’interdit, et c’est une chose que j’aime particulièrement. Elle est probablement capable des pires transgressions, c’est ce que je ressens pour ma part. À peine le café avalé, que les mains de Gina se promènent sur ma poitrine, et bientôt, elle se mit à explorer mes seins en passant ses mains sous mon tee-shirt, toujours aussi habiles, Gina dégrafa mon soutien-gorge, et attrapa mes deux seins dans ses mains, il y a de la fermeté dans son geste, un signe de possession. Moi, je me laisse faire, j’ai le sentiment d’être sa chose, et cette idée me convient parfaitement, car j’aime être possédée par une femme, lui obéir sans discuter. J’ai de plus en plus le sentiment que nous sommes faites l’une pour l’autre, moi, la soumise, elle dominatrice, et si par chance elle était un peu perverse, alors je serai comblée. Mais pour le moment, je ne sais pas si elle a des côtés pervers ! Gina est sur le canapé, juste derrière moi, elle me serre sur elle, en pressant et malaxant mes seins, j’adore cette fermeté, je lui appartiens, comme ci j’étais sa chienne. C’est alors que Gina souleva mon tee short pour l’enlever, je lève les bras pour l’aider, puis elle me retira mon soutien-gorge à moitié défait d’ailleurs. Me voici torse nu sur son canapé, elle ne s’arrête pas là, d’une main agile, mon jean se retrouva ouvert, sa main plongeant dans ma culotte, moi, chaude comme je suis, j’avais déjà mon entre-jambes bien humide, alors, elle se mit à me masturber, cette fois ma culotte était trempée, un doux bruit de clapotis se faisait entendre, la masturbation augmentant considérablement le flot de mon foutre, le bruit de ma chatte et de mes lèvres mouillées résonnaient dans tout le salon, ce bruit sexuel a le don de m’exciter encore plus. C’est alors que Gina entreprit de me mettre nue dans son salon, elle me demanda de me placer à quatre pattes, et comme j’étais en levrette, elle vint me lécher l’anus, sa langue en explora tous les recoins, et elle semblait bien se régaler de tout ça. Après cet interminable anulingus garni, Gina baissa son jean, enleva sa culotte, me demanda de me mettre sur le dos, directement sur le sol, et sans attendre, Gina se plaça à califourchon sur mon visage, sa chatte directement sur ma bouche, alors elle se mit à me tenir fermement ma tête avec ses deux mains, et en me bloquant elle frotta sa chatte bien mouillée et gluante sur mes lèvres, comme nous avions bien marché ce matin, il y avait maintenant une odeur de ménagerie de cirque entre ses cuisses, mais moi, j’adore les odeurs fortes, car ça m’excite encore plus. Mais Gina, me demanda d’ouvrir ma bouche, et d’un seul coup une giclée chaude vint emplir ma bouche, c’était très chaud et liquide, je me disais que ce n’était pas du foutre, alors au même moment Gina me demanda si j’aimais bien ce liquide, mais ayant la tête coincée entre les cuisses de Gina, et ma bouche plaquée sur sa chatte, je ne pouvais pas répondre, alors sans attendre, une autre giclée arriva dans ma bouche, que je dû boire pour ne pas étouffer, puis encore une autre, cette fois pas de doute, Gina ma pisse dans la bouche, voilà son vice. Après le vino verde du restaurant, c’est le digestif alors! Et pour finir elle me donna toute sa pisse, et termina, en me présentant son trou du cul qu’elle frotta longuement sur ma bouche, j’en profitais pour y rentrer le bout de ma langue, pour son plus grand plaisir. Après m’avoir copieusement pissé dessus ou plutôt dans la bouche, il me fallut lui bouffer son trou du cul, tout ceci m’excitait beaucoup, je suis une adepte du genre. Gina n’avait pas encore joui, mais elle assouvissait toutes ses envies. C’est alors qu’elle s’absenta, quelques minutes, et je la vis revenir avec un harnais gode-ceinture sur elle, et dans sa main, un tube de lubrifiant, moi, j’étais toujours sur le sol, à attendre, mais je n’ai pas eu longtemps à attendre, car Gina me fit mettre en levrette sur le sol, mais cette fois en plaçant un tapis sous mes genoux, afin de préserver ma fragile peau.

Deux lesbiennes gourmandes.

Deux lesbiennes gourmandes

Lesbiennes gourmandes.

C’est pour Valérie, une découverte et une révélation, elle déborde de désir pour le corps d’une autre femme, l’envie est brûlante, dévorante, irrésistible. Durant tous ces derniers jours, nous avons eu de nombreux échanges par mail et aussi par texto, surtout en journée, car le soir, elle endosse de nouveau son habit de femme sage au foyer, mais c’est bien ainsi. Il n’est pas facile pour une femme de se dégager des moments de liberté totale, des instants pour être seule avec soi-même, car il faut jongler avec les obligations familiales, mari, enfants, puis les obligations professionnelles, tout ceci est bien normal me direz-vous, mais les journées n’ont que 24 heures. La femme est, et restera toujours le centre du monde, c’est comme Janus, deux facettes, encore que la femme est par essence multi-facettes. Valérie m’envoie un mail pour me dire qu’elle pourra sans doute se dégager pendant un après-midi d’ici une dizaine de jours, et d’ajouter : dure d’attendre quand le feu ronge…. Pour ma part, je lui réponds qu’en attendant, nous pouvons nous écrire et faire un peu plus connaissance. Voici déjà six jours que Valérie est venue chez moi, furtivement certes, mais assez pour exprimer nos envies sans ambiguïté. Soudain, un texto arrive, c’est Valérie, qui me demande si elle peut passer ce soir chez moi, car elle aura une petite heure de disponibilité, elle me précise qu’elle pourra être là, vers 18h30, ma réponse est immédiate, et ça tombe plutôt bien, car non seulement, je suis disponible, mais je serai chez moi, alors oui d’accord pour que Valérie passe me voir. Il est 17h45, vite pas de temps à perdre, je me mets en tenue légère, sans-culotte, complètement nue sous mon kimono. À 18h30 piles, ça frappe à ma porte, je regarde dans l’œilleton, chouette, c’est Valérie, à l’heure ! J’ouvre vite ma porte pour faire rentrer ma super voisine en chaleur dans le hall de mon appartement, elle lâche sa sacoche, je la prends par le cou, et l’embrasse en lui roulant un gros patin, nos langues se retrouvent et elles sont à la fête, Valérie ouvre mon kimono, et glisse ses mains partout, j’écarte un peu mes jambes et sa main vient caresser mon intimité, cette situation rapide, m’excite beaucoup. Valérie n’a que peu de temps, alors, je la traîne directement dans ma chambre, et je l’allonge sur mon lit, elle encore tout habillée, je la pelote, j’adore ses gros seins, ils sont bien gonflés ce soir, son chemisier est ouvert, je dégrafe sont soutien gorge, et là devant moi, une grosse paire de nichon, bien droits, tétons bien raides, je lui suce ses seins, ou plutôt je dévore ses seins, elle est hors d’elle, incontrôlable tellement elle est excitée. Ma main va directement dans sa culotte, mon doigt explore la fente de sa chatte, elle dégouline de plaisir, puis je remonte sa jupe, et d’un geste expert, je lui retire sa culotte, le corps de Valérie se cambre d’envie, elle s’offre à moi, quel beau cadeau ma chérie, dans son oreille, je lui dis, j’ai envie de te lécher, mais Valérie répond qu’elle ne s’est pas encore lavée. Tu sais ma chérie, moi, j’aime le parfum de la savane, l’odeur bestiale de la femelle en rut, je vais te lécher et faire ta toilette en même temps. Elle ne dit plus rien, d’instinct Valérie écarte ses cuisses, relève ses jambes, et moi, je viens emboîter ma tête entre ses cuisses pour y déguster ce calice sauvage au parfum de ferme. Elle mouille comme une fontaine, l’odeur est forte, mais moi, ça m’excite terriblement, léché cet organe de volupté est un privilège, d’ailleurs Valérie sentant bien que cette situation me plaît, attrape ma tête pour l’appuyer encore plus fort sur sa chatte, elle ne tarde pas à jouir, un orgasme explose, et Valérie m’éjacule dans ma bouche, je m’applique à tout déguster tellement j’aime ça ! Ma bouche et mes lèvres sont emplies des parfums sauvages de la chatte de Valérie, alors, je remonte doucement vers le visage de ma belle, et je viens partager avec elle ces odeurs de savane venues tout droit de l’entrejambe de Valérie, elle apprécie et en redemande, je pense que nous allons nous entendre sexuellement parlant. Le temps passe, elle doit vite rentrer chez elle, c’est juste en dessous, mais il faut qu’elle passe d’abord par ma salle de bains pour effacer toutes traces de foutre sur son visage, car cette chevauchée fantastique laisse derrière elle un parfum de bête.

La novice se dévergonde.

La novice.

Lesbienne novice.

Une fois la porte de la chambre refermée, Maryse me prend dans ses bras comme si nous nous retrouvions après une longue absence, mais ce n’est pas le cas, car nous sommes, toutes les deux, depuis déjà quelques heures. Maryse m’embrasse sur la bouche avec fougue, elle me suce la langue en me pelotant mes seins, ma jupe tombe sur le sol de la chambre, je suis fesses à l’air et sans-culotte, car Maryse me l’avait retiré alors que nous étions dans le taxi, et depuis elle garde ma culotte en souvenir dans son sac à main. Moi, je dégrafe le jean de ma compagne et je lui retire, elle se retrouve en string, que je ne tarde pas à enlever aussi, dans le même élan, nous enlevons nos hauts et nous sommes maintenant complètement nues toutes les deux. D’un geste, le dessus-de-lit se retrouve au sol, puis nous nous jetons sur le lit, je suis allongée sur le dos, Maryse m’embrasse et me masturbe avec deux doigts dans mon sexeje suis encore mouillée, j’écarte bien mes cuisses comme pour en demander encore plus à Maryse. Ma compagne est très habile, elle m’excite en veillant à ce que je ne jouisse pas de suite bien sûr, Maryse arrête de me masturber avec ses doigts, et m’offre un doux cunnilingus, je coule à flot tellement c’est délicieux, j’offre toute ma mouille à ma compagne qui se délecte de ce miel abondant. Maryse s’allonge à son tour sur le dos et me demande de venir sur elle à califourchon, de sorte que mon sexe se trouve au niveau de sa bouche, j’adore cette position, car elle me permet de présenter à la bouche de Maryse, tantôt ma chatte bien humide, tantôt mon petit trou tout excité à l’idée de sentir une langue. Elle me lèche partout de ma chatte jusqu’à mon petit trou. Puis ma compagne me demande de me mettre à quatre pattes en levrette, j’écarte mes cuisses pour que ma copine de sexe puisse me lécher mon anus, c’est la position idéale pour cette pratique. L’anus bien lubrifié avec la salive de Maryse, elle en profite pour glisser d’abord un doigt, puis deux car étant bien excitée mon petit trou se dilatait comme pour mieux recevoir les assauts de Maryse.
Maryse me dit, attend un peu, il faut que j’aille à la salle de bains, elle y reste quelques minutes, je vois l’entrée de cette salle de bains devant moi, et la porte s’ouvre de nouveau, alors je vois Maryse en sortir avec une tenue particulière, en effet, elle avait revêtu son harnais pour porter son gode ceinture, c’est un sextoy en forme de sexe d’homme, long de 20 centimètres, rose, qui ressemble vraiment à un phallus d’homme, mais avec l’avantage d’être opérationnel en permanence. Maryse avait déjà lubrifié son sexe artificiel, prêt à me pénétrer. Elle me demande de me replacer en levrette, me glisse un doigt dans l’anus déjà bien dilaté et très humide, sans attendre, elle pose ses mains sur mes hanches et me pénètre par l’anus avec son long membre, que je sens rentre profondément en moi, divine sensation. Ma compagne adore baiser les femmes de cette façon, elle est dominatrice et aime posséder la femme avec qui elle baise. Elle imprime de longs mouvements de va et vient avec ses reins, je sens ce gode rentrer et sortir de mon cul, je suis même mouillé de l’anus tellement ça me plaît, 20 centimètres dans l’anus, c’est une merveille, un vrai bonheur, cette séance de sodomie dure très longtemps, les mouvements s’accélèrent, ma respiration aussi, Maryse me titille mon clito en même temps, le plaisir me fait perdre la tête, j’en veux encore, j’ai mon cul en feu de bonheur, mais là impossible de me retenir, je pousse un grand cri de bonheur, c’est l’extase, je viens de jouir du cul, vraiment le nirvana est là.

Je suis épuisée, Maryse retire son jouet de mon anus lentement, et fonce à la salle de bains pour petite toilette. 

Entre coquines.

Entre lesbiennes.

Entre lesbiennes coquines.

Valérie est dans le salon, je lui propose de prendre place autour de la table basse, asseyez-vous ou vous voulez, vous pouvez prendre le canapé ou l’un des fauteuils, c’est à votre convenance. Pendant ce temps, je vais à la cuisine pour amener le café sur le plateau, avec ses gâteaux, le sucre de canne et les jus de fruit. Voici le café Valérie, c’est de l’arabica de première qualité. Valérie a choisi un fauteuil, elle se retrouve complètement engoncée, et comme elle a gardé sa veste, je lui propose de me la confier, car il fait très chaud aujourd’hui, c’est l’été tout de même ! Mettez-vous à l’aise. Le café est servi dans les tasses, alors je vais m’asseoir sur le canapé, et me trouve ainsi, juste en face de ma voisine. La discussion s’engage sur divers sujets, et j’évoque mon dernier voyage en Inde, un mois dans le nord de l’Inde c’était dans le Rajasthan, puis un autre mois dans le sud, d’abord le Tamil-Nadu, Madras, qui est maintenant Chennai, et ensuite le Kerala, sur la face sud-ouest de l’Inde, c’est en bas. Cette dernière région est le berceau de l’Ayurveda. Valérie ouvre grand ses oreilles, elle aimerait bien visiter ce pays, je lui fais remarquer qu’à mon avis, c’est un endroit incontournable, vous pouvez passer du moyen-âge à la Silicone vallée simplement en traversant la rue, les contrastes sont saisissants, même déroutants par moment. Je vous montrerai mes vidéos et photos si vous voulez, oui me dit-elle, mais un autre jour, car là, j’ai peur que nous n’ayons pas assez de temps. Pas de souci, lui dis-je, pensant en moi-même, voilà une occasion toute trouvée de nous revoir alors ! Je suis toujours assise en face de Valérie, je ne cesse de la regarder, son regard m’enflamme ! Comme je suis en jupe, je fais des jeux de jambes, ce qui attire le regard de ma voisine, alors j’en profite pour écarter un peu mes jambes avec une certaine désinvolture, comme si rien n’était, petite sainte que je suis !

Ma voisine est scotchée sur mes jambes, moi, je regarde sa poitrine qui me semble plus gonflée que tout à l’heure, son chemisier est maintenant un peu trop étroit, alors le bouton supérieur lâche, le chemisier s’ouvre un peu plus à mon regard, c’est un ravissement pour mes yeux, cette belle poitrine, des seins qui peine à rester dans le soutien-gorge noir. Il commence à faire chaud dans le salon !! Durant cette brève interruption de la discussion, je passe par ma chambre, et j’enlève ma culotte, puis je retourne m’asseoir sur le canapé, là, je remarque qu’un deuxième bouton du chemisier de Valérie est ouvert, hasard ou acte volontaire ? Cette fois, la poitrine de Valérie s’offre sans vergogne à mon regard, je ne néglige pas de plonger mes yeux dans ce chemisier, j’irai bien y glisser ma main ! Voici déjà une bonne heure que nous papotons, et l’ambiance est pleine de sous-entendu, de choses non-dites ! Valérie est troublée par cette rencontre chez moi, elle n’ose croire à ce qu’elle pense. N’ayant plus de culotte, et étant assise en face de ma jolie voisine, j’écarte mes jambes avec une certaine nonchalance, comme si rien n’était, petite sainte que je suis ! Alors Valérie, plonge son regard entre mes cuisses, et ma jupe étant bien relevée, je suis complètement offerte à son regard, je sens déjà les caresses de ses yeux sur ma chatte, j’en mouille de plaisir.

Le trouble s’installe, Valérie est perturbée, mais contente d’être avec moi, sont inconscient avait prit la décision de venir chez moi tout seul. Voyant le doute chez ma voisine, je me lève, et fonce chercher ma tablette tactile sur mon bureau, je reviens de suite vers la table basse et reprend ma place sur le canapé. Je propose à Valérie de venir s’asseoir à côté de moi, pour voir rapidement quelques photos de l’Inde, histoire de la mettre en appétit pour revenir une prochaine fois. Confortablement assise l’une à côté de l’autre, nous admirons les paysages de carte postale que j’ai ramené de l’Inde. Pendant ce temps, nos cuisses se frôlent, et mon regard plonge sans se cacher, dans le soutien-gorge de Valérie. Je me lance, vous êtes une belle femme Valérie. Alors, elle comprend, elle me demande avec une voix douce, vous êtes attirée par les femmes ? Oui Valérie, j’aime les femmes, j’adore leur donner du plaisir, le plaisir entre femmes est simplement le paradis, nulle douceur, nulle sensualité n’est égalable à la relation saphique entre femmes. Moi, me dit Valérie, je suis hétéro, une vie ordinaire de ce côté-là, je suis heureuse en tant que femme hétéro, mais je dois vous avouer que parfois, je rêve d’être dans un lit avec une belle femme, c’est un rêve que je caresse depuis des années, mais ma situation familiale ne me permet pas ce genre de rencontre. C’est un jardin secret qui reste à construire. Ne dites rien Valérie, fermez vos jolis yeux et partons faire un voyage, c’est alors qu’un ange passe, et je viens poser mes lèvres sur la bouche de Valérie, puis délicatement une main va caresser ces seins qui s’offrent à moi. La respiration de Valérie devient profonde, le vent du désir souffle sur nos corps, les feux de l’amour rongent leur frein, Valérie s’offre à mes baisers, comme une fleur qui attend son papillon. Nous venons de poser la première pierre de ton jardin secret Valérie….