Lieux de rencontres lesbiennes, Paris belle époque.

Sous ma langue, le paradis.

Comme évoqué précédemment, l’homosexualité féminine, dont le haut de l’iceberg a émergé aux yeux du monde à partir du 19e siècle, a aujourd’hui enfin, droit de citer, et fort heureusement.

Mais cet espace privé et donc discret est difficile à créer et à préserver. Les modalités de rencontre sont parfois compliquées.

Le monde lesbien reste discret et assez confidentiel dans ces pratiques, seuls quelques fantasmeurs inventent et y voient simplement leurs dessous sexuels inassouvis.

Le monde lesbien, nous devrions plutôt dire, le monde de l’homosexualité entre femmes, touche tous les milieux féminins, toutes les couches de la société féminine et elles sont discrètes ces femmes.

Si beaucoup de femmes aimeraient entrer dans cette danse, dans la réalité cela s’avère encore difficile par rapport au statut social.

En effet, nombre de femmes mariées hétérosexuelles, aimeraient pouvoir établir une relation saphique avec une autre femme. Mais pour rester discrète, c’est compliqué étant donné le mari en embuscade, prêt à s’immiscer dans cette relation pourtant purement féminine.

Liberté sexuelle entre femmes.

Souvent le mari flaire la “bonne” affaire et pousse sa compagne, sa femme, vers un plan à trois, c’est le fantasme de beaucoup d’hommes, mais quelle erreur, car dans beaucoup de cas le monsieur terminera sur la carpette, car la venue d’un tiers masculin s’accommode souvent très mal dans une relation impliquant deux femmes, la sexualité entre femmes est assez incompatible avec une présence masculine et intrusive, la nature même de la relation charnelle entre femmes, est assez contre-nature avec le masculin.

On peut aimer la confiture d’une part, et le gigot d’autre part, mais ne pas aimer les deux en même temps !

Soulignons en clair, au passage, que la bisexualité des femmes n’implique en rien la pratique du triolisme. La bisexualité englobe l’une ou l’autre des relations,  mais pas les deux en même temps !

La pratique du saphisme reste très discrète et intime aux regards des intrus.

Saphisme discret.

Ceci étant dit, le Paris de la fin du 19e siècle et début 20e siècle est le foyer du lesbianisme et la bisexualité féminine en France est bien classée et se trouve dans le peloton de tête des villes ouvertes en Europe.

Les lieux de rencontres lesbiens sur Paris pour la catégorie de femmes fortunées restent

 les salons privés, et certaines maisons conçues pour ce type de rencontre.

Mais pour les autres femmes pratiquant le saphisme il y avait des salons publics, des bars, des restaurants, des appartements, des music-hall etc…Même en ce temps là, beaucoup de salons étaient réservés pour les femmes, pas question d’y admettre des hommes, ce qui bien sûr posaient pas mal de problèmes car le mâle veut être partout chez lui, du moins le croit-il !

En 1881, Octave Uzanne écrit qu’à Paris, il y avait un très grand nombre de ferventes du saphisme et nombre de femmes de lettres , littéraires ou du théatre, bourgeoises mariées,, hétérosexuelles,ou simple femme, s’adonnaient au saphisme dans des lieux publics ou privés, et aussi chez elles avec leurs femmes de chambre assez souvent.

Léo Taxil dans son ouvrage “la corruption fin de siècle ,“affirme que des tribades sont organisées en groupes et se livrent à des orgies entre femmes sans nom.

Il y avait aussi des prostituées femmes, pour femmes et des endroits de rendez-vous réservés seulement aux rencontres entre femmes.

Rappelons que toutes les femmes de cette époque qui pratiquaient le saphisme appartenaient au milieu lettré de la capitale.

Les centres du lesbianisme bourgeois mondains se trouvaient sur Neuilly et aussi sur Saint-Germain.

Mais d’autres quartiers plus populaires étaient en vogue, comme Pigalle, quartier de Clichy, Montmartre, les grands boulevards, la rue des Martyrs, qui aujourd’hui encore exhale un parfum de marginalité.

La capitale respirait le plaisir.

Un certain nombre de brasseries parisiennes étaient comme des villages de lesbos, les filles sortaient ensemble et elles évitaient soigneusement les hommes qui comme aujourd’hui avaient des comportements peu respectueux envers les femmes.

Caresses entre femmes.

Dans certains bars parisiens, ce sont parfois des soirées de débauche entre femmes qui s’offrent à votre regard.

En fait, le lesbianisme et la bisexualité féminine ne cesse de progresser dans cette deuxième moitié de 19e siècle.

Dans le milieu du music-hall, de la chanson, il y avait un grand nombre de femmes lesbiennes ou bisexuelles.

Il est surprenant de voir en cette fin de siècle le nombre de bar, cafés, restaurants gérés par la communauté lesbienne et bisexuelle féminine.

Mais des scandales éclatent tout à coup, et ils apprennent à notre vertueuse population, qui s’en indigne, que les nobles dames n’ont pas dédaignées venir prendre part aux jeux de l’amour lesbien dans des maisons ou leur admission avait lieu au mépris de tous les règlements de l’époque.

Léo Taxil s’émeut pareillement du laxisme de la loi et rappelle en 1891, l’admission des femmes comme visiteuses dans les lupanars officiels était un cas de fermeture pour l’établissement.

Pourtant, depuis 1881, elles y sont reçues et nullement en cachette. Aux alentours des maisons de tolérances, on voit stationner souvent des voitures privées (calèche), elles ont amené des filles de théâtre.

Les plaisirs offerts aux lesbiennes peuvent en outre surprendre par leur variété et parmi les lieux où abonde le saphisme, il faut citer à Paris certaines tavernes de Montmartre, l’avenue des Champs Élysées et les abords de l’Arc de triomphe, Il y a aussi les terrasses de café à Pigalle.

Par ailleurs, il existe environ une quarantaine d’appartements tous spéciaux, dédiés au culte de lesbos et uniquement ouvert aux seules dames du monde. Pour la plupart, ils sont situés dans les environs de la Madeleine et de la Chaussée d’Antin.

Les lieux de plaisirs entre femmes furent révélés en détails par un grand nombre d’écrivains avec force détails piquants.

Plaisirs et érotisme entre femmes.

Ces lieux de rencontres ou tables d’hôtes étaient très fréquentés après le théâtre, le music-hall, les cabarets et tous les endroits ou beaucoup de femmes venaient chercher les plaisirs lesbiens.

Dans les tables d’hôtes, il y avait « Chez Laure » rue des Martyrs, puis « Louise Tallandier » dans la même rue, au numéro 17.

Colette fréquentait, vers 1930, les caves de Montmartre, car c’est ce lieu qui à cette époque, offrait le plus d’endroits de bacchanales.

Le Hanneton, le rat mort, la souris, vous accueillent à toutes heures du jour comme de la nuit.

Jean Lorrain a décrit une clientèle très éclectique.

Le Hanneton était une brasserie au 75 rue Pigalle (à l’emplacement de la brasserie du Lapin dirigée par Mme Armande).

Le rat mort, avec deux entrées, l’une sur la place Pigalle, et l’autre au 16 rue Frochot, afin de pouvoir en sortir discrètement. Colette parle de cet endroit.

Mme Palmyre dirigeait la « Souris », un café situé 29 rue Breda ( aujourd’hui rue Henri-Monnier).

Puis vers 1920 et 1930 les lieux se déplacent vers Montparnasse, là où se trouvait le « Monocle » lieu également lesbien.

Amour lesbien dans la nature.

En 1888 Pierre Delcourt évoque que ces vingt dernières années, l’augmentation des amours entre femmes est prodigieux, ces femmes considèrent le rapprochement homme/femme comme une monstruosité à laquelle il faut se soumettre pour vivre , c’est le dictat de la société et aujourd’hui encore, la norme reste l’hétérosexualité, nous sommes sous la dictature phallocratique, mais fort heureusement, nous arrivons à faire notre chemin, nous les lesbiennes et bisexuelles.

Les hommes pensent depuis des siècles, qu’ils sont incontournables pour les plaisirs des femmes, c’est une monstrueuse erreur qui encore une fois prouve que les hommes ne connaissent rien aux femmes, pourquoi y a-t-il autant de femmes mariées entretenant une relation très secrète avec une autre femme, son amante ?

Éloge du saphisme ou l’amour entre femmes.

Pensée de Liane de Pougy: L’homme descend du singe et la femme des anges. 

Nous les lesbiennes.

Je vais vous relater quelques lignes puisées dans les ouvrages d’une célèbre femme, qui non seulement était superbe, mais qui avait beaucoup d’esprit et un sens de l’analyse assez poussée.

Cette femme était en son temps la reine des nuits lesbiennes sur Paris, et était directrice de discothèque, tel que le Katmandou, puis du Privilège, il s’agit d’Elula Perrin, née à Hanoï au Vietnam en 1929, décédée à Paris en 2003.

Un parcours en tout point atypique, puisque qu’elle fût hétérosexuelle, et même mariée à un homme.

Cependant, lors d’un voyage au Maroc, elle découvrit l’homosexualité entre femmes, et ce fût la grande révélation de sa vie.

Bien sûr, son couple hétérosexuel  ne survivra pas, car elle décida aussitôt de rentrer dans le cercle des lesbiennes pour sa plus grande joie, qu’elle ne le regrettera pas une seconde durant toute sa vie très mouvementée.

Pour l’amour des femmes.

C’est une amoureuse inconditionnelle des femmes, et plus question pour elle qu’un homme la touche.

C’est une révoltée et ne se gênera pas à le crier haut et fort, elle avait une certaine détestation des hommes, qui pourtant se sont ingéniés à lui tourner autour, s’imaginant qu’eux étaient meilleurs que les autres, quelle prétention se disait-elle ?

Elle défendra avec acharnement le droit des femmes, féministe jusqu’au bout des doigts, elle ne lâchera rien.

Cette femme, née au Vietnam, était licenciée en droit, autrice de plusieurs ouvrages sur les relations entre femmes, en plus de son occupation principale de directrice de discothèque réservée aux lesbiennes, ou beaucoup de femmes du monde se pressaient pour profiter de l’ambiance bien particulière crée par Elula Perrin.

Extraits de “Les femmes préfèrent les femmes” Elula Perrin.

Réflexions sur les hommes qui essayent de fréquenter les lieux lesbiens.

Nul doute qu’énormément d’hommes essayèrent de rentrer dans les établissements créés par l’autrice des sujets qui vont suivre.

Sextoy et lesbiennes

Ils nous considèrent comme des copines et nous sommes plus agréables à regarder qu’un copain en complet veston. Ils s’installent au bar, ne s’intéressent pas à ce qui se passe sur la piste de dame, boivent, bavardent, se détendent, paient et s’en vont. De ceux-là, je dis, en parlant d’eux “Ce ne sont pas des hommes, ce sont des amis.”

Les “à problèmes” les torturés, les impuissants, les surpuissants, les masochistes, les timides, les trop sûrs d’eux, bref, les complexés viennent chercher chez les lesbiennes de quoi les rassurer.

Ils prétendent que nous faisons mieux l’amour que les hétéros, parce que nous sommes plus actives, que nous osons prendre des initiatives. Évidemment ! Comment la femme hétérosexuelle pourrait-elle apprendre, dans ce champ clos qu’est le lit coïtal, ou le mâle, en principe, fait la loi, alors qu’il est souvent un autodidacte…..

Ah! voir deux femmes qui s’aiment, verbe magique ! Ils crachent de dégoût sur l’inesthétisme des rapports entre hommes homosexuels, mais baveront d’envie et de plaisirs “purement artistique” sur deux lesbiennes enlacées.

Ils souhaiteront devenir de bons copains, l’ami fidèle, équivoque, en attendant de se glisser inopinément dans le lit des deux femmes pour y planter leur petit drapeau d’endurance…..

La quantité de femmes qui sont devenues lesbiennes “grâce” à leur mari ou à leur amant qui les poussaient dans la mauvaise direction des plans à trois, dans le but de satisfaire uniquement leur envie, le bâton s’est retourné contre eux.

Ce sont ceux qui les poussent, les persuadent, parfois les forcent, à faire des plans à trois qui se retrouvent piégés par eux-mêmes.

L’homme reste un grand prédateur, car il reste toujours un chasseur, même s’il essaye de le dissimuler, le fusil toujours à l’affût, toujours prêts à l’attaque.

Les femmes sont trop timides, trop pudiques pour accepter d’emblée cette combinaison purement issue des méninges du mâle.

Essayer avec une autre femme, mais seule, hors de la présence de l’homme, oui !

Mais devant lui, vous allez être déçue…

Finalement, elles acceptent, elles subissent, s’étonnent, apprécient, en raffolent….Un beau jour, elles s’aperçoivent qu’il y a quelqu’un de trop dans la chambre, dans le lit, et monsieur se retrouvera sur la carpette, on le chasse de sa chambre, de sa vie et il jure, mais un peu tard, qu’on ne l’y reprendra plus.

Combien en ai-je rencontré de ces amants, de ces maris plaqués qui, de ce fait nous détestent, nous traitent de sales gouines, et interdisent à leur prochaine femelle l’approche de nos enfers !

Bien entendu, on dira aux lesbiennes vierges, “comment savoir que vous n’aimez pas une chose si vous ne l’avez jamais goûtée ?

A quoi, je rétorque :

On peut ne pas avoir envie de manger du caca….!

On peut très bien avoir une répulsion de l’homme telle qu’on n’a pas du tout envie de l’essayer.

Je parle de répulsion vis-à-vis de l’homme et non pas de peur de l’homme.

La vie est trop brève, le temps des amours bien trop court pour perdre du temps à la recherche d’un plaisir dont on se passe si bien.

Pourquoi me faudrait-il surmonter mon non-désir du corps masculin, de son grain de peau, de son odeur, de son haleine, de son sexe, de ses poils, moi qui me baigne dans le corps de mes sœurs, yeux grands ouverts, narines palpitantes, mains dévorantes !

Les femmes bisexuelles disent que les hommes ne savent pas bien honorer le sexe des femmes.

Lorsqu’on nous dit que nous sommes des femmes qui ont été “ratées”, parce que “mal baisées”, je souris.

Nous, au contraire, sommes les mieux baisées et celles qui “baisons” le mieux !

Je ne crois pas à la véritable amitié entre les hommes et les femmes, il y a trop de séquelles de colonialisme entre nous.

La situation n’est pas clarifiée. Nous nageons encore dans le paternalisme.

Les hommes peuvent seulement devenir de très bons copains, mais c’est très difficile. Même avec les hommes intelligents, qui ont de la cervelle et non du sperme dans la boite crânienne. Il est difficile d’avoir des rapports de pures camaraderies.

Ils ne peuvent jamais oublier tout à fait que nous sommes de la race des conquises et leur amitié à un, je ne sais quoi de protecteur et de condescendant.

Les hommes sont capables de toutes les fourberies et n’admettent pas qu’on puisse se passer d’eux.

Nos plaisirs entre femmes

Les couples de lesbiennes sont trop souvent rejetées de la société phallocratique, c’est une insulte aux “vrais couples” hétérosexuels, et quel mauvais exemple pour les épouses, elles risquent de faire des comparaisons qui ne seraient pas toujours à l’avantage de l’attelage “monsieur-madame”.

Si j’avais une fille, je lui aurais donné un métier indépendant et surtout suffisamment rémunérateur pour ne pas avoir besoin du portefeuille d’un quelconque porte phallus.

Tirer un coup est une expression masculine qui veut bien dire ce qu’elle dit: on appuie sur la détente, bang ! la cartouche explose et c’est fini…

Notre jouissance à nous est une implosion.

Elle se développe et arrive à son terme dans les profondeurs de notre ventre, comme les éruptions volcaniques qui bouleversent les abysses des océans. Ce n’est pas l’ETNA et sa lave dégoulinante, c’est une houle somptueuse qui irradie de notre ventre et éblouit jusqu’à notre cerveau.

Le corps à corps de deux femmes n’est pas la guerre. Notre lit n’est pas un champ de tir, nos draps ne sont pas les témoins de combats de pancrace ou de lutte gréco-romaine. Il n’y a pas de dominantes, ni dominées, ni vainqueurs, ni vaincues. Je te donne et je prends, tu me donnes et tu prends.

Femme, ma sœur, ma complice, ton territoire ne m’est pas étranger. Je préfère tes vallées ombreuses aux pics crevant les nuages, le satin de ta peau semblable au mien, les gémissements qui sourdent de toi, aux acharnements des bûcherons, l’arpège de tes doigts aux trépidations du marteau-piqueur. Je connais ton corps comme le mien, je sais donc les caresses que tu aimes, car ce sont les mêmes que je désirerai obtenir de toi.

Ah ! que notre sexualité intéresse le commun des hommes et comme ils la connaissent mal.

Hélas pour eux ! Je n’ai pas l’intention de décrire ici l’amour que se font deux femmes.

Nos caresses resteront rigoureusement secrètes.

Laissons haleter ces hommes dont le plus gros fantasme est d’avoir deux femmes dans leur lit.

Ce sont eux qui incitent leurs épouses à ces parties à trois auxquelles elles n’avaient jamais songé.

Pour les hommes, la fille en plus, c’est le piment, le ketchup, le poivre, du moins, le croient-ils..! misère, misère !

80% des femmes hétéros qui essayent deviennent bisexuelles ou lesbiennes !

Histoire lesbienne de femmes qui aiment les femmes.

Les plaisirs de l'homosexualité entre femmes.

Avez-vous lu le livre de Mathilde Ramadier, ayant pour titre évocateur « Vivre fluide », ou déjà s’inscrit en filigrane une revendication tout à fait naturelle pour nous les femmes, c’est-à-dire avoir enfin la liberté de choisir notre vie sexuelle. Mais pour aller plus loin, les choses peuvent être plus compliquées, car il y a encore des freins à certains types de rencontres, surtout si elles sont teintées d’intentions homosexuelles entre femmes, si les femmes revendiquent la liberté de choisir, alors, elles sortent d’une société hétéronormée, phallocratique, un sacrilège !Notre société est conditionnée par des siècles d’une dictature religieuse bien pensante et certaine de détenir la vérité en la matière. De plus, les hommes ont fait main basse sur la liberté des femmes, certains de leur pouvoir, et persuadés d’être le centre du plaisir. Si encore de nos jours, l’homme pense être au centre du bateau plaisir, alors, il se trompe magistralement, c’est une grave erreur, c’est du nombrilisme, du phallocentrisme. Revenons en arrière dans le temps, celui de la prise de conscience, par les femmes, du droit tout simple, d’accéder enfin à la liberté de vivre comme nous le voulons.

Nous avons le droit de choisir nos vies sexuelles, nous ne sommes pas des objets ! L’éclosion féministe commence véritablement après la première guerre mondiale de 1914-1918…

La liberté féminine arrive enfin ! Après la première guerre mondiale de 1914-1918 le monde ouvre les yeux et voit le résultat des horreurs que seuls les hommes sont capables de faire. Des millions de morts, de blessés, de mutilés, d’aliénés mentaux devenus fous sous le déluge de feu que le ciel a fait tomber sur eux, des champs entiers sont couverts de tombes, et bien heureux ceux ayant une sépulture, des militaires, des civils, hommes, femmes et enfants payent le prix du sang. Combien de familles endeuillées, combien d’orphelins, combien de femmes ne retrouverons jamais l’être aimé, il a donné sa vie, ou plutôt l’histoire est venue lui voler sa vie, il n’ira plus aux champs faucher le blé. La vie va reprendre, c’est le sens des événements, la vie est plus forte que la mort. Les femmes, ont, elles aussi, largement contribué à l’effort de guerre, elles ont travaillé dans les usines à fabriquer des bombes destinées aux voisins d’en face. Et réciproquement bien sûr. C’est alors que va naître un mouvement de fond chez les femmes, le féminisme, qui jusque-là était souterrain, donc confidentiel. L’émancipation des femmes est la rançon de ce qui leur est dû, la liberté dont elles sont privées depuis des temps immémoriaux.

La première des libertés revendiquées dans les années folles de 1920 à 1940 et encore après, sera la liberté sexuelle, le droit de choisir sa sexualité, de revendiquer les plaisirs qui jusque-là étaient réservés au genre masculin, le monde étant phallocentré, comme si le phallus de l’homme était un passage obligé pour nous les femmes d’avoir du plaisir. Mais après cette guerre, c’est le réveil des sens, une frénésie du bonheur s’empare d’une classe intellectuellement ouverte sur le monde qui s’offre à eux. Les cafés, les cabarets, les restaurants, s’emplissent d’hommes et de femmes qui veulent en découdre avec les interdits sociétaux. Mais ce phénomène touche surtout une catégorie de gens, la bourgeoisie parisienne, la capitale devient le centre de la luxure.Les coquins et coquines sont à la fête dans ce Paris, ou tous les chats sont gris, tout est possible. Et les escapades sexuelles fleurissent comme au printemps.Les femmes prennent leur envol, l’homosexualité féminine arrive au grand jour, de même que la bisexualité entre femmes, des grands noms de la société s’affichent sans vergogne pour montrer à la face du monde, voyez, nous faisons ce que nous voulons maintenant, et nous découvrons des plaisirs jusque-là cachés.

Les lesbiennes et les femmes bisexuelles osent désormais se montrer, et revendiquer la découverte des plaisirs sexuels entre femmes, et c’est une immense révélation. Des grands noms comme Nathalie Clifford Barney, Gertrude Stein, Sylvia Beach, Colette et bien d’autres, vont s’afficher ouvertement en compagnie de leur compagne du moment, certaines d’entre elles vont d’ailleurs vivre une véritable histoire d’amour entre femmes, nous en reparlerons plus tard, car c’est simplement du merveilleux. Nous avons connaissance de ces histoires d’amours entre femmes, grâce à diverses correspondances et ouvrages littéraires écrits pas certaines autrices des faits. Il y a aussi des rapports des institutions policières et juridiques également. Le développement de l’homosexualité et de la bisexualité entre femmes est surtout à cette époque visible dans le milieu artistique et intellectuel. Il y a aussi un fort mouvement de libertinage féminin sexuel dans la classe populaire, qui se produisait déjà durant la guerre elle-même, Mais il est plus difficile à quantifier, car il reste confiné sur une catégorie de la population, qui ne s’exprimait pas sur ce sujet demeuré très tabou. Ma grand-mère, une ouvrière, disaient que dans son quartier ouvrier sur Paris, elle savait que des femmes couchaient avec leur voisine de palier, et ce n’était pas si rare que ça, des rencontres tricots sur le lit n’étaient pas un événement. Mais ce genre de rencontre entre femmes était vraiment sous le sceau du secret, tant le quand dira-t-on populaire était en embuscade, et prêt à bondir sur le moindre événement, avéré ou non d’ailleurs. Cependant, que ce soit dans les milieux bourgeois ou plus modestes, la phraséologie était encore pleine d’allusions pour désigner ou parler des femmes qui sortaient avec des femmes, le mot “lesbienne” était un gros mot, ce qui semble être encore le cas de nos jours. D’ailleurs, si vous tapez “lesbienne” sur google, vous n’allez pas tomber sur des bandes dessinées pour ado, mais immanquablement sur des sites destinés aux adultes, c’est une insulte ouverte au monde LGBT, les gens bien d’un côté, les montres de l’autre, voila un monde bien manichéiste.Les femmes homosexuelles et bisexuelles se trouvent dans une bonne partie de la société bourgeoise et bien pensante, incluant des protestants, des catholiques et d’autres religions, le sexe n’a pas de croyance.L’église est comme toutes les institutions de ce monde, elle a des thèmes et des pratiques.En théorie, elle condamne à l’enfer, ce pécher de chair. En pratique, elle leur donne l’absolution et les envoient au paradis. (In La prostitution devant le philosophe. 1881- Charles Richard) Oui, les lesbiennes partent bien au paradis comme le disait d’ailleurs Colette, ces plaisirs que l’on nomme à la légère “physique”, vont bien au-delà et que le cœur et l’esprit y participent tout autant..

Une relation entre femmes, n’est pas que physique, elle s’accompagne d’une merveilleuse alchimie composée d’un savant et mystérieux mélange de sororité, d’amitié, d’admiration, de douceur, de poésie. C’est en fait un signe de maturité dans une société pleine de préjugée et parfois opprimante. Il faut savoir aussi que la bisexualité chez les femmes ne conduit pas à une appartenance sexuelle, cela va de soi.Au 19e siècle, le terme le plus courant pour parler des femmes bisexuelles ou homosexuelles était plutôt “amitiés féminines”, terme plus générique qui permettait de faire un peu office de paravent cachant un peu ce que l’on voulait y mettre.Puis au début du 20e siècle, le corps médical concluait que la société “normale” était incontestablement l’hétérosexualité, et classait donc de ce fait les autres sexualités dans la case “atteinte psychique” d’où des thérapies de conversion pour revenir dans la norme sociétale du moment. D’ailleurs, à ce sujet, le célèbre mathématicien Alan Turing, qui à découvert le code secret de l’armée allemande durant la dernière guerre mondiale, en craquant le chiffrage de la machine “enigma”, était homosexuel, alors après la guerre, la société anglaise lui proposa, en lui forçant juste un peu la main, de subir une thérapie de conversion pour devenir hétérosexuel, mais voila Alan Turing ne supporta pas ce cocktail de folie, et il finit hélas par se suicider dans les années 50. L’Angleterre se décida à présenter des excuses à cet homme qui fut un très brillant scientifique, et rendit un immense service non seulement à son pays, mais au monde entier évitant de saigner encore un peu plus l’humanité. Cette perte magistrale montre combien il est difficile d’être différent, pas une tête ne doit dépasser du rang, il ne faut pas être trop grand, et pas trop petit non plus sous peine de devenir invisible. La norme, encore en vigueur dans beaucoup d’esprit, reste malgré tout l’hétérosexualité, le genre masculin domine le monde avec son phallus, croyant à tort qu’il est bien le seul pourvoyeur du plaisir pour nous les femmes. Mais voilà, ne pas confondre procréation, ou l’intervention du phallus “peut” être nécessaire, et plaisir sexuel. Si ce plaisir est au bout du rapport sexuel pour l’homme, il n’est en rien garanti pour nous les femmes. Les années folles qui accompagnent la libération des femmes démontrent que la sexualité entre femmes procurent bien plus d’orgasmes, plus fréquents, plus intenses, c’est le nirvana de la sexualité, ceci est un véritable pavé dans la mare des plaisirs sexuels. Ce mythe, confortablement installé depuis des générations, tient aussi à l’illusion entretenue par les femmes qui simulent l’orgasme lors de leur rapport hétérosexuel avec leur mari ou leur compagnon, en effet des enquêtes sur ce sujet montrent que 47% des femmes simulent régulièrement l’orgasme, pourtant 81% des hommes croient leur que partenaire n’a jamais feint de jouir avec eux, les soupirs ne valent pas toujours plaisirs orgasmiques: et cette ruse est bien souvent mise en place pour une raison alarmante, qui est d’écouter le rapport sexuel. 91% des femmes ont déjà simulé l’orgasme, c’est le chiffre révélé par Gleeden à l’occasion de la journée mondiale de l’orgasme du 21 décembre 2006, par l’association anglo-saxonne “The Global Orgasm”, et 11% des femmes simulent la jouissance à chaque rapport sexuel. Un vrai jeu d’acteur en fait. Pourquoi les femmes simulent-elles l’orgasme ? Pour faire plaisir à leur partenaire. Elles cherchent en fait à booster l’égo de leur partenaire pour ne pas le vexer. Mais aussi, et malheureusement, pour écourter le rapport sexuel.

Sensualité lesbienne.

Une autre facette de la sexualité féminine, mise à l’étude en 2018, par le Psychologue USA, Justin J. Lehmiller, sur un échantillon de 4175 femmes, montre que 59% des femmes disent avoir des fantasmes sexuels avec d’autres femmes, ce qui vient confirmer de précédentes études faites une dizaine d’années auparavant, ce qui vient confirmer que les femmes ont une sexualité plus fluide que les hommes.

Cependant, peu de femme osent avouer leur bisexualité au grand jour, car nous restons hélas dans une société très hétéronormée. La bisexualité des femmes reste aussi un grand fantasme masculin, ce qui les poussent souvent à proposer à leur femme ou leur compagne, le fameux plan à trois, mais quelle erreur encore, car l’approche sexuelle des relations entre femmes n’a absolument rien à voir dans ses actes avec l’approche masculine.  La sexualité de la femme est tout en subtilité, et passe par son cerveau. Si la presse féminine fait périodiquement l’apologie de la sexualité lesbienne, en mettant en avant que les femmes ayant des rapports sexuels avec d’autres femmes, ont des vies plus épanouies, car les enquêtes font états de “plaisirs inouïs”, avec des orgasmes en cascades.

Les lesbiennes seraient maitresses dans l’art et la manière, comme l’évoque d’ailleurs un texte du début de notre siècle dont l’autrice est une admiratrice de Sappho, en la personne de Lucie Delarue Mardrus. Hommes et femmes, nous avons les mêmes mains, mais il semble que les lesbiennes soient maîtresses en l’art et la manière. Le magazine féminin “Elle” ne disait-il pas dans l’un de ses articles “Jouis comme une lesbienne”, c’est déjà une ode et une invitation aux plaisirs entre femmes.

Les lesbiennes ont plus d’orgasmes. En effet, Une étude américaine publiée en 2017 par Kinsey institute sur un échantillon de 53.000 personnes, montre que 86% des femmes homosexuelles disent atteindre l’orgasme, contre 65% des femmes dans les rapports hétérosexuels. Cette différence ne se retrouve pas chez les hommes, car les hommes hétérosexuels disent atteindre l’orgasme dans 95% des cas, tandis que les hommes homosexuels jouissent dans 89% des cas, il y a donc peu de différence chez les hommes. La palme de l’orgasme revient de ce fait sans discussion aux femmes ayant des rapports entre elles. Le malentendu dans l’art et la manière, car 30% des hommes pensent que la meilleure façon de parvenir à l’orgasme pour une femme est la pénétration vaginale. Et 91% des lesbiennes disent atteindre l’orgasme en combinant stimulation génitale et sexe oral, sans être  pénétrée au niveau du vagin d’ailleurs.En fait, les femmes peuvent prendre leur temps, parce qu’elles n’ont pas l’obligation de maintenir une érection à tout pris, c’est le couperet de l’éjaculation. Les femmes ayant eu un orgasme peuvent continuer aussitôt vers d’autres orgasmes. Il y a une sorte d’injustice dans la nature elle-même, mais ne faudrait-il pas une autre éducation ? Revenons à nos années folles de 1920- 1940

Quand deux femmes s’aiment, tout est possible.

Cette période folle, voit l’émergence de la garçonne, femme libre, mais d’un milieu bourgeois, fréquentant le Paris select de l’époque où le champagne coulait à flot. La garçonne s’impose comme le nouveau modèle féminin des années 1920/1930. En effet, comme je le disais au début de mon blog, après la première guerre mondiale, les femmes viennent occuper le centre de l’échiquier des libertés féminines, elles veulent affirmer leur indépendance dont elles sont privées depuis des générations, les hommes dictant le comportement des femmes en privé et dans la société, la femme était la chose de l’homme ! L’homme est sujet, la femme est objet….(Simone de Beauvoir, “le deuxième sexe”) Cette indépendance, cette émancipation féminine se voit dans la vie, par la nouvelle mode “garçonne” qu’un certain nombre de femmes émancipées arborent sans vergogne au nez et à la barbe d’un monde qui les avaient ostracisé depuis fort longtemps. La mode garçonne se traduit, dans les faits, par une coupe de cheveux plus courte, donnant ce  nom  à la couleur androgyne, à la femme qui en est porteuse. Puis les femmes adoptent une silhouette plus mince, longues jambes, poitrine plus discrète. La presse ne tarde pas à emboiter le pas en arborant des publicités offrant des corsets permettant de contenir quelques rondeurs non encore maîtrisées. Les cheveux sont courts, couverts par un chapeau très élégant, quant aux pieds, ils sont aussi de la fête, et les souliers à talons bas soulignent cette nouvelle mode.

La cosmétique fait une apparition très remarquée sur les marchés et les grands magasins qui profitent largement de ce nouvel élan, il y a du soufre dans l’air me direz-vous ! Les femmes s’initient à l’art du maquillage, leur permettant ainsi de soustraire aux regards quelques imperfections ou traces du temps. Le sport devient également une prise des femmes pour entretenir sa forme et garder une ligne attractive. La mode des cheveux courts avait été lancé par Joséphine Baker et les Dolly Sisters. Mais cette nouvelle mode n’est pas du goût de tout le monde, elle dérange la société bien pensante, c’est une mode décadente disent certains. Une fois de plus c’est la religion qui vient mettre son nez là, ou elle n’a rien à y faire. C’est une atteinte notoire à la liberté de chacune. En 1921 de nombreuses ligues féminines chrétiennes lançaient un appel aux grands couturiers et aux grands magasins, contre cette mode jugée “inconvenante”. Par exemple, l’Union des œuvres féminines, (à destination des grands magasins et grands couturiers de Paris) écrivait ceci: Nous vous prions de nous aider à mettre un terme à l’inconvenance et à l’immoralité des modes actuelles.

1°) En ne créant ni en ne vendant aucun modèle qui blesse la morale

2°) En abolissant l’usage du décolleté déplacé, de l’étroitesse et de la courtesse exagérée des jupes, en prohibant l’emploi abusif des étoffes transparentes.

3°) En supprimant dans les toilettes tout ce qui sent le débraillé et le vulgaire…

Certaines femmes tirent également à boulets rouges sur les soins de beauté et la cosmétique. Malgré ces critiques virulentes, agressives parfois, la mode garçonne trace sa route assumant tout simplement le mouvement d’indépendance des femmes en général..

Femmes homosexuelles, un monde d’érotisme et de sensualité.

Le lesbianisme.
Lesbiennes des années folles.

Les immenses plaisirs d’une relation homosexuelle entre femmes.

L’homosexualité féminine, si elle a toujours existé, est sortie de l’ombre pour venir sur le devant de la scène, avec, enfin, la libéralisation et l’indépendance des femmes, dans la deuxième moitié du XIX siècle. Les freins à cette apparition sont multiples, les convenances, la religion, les hommes qui supportent mal que les femmes puissent avoir plus de plaisir entre elles, plutôt qu’avec un homme, c’est la démonstration que le phallus n’est pas le seul générateur de plaisir et d’orgasme pour nous les femmes. Mais cette émancipation féminine reste tout de même encore réservée à des milieux comme la littérature, les arts en général, la bourgeoisie des villes, c’est un peu un entre-soi. Ces plaisirs saphiques, certes pas nouveaux, émoustillent les hommes, qui tout en critiquant allègrement les femmes, aimeraient bien entrer dans la danse, mais non messieurs, vous n’êtes pas les bienvenus chez nous, les lesbiennes, ou les gouines, ou bien aussi, goudou comme le disent beaucoup d’hommes, Paris est devenu un lieu incontournable pour les rencontres entre femmes, cabarets, music-hall, cafés, hôtels et appartement pour rencontres coquines entre femmes. Cette vague de fond du libertinage entre femmes explose, et beaucoup de femmes y gouttent, et surtout l’adoptent, même les femmes mariées hétérosexuelles s’adonnent en cachette à ce monde des plaisirs saphiques.

Quand je vous disais que les femmes avaient enfin la possibilité de s’aimer entre elles dès la deuxième moitié du XIX siècle, ce n’est pas tout à fait exact, car au début du XIX siècle, deux femmes se marièrent à l’église en Grande-Bretagne. Ce fût le premier mariage homosexuel entre femmes de l’histoire, mais sans reconnaissance officielle.

Voici brièvement ce conte de fée.

En 1834, deux femmes, nées en Grande-Bretagne, se marièrent à l’église de Holy Trinity de York. Ces deux femmes étaient d’une part, Anne Lister, née en 1791 à Halifax, et décédée dans le Caucase le 22 septembre 1840, c’était une riche héritière. Sa compagne, Anne Walker ,était aussi une riche héritière, née en Grande-Bretagne le 20 mai 1803, décédée en Grande-Bretagne le 25 février 1854. Ces deux femmes étaient éperdument amoureuses l’une de l’autre, d’ailleurs, à la mort d’Anne Lister, alors en voyage toutes les deux dans le Caucase, sa compagne, Anne Walker, la fera embaumer, afin de pouvoir ramener son corps en Grande-Bretagne, ce voyage de retour sera compliqué et durera environ 7 mois, puis Anne Lister sera enfin inhumée dans le caveau familial de la famille Lister à Halifax. De son vivant, Anne Lister entretiendra une abondante correspondance amoureuse dont les passages qui parlent ouvertement de sexe entre femmes seront codés, ce codage ne sera résolu que très tardivement, bien plus d’un siècle plus tard.

Plus près de notre époque, année 1960/80, vous aviez une femme courageuse et combattante au sujet du droit des femmes, il s’agit de la reine des nuits lesbiennes, Madame Elula Perrin, qui défendait bec et ongles le droit des femmes qui aimaient les femmes, elle fut aussi directrice des établissements Katmandou et Privilège, pour les femmes seulement.

De plus Elula Perrin écrira plusieurs livres pour crier son amour des femmes, mais aussi sa haine des nombreux hommes qui ne respectent pas les femmes et leurs désirs lesbiens. Cette femme commencera sa vie comme hétérosexuelle, et ayant découvert le saphisme lors d’un voyage au Maroc avec son mari, lui avouera sa nette attirance pour les femmes, et donc à partir de ce moment, le couple se séparera pour toujours, le chemin d’Elula sera maintenant ouvertement vers et avec les femmes.

Je reproduis ici le début de son livre « Coup de gueule pour l’amour des femmes »

Ce texte est une partie du prologue.

Voici donc !

« Homme, je te hais !

Érigé sur un monde que tu domines d’une courte queue, campant sur tes positions millénaires, tu prétends encore et toujours dominer l’univers et régir la vie des femmes. Tu te crois toujours liberté éclairant le monde quand tu n’es qu’une torche en voie d’extinction ; tu te penses caste privilégiée quand tu n’es plus qu’un asile de ‘has benn’ frileux protégeant avec acharnement leurs privilèges. Depuis des mille et mille ans tu tiens sous ta coupe la femme, ma sœur. Tu l’as si bien conditionnée, dressée, matée, bâtée, qu’elle a du mal à redresser la tête. Ou est passé le féminisme flamboyant des années 75, malgré ses outrances et ses luttes intestines qui ont sans doute causé sa perte et sapé sa crédibilité ? Yvette Roudy, ministre de la condition féminine, s’était attiré les quolibets pour avoir protesté contre un spot télévisé montrant une femme dansant avec une serpillière. Depuis, les féministes ont capitulé. Elles sont devenues muettes……. Elles ont baissé les bras, sont rentrées dans le rang, manger dans la main de l’homme détenteur du fric et de la toute puissance. Alors, enhardis et sans vergogne, les publicitaires se sont déchaînés. Les femmes nues ont envahi la pub, toute la pub. Tétons, cul, orgasme sont là, non pas pour eux même, mais pour vanter des voitures et des machines à laver. La ménagère modèle nage dans des poudres plus blanches que blanches, brandit des tornades nettoyantes et nous confie que ses ragnagnas sont endiguées par des couches plus larges et plus étanches…… » C’était juste hier, et à votre avis, qu’est-ce qui a changé ?

Mais l’homosexualité entre femmes, c’est-à-dire le saphisme qui était extrêmement répandu depuis cette fin de siècle, suscitait pourtant des commentaires désapprobateurs de la part de nombreuses personnes, surtout des hommes, qui pour certains avaient pignon sur rue, le saphisme était considéré comme une anomalie, un vice de société. D’ailleurs, Léo Taxil, dans son livre sur ‘la corruption fin de siècle’ (écrit en 1909) parlera de « plaie sociale » au vu du nombre important de femmes qui se livraient avec entrain, aux joies du saphisme.

Dans son livre, il dit ceci.

Aux dernières élections municipales de Paris, quelques candidats, parmi ceux qui laissaient la politique au second plan, ont poussé un cri d’alarme : Paris disaient-ils dans leurs professions de foi, Paris est devenu un foyer de corruption ; le vice sort des égouts et envahit les trottoirs. Les quartiers qui jusqu’à présent, n’avaient pas été atteints par l’horrible lèpre de la prostitution sont infectés comme les autres, les filles publiques racolent aux alentours de Saint-Sulpice, exactement comme sur les boulevards extérieurs.Eh bien c’en est trop, notre capitale ne doit pas être le lupanard de l’Europe. Il faut réagir.

Mais cette protestation n’a pas été entendu !

Suite du livre de Leo Taxil. (1909)

Le saphisme….

Ainsi que le sadisme, le saphisme a pour origine le lupanard officiel, il est facile de comprendre que ce vice féminin contre nature a pour cause indirecte l’aberration génétique masculine. Le nom de ce vice vient de Sappho, la courtisane-poète, qui s’y adonna. Une femme qui aime une femme est appelée saphiste, on dit aussi lesbienne, parce que les habitantes de Lesbos étaient accusées de cette dépravation, ou encore tribade, qui veut dire frotter.

La propagation effroyable du saphisme hors des lupanards en est la meilleure preuve. Beaucoup de filles de maison pratiquaient le saphisme, et beaucoup de filles publiques pratiquaient également le saphisme. Mais en fait, la plupart des femmes disent ne pas pratiquer le saphisme, car elles sont discrètes.

La pratique du saphisme dans les lupanards touche surtout une clientèle de luxe. Au bois de Boulogne dans l’allée des poteaux, des femmes racolent d’autres femmes, qui arrivent en calèche accompagnées de leur petit caniche, signe fréquent de reconnaissance.

Ce racolage dans l’allée du bois de Boulogne se pratique plutôt le matin à partir de 10 heures et jusqu’à midi. Puis, c’est ensuite sur les Champs Élysée que se pratique ce racolage, à partir de 16h jusqu’à la tombée de la nuit, les bourgeoises emmènent ensuite leur fille dans un restaurant dans le quartier des halles centrales, pour avoir ses faveurs à l’hôtel, ou même dans leur calèche.

Les délices sexuels lesbiens de Mélissa.

Les plaisirs sexuels entre femmes.

Mélissa est assise juste devant moi sur le canapé, il fait chaud, dehors, c’est le grand calme, pas un bruit en ce dimanche. Je la regarde alors que visiblement Mélissa, toujours aussi lascive, ne me voit plus, elle est absorbée par un livre qui semble lui procurer beaucoup d’émois. Son contenu est érotique, je vois le titre d’ici, « Comment avoir des orgasmes par la masturbation », c’est tout un programme. Mélissa est en petite tenue, juste une culotte blanche en coton, un chemisier ample et léger, au travers duquel je peux voir la silhouette de sa généreuse poitrine. Les tétons de Mélissa se dessinent sur le tissu de son vêtement, tandis que sa belle chevelure noire et bouclée tombe harmonieusement sur ses épaules. Ces longues et belles jambes nues sont relevées, elles ont le teint d’une belle métisse de feu. J’adore cette femme, nous vivons ensemble toutes depuis deux ans déjà, et ce n’est que du bonheur. La sexualité de Mélissa est épanouie, rien ne l’arrête, sa vie se conjugue avec harmonie et plaisir. Tandis qu’elle tourne lentement les pages de son livre, moi je n’existe plus. De temps à autre, j’entends Mélissa reprendre son souffle. Son livre dans la main gauche, tandis que son autre main se promène doucement sur son ventre, elle glisse doucement sous son chemisier, je la vois se caresser le ventre, elle est tellement absorbée dans son histoire, que Mélissa est dans un autre monde. Tout ce qui l’entoure n’existe plus pour le moment. Soudain, sans rien dire, Mélissa tourne sa tête vers moi, puis ouvre grand ses beaux yeux, esquive un sourire de satisfaction et sans rien dire, replonge dans sa lecture qui visiblement l’absorbe complètement. Ses jambes sont toujours relevées, mais elles s’écartent légèrement au fur et à mesure de sa lecture, sa main qui explore son ventre semble s’aventurer un peu plus haut, sur l’un de ses seins, elle semble y prendre goût, puis continue à se caresser, un sein, puis l’autre, le tout en dévorant son livre. J’observe que les tétons de Mélissa se raidissent avec le temps, c’est facile à voir au travers de son chemisier un peu transparent et léger, les caresses de Mélissa deviennent de plus en plus insistantes sur sa poitrine, moi, je sais qu’elle est très sensible des seins, elle adore quand je lui lèche le bout de ses tétons. Maintenant, je devine qu’un des doigts de Mélissa tourne autour d’un téton, je suis certaine que sa poitrine va encore gonfler avec son excitation. Oui, ça y est, sa poitrine augmente de volume, et Mélissa attrape l’un de ses deux seins à pleine main,le malaxe avec énergie, alors que sa respiration se fait plus profonde. Elle déborde d’envie, ça ne fait aucun doute. Cette lecture érotique émoustille ma copine. Tout en se caressant énergiquement un sein, Mélissa quitte son livre des yeux un court instant pour regarder dans ma direction et en profite pour me lancer un regard enflammé, comme une invitation à la fête qui se prépare. Moi, je ne bouge pas, je lui souris avec un rictus complice. Alors, Mélissa se replonge dans son histoire sensuelle qui, c’est évident, ne la laisse pas de glace. La main baladeuse de ma copine se promène sur son corps, explorant tantôt le ventre, tantôt les seins, puis sa main dérape. Maintenant la main de Mélissa se trouve sur sa cuisse, puis vite cette main tombe sur l’intérieur de sa cuisse, c’est un endroit où la peau est très fine, une zone sensible, très érogène. Cette fois, elle n’hésite pas, d’ailleurs elle ne s’embarrasse pas de préjugés inutiles et bloquants. Mélissa allonge ses deux jambes sur le canapé, puis passe sa main entre ses cuisses, cette main doit sentir la chaleur de son sexe au travers de sa culotte. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’elle pose son livre sur la table basse juste à côté d’elle, cette fois, elle a les deux mains libres. C’est alors qu’elle s’allonge sur le canapé, écarte encore plus ses cuisses et glisse ses deux mains dans sa culotte, un profond soupir d’aise vient remplir l’atmosphère du salon. Puis, ma copine ressort l’une de ses mains de sa culotte, pour venir caresser l’un de ses seins, complètement gonflé. Une main dans sa culotte, l’autre sous son chemisier s’occupant d’un sein, qui se fait triturer, malaxé, avec petits pincements du téton, avec l’autre main dans sa culotte elle glissait un doigt entre les lèvres de son sexe humide, je voyais de longs et doux mouvements de cette main sous la culotte de Mélissa. L’excitation de ma copine grandissait vite, c’est une nature chaude, elle est très sensuelle. Soudain, n’en pouvant plus, Mélissa attrapa sa culotte avec ses deux mains cette fois, la retira, pour la balancer au travers du salon, sa culotte alla atterrir sur notre plante d’appartement, c’est plus décoratif comme ça ! De nouveau, elle releva ses jambes, les écarta et recommença à caresser son sexe, je la voyais tourner tout doucement, je veux dire lentement autour de son clito avec son index, Puis, pour mieux la regarder, je décidais de changer de place, j’allais m’asseoir aussi sur le canapé, comme ça je suis aux premières loges, à moins d’un mètre de cet objet du désir, le sexe de Mélissa. En fait, elle est vraiment exhibitionniste, Mélissa adore se montrer, Moi, j’aime regarder. La chatte de ma copine est toute luisante, la lubrification est naturelle, son doigt glisse tout seul, et j’entends même quelques légers clapotis quand elle commence à introduire un doigt à l’intérieur de son vagin. Puis son doigt ressort de sa chatte et vient tourner lentement, autour de son clito en érection, le sexe de ma copine est très humide, ce qui rend la scène encore plus excitante. Moi, j’adore regarder ma copine se masturber, d’ailleurs elle le sait bien, elle s’applique, et ça l’excite encore plus. Ce qui est magique, c’est que je ne la touche pas, je la caresse juste du regard, ce qui la rend folle. Sa respiration devient haletante, elle s’accélère, et cette fois son index tourne et s’agite sur son clito, l’instant est chargé d’électricité, l’orage gronde, le tonnerre roule au loin dans les entrailles de Mélissa, je vois sa chatte suinter de plaisir, l’envie déborde, l’instant s’éclaire, un profond râle naît de Mélissa, son orgasme arrive, il est long, puissant, débordant et incontrôlable, c’est l’explosion, Mélissa se déchaîne, éjacule et inonde le canapé. Son corps arc-bouté commence à se détendre, sa respiration ralentit, son souffle plus ténu, elle s’apaise, s’allonge complètement sur le canapé, c’est le repos du guerrier.

Mystère au harem, ebook à lire.

La vie sexuelle dans le harem

La sexualité des femmes dans le harem

Les eunuques du Harem.

Extrait…..

     Sans rentrer dans des recherches sur la définition étymologique du mot eunuque, je dirais tout simplement qu’avec le mot eunuque, nous parlons d’un mâle privé volontairement ou non de sa capacité à se reproduire par copulation.

Cette privation est un acte de barbarie, qui est dans la pure lignée de l’esclavage.

Seuls les hommes sont capables de telles ignominies.

Cette ablation des organes génitaux n’avait pour autre but que celui de satisfaire aux désirs abjectes et criminels d’un despote, qui voulait tout contrôler autour de lui, c’est-à-dire qu’il décidait de la vie des gens qui le servait.

La plupart des eunuques étaient des Africains Nubiens et Abyssiniens, des enfants volés, ou vendus par leurs parents.

Il y avait également les enfants de notables vaincus dans une guerre, le vainqueur s’octroyant tous les droits sur les vaincus, et devenait propriétaire des personnes captives, qui de fait devenaient les esclaves du dominant.

Par conséquent dans le butin de guerre du gagnant, il y avait des femmes, des enfants, et des hommes, n’était conservé que les personnes valides et susceptibles de servir à quelque chose dans le pays du vainqueur.

Les jeunes hommes seront châtrés pour devenir des eunuques, les femmes aux goûts du vainqueur iront garnir le harem du gagnant, le reste sera vendu sur un marché, ou réduit à l’esclavage, ou même pour les hommes valides, serviront de soldats dans l’armée du despote.

A ce stade de notre propos, nous pouvons déjà dire sans risque de nous tromper que eunuchisme et esclavage sont absoluments inconciliables avec les valeurs humaines de liberté, d’égalité, et de fraternité, la justice est une utopie dans cette sphère barbare.

Le plus aberrant est de constater que l’eunuchisme et l’esclavage ont perduré jusqu’au XIX siècle, que les eunuques figuraient dans tous les palais de sultans, d’empereurs, surtout dans l’empire ottoman.

La pratique de la castration relève de la bestialité, on ne faisait pas de différence entre la castration animale et la castration d’un humain. C’est dire le peu de considération pour l’espèce humaine, un mot sans doute inconnu en ces temps de barbarie.

Le rasoir était l’outil des castreurs, qui après avoir attaché la victime sur une chaise ou sur une table, on lui écartait les jambes, pour procéder à l’ablation à vif du pénis, ou des testicules, ou encore des deux parties.

L’hémorragie qui en découlait était amoindrie à l’aide d’huile bouillante versée sur les chaires sanguinolentes résultant du tranchant coup de rasoir.

La douleur était immense, et si le sujet avait un fragilité cardiaque, alors il passait rapidement de vie à trépas, c’était la mort certaine tant la douleur était insupportable.

Pour ceux qui parvenaient à survivre à cet enfer, il y avait dans 80 à 85% des cas des complications suite aux infections, suivie de mort.

L’utilisation d’huile bouillante avait (le croyait-on) un effet hémostatique, car il n’y avait pas en ce temps d’autres moyens pour arrêter l’écoulement du sang, sinon le fer rouge. Le pincement des vaisseaux n’était pas encore connu.

Après avoir ébouillanté la plaie avec l’huile chaude, le castrateur appliquait sur la plaie un mélange de cire, de suif, et de mastic, et attendait que cette croûte se détache d’elle même suite aux suppurations de la plaie.

Pour éviter que le canal de l’urètre ne se bouche lors de la cicatrisation, on y introduit un clou en plomb.

Dans certaines régions, l’hémorragie pouvait être domptée avec une application d’écorces d’acacia.

Ce qui fait, que ceux qui survivent à cette pratique barbare, valent très cher sur le marché des eunuques.

Cette opération de castration était confiée à des couvents coptes en Egypte le plus souvent, ou à des juifs, et ensuite les eunuques qui avaient eu la chance de survivre à cet acte de boucherie  étaient vendus sur les marchés de Constantinople ou empruntait des circuits caravaniers, ou bien encore, ils étaient chargés sur des voiliers pour des destinations comme les pays du Maghreb, et bien sûr les palais du Maroc.

Jamais les musulmans ne pratiquaient eux-mêmes la castration, car la mutilation est contraire aux principes de l’Islam.

Par contre, les musulmans utilisaient volontiers des eunuques soit à titre privé, soit dans les harems, lieux de destination privilégiés.

De ce fait, si les musulmans ne pratiquent pas la mutilation par castration, ils encouragent sa pratique en utilisant les eunuques.

L’invention des eunuques serait d’après Hérodote, les Assyriens.

Mais d’autres historiens en attribuent la paternité à la reine de Babylone Sémiramis, qui jalouse comme un poux, aurait fait châtrer ses amants pour qu’ils ne soient pas tentés d’aller voir ailleurs.

Au siècle dernier, il y avait aussi des gens de la secte chrétienne russe Skoptes, qui pratiquaient l’automutilation génitale. Cette secte avait été fondée au XVIIIe siècle dans l’Oural.

A Constantinople (Istanbul), cette opération de castration se fait sur des jeunes garçons de 8 à 12 ans.

A la suite d’une castration, les eunuques urinent accroupis, puisqu’il n’y a plus de pénis. La castration modifie la pilosité, la voix, et le corps, puisque l’ablation des testicules modifie le cycle hormonal sexuel.

Sur le plan social, les eunuques sont très respectés, ils sont affectés en priorité aux services et à la surveillance des femmes du harem, une femme peut posséder plusieurs eunuques, en plus des esclaves.

Ils dorment dans le palais, soit à plusieurs dans un dortoir, ou bien alors dans une chambre contigue à la chambre de la femme à laquelle l’eunuque est attaché.

Les eunuques peuvent aussi être attachés au service particulier du sultan, certains seront les “mignons” des sultans qui affectionnent en particulier ce genre de sexualité. La sodomie était une pratique très courante dans l’empire ottoman.

Les eunuques peuvent circuler assez librement dans tout le palais, car ils possèdent les clés de toutes les portes.

Par ailleurs, ils sont les seuls, en dehors du sultan, à pouvoir approcher les femmes.

Dans le palais d’Istanbul au 19 e siècle, il y avait 5 à 600 eunuques, et 300 femmes.

Dans la hiérarchie des eunuques, il y a un chef, il est obligatoirement Africain, et il y a un code pénal spécial adapté aux eunuques. Ils sont chargés de l’éducation des femmes du harem, c’est à dire esclaves et concubines, elles sont en générale d’origine circassienne, et elles ont été achetées, ou données par leurs proches, leur âge varie de 10 à 12 ans quand elles rentrent au palais pour y être éduquées disons plutôt dressées pour les bons plaisir du mâle prédateur.

En général, une fille reçoit sa première visite du sultan à 14 ans, et elle est dressée pour ne rien lui refuser, c’est donc tout un programme d’asservissement sexuel qui est mis en place dans le cerveau de ces jeunes femmes.

Si cette jeune femme tombe enceinte, elle sera logée dans une aile particulière du palais pour attendre son accouchement.

Mais elle peut aussi être avortée contre sa volonté pour raison d’état, ce qui est très fréquent.

Parfois, l’enfant et la mère sont simplement éliminés, soit par empoisonnement, soit par strangulation.

Par contre, seules les femmes légitimes du sultan iront au terme de leur grossesse.

Les sage-femmes qui faisaient avorter les jeunes femmes étaient surnommées les sanglantes par le peuple, c’est-à- dire, dans la douceur.

En fait, il y avait plusieurs sortes d’eunuques dans les harems, ou au service de noble:

La catégorisation des eunuques dépendait du type de castration opérée sur l’individu.

 Exemple.

Les spadones: ce nom désignait les jeunes hommes sur qui les testicules avaient été retirées par un bon coup de rasoir, dans ce cas le phallus était encore en place, ce qui permettait encore des actes de pénétrations sexuelles, mais interdisait toutes possibilités de reproduction, par absence de spermatozoïdes.

Cette catégorie d’eunuques formait le plus grand nombre, et était très recherchée par les femmes, et certains maris…..de nombreuses concubines avaient recours à ces eunuques pour satisfaire leurs désirs sans risque de laisser des traces, de plus ils avaient la réputation de durer plus longtemps dans l’acte sexuel.

Les thilbiaes, c’était des hommes en apparence normaux, mais à qui on avait “froissé” par torsion, les testicules, ou écrasé les testicules, cassant du même coup les canaux spermatiques et donc en principe interdisant toute reproduction.

Mais cette pratique ne donnait pas toujours les résultats escomptés, car parfois, il arrivait que le travail mal fait permettait aux spermatozoïdes de remonter et donc de procréer, très gênant dans le cas des eunuques. 

D’ailleurs, la belle Pithias, maîtresse d’Aristote, était la fille d’un eunuque thilbiaes, mal opéré.

Ce procédé de castration était comparable à celui utilisé par les vétérinaires, sur les animaux que l’on voulait castrer.

Les castrati. C’est l’opération la plus à haut risque pour le concerné, car les accidents mortels étaient majoritaires, il s’agissait d’une castration totale des organes génitaux, c’est l’opération qui offrait le plus de garantie d’impuissance totale, mais aussi le plus de risque pour la vie du castrat. Donc ce type d’eunuque était très recherché sur le marché pour la garde des femmes du harem.

Le prix d’un tel eunuque était sextuplé en Orient par rapport à un eunuque hors de cette catégorie.

Les thlasiaes. C’est une autre variété d’eunuques à qui les canaux spermatiques sont sectionnés, cette opération était encore pratiquée en Inde au début du 20e siècle, pour enrayer la fulgurante natalité du pays, en proie à de fréquentes famines faisant des millions de morts.

Signalons qu’à cette époque il n’y avait pas d’anesthésie, alors les opérations étaient faites sous opium, ou en organisant une syncope par compression des carotides, encore une pratique ancestrale plus que douteuse et surtout empirique.

Ce qu’il faut retenir de ces pratiques de mutilation, c’est que l’homme est le plus grand fauves du règne animal dont nous faisons parti, et que l’émasculation de ses semblables n’avait d’autres buts que celui de satisfaire les plaisirs de certains qui se croyaient au dessus du monde.

Le chef avait tous les droits sur la meute, dont il se croyait le seul propriétaire de droit divin… Nous marchons encore sur la tête.

L’art du gode-ceinture et jouets sexuels.

L'art d'utiliser le gode-ceinture

Scénario godemichet, les plaisirs saphiques.

Me voici enfin seule chez moi, tranquillement allongée sur mon canapé, un bouquin entre les mains.Je suis en train de lire ou plutôt de déguster des scènes érotiques décrites dans «les 120 journées de Sodome et Gomorrhe, » par le Marquis de Sade. Inutile de vous faire un dessin, mais ça donne chaud, car ce Marquis de Sade a une réputation plutôt sulfureuse en matière de sexualité. Aucun interdit, avec Sade, c’est le monde de la transgression, tout y passe, de la sodomie, à des pratiques dignes des pires scènes sadomasochistes. Durant cette lecture, je navigue dans un monde qui semble irréel, cependant mes yeux sont littéralement scotchés aux pages de mon livre, quant à mon esprit, il est sur un tapis volant, je change de dimensions, ne sachant plus à ce moment, si j’étais dans le réel ou dans un rêve. Au fur et à mesure que j’avale les lignes de mon bouquin, je sentais en moi, une douce température monter, comme si les rayons du soleil passant par la fenêtre, tombaient sur mes pieds, puis remontaient le long de mes jambes nues, car, il faut le dire, je m’étais mise en petite culotte sur mon divan, personne dans ma maison ne pouvant me voir. Tout comme le soleil montant dans le ciel, et réchauffant la terre, ma température commençait aussi sérieusement à monter, mais là, ce n’est pas le soleil qui est responsable de mon état, je nomme le responsable, c’est le livre de Sade, il enflamme mon esprit, et entre mes cuisses je sens comme un air tropical, chaud et humide ? Ma culotte risque de s’en souvenir. Alors que j’étais complètement absorbée par la lecture de mon histoire coquine, très salaces, car avec Sade, ça ne donne pas vraiment dans la dentelle,,,vous êtes directement plongée dans le royaume de la luxure. Je tiens encore mon livre avec ma main gauche, afin de pouvoir attraper avec l’autre main, mon verre de vin qui se trouve juste sur la table basse à côté du canapé. Une gorgée de Bordeaux ne peut pas me faire de mal dans la situation où je me trouve, entre réalité et rêve. Il ne me fallut pas trop d’effort pour reposer mon verre de vin sur ma table basse, libérant du même coup ma main, et plutôt que de reprendre la lecture de mon livre en le tenant de mes deux mains, comme par un automatisme inné, ma main libre vint, comme par enchantement se poser sur mon sein droit, il faut dire que je suis en petite culotte, mais également en soutient-gorge, car étant seule dans mon appartement, toutes les libertés me sont d’offices octroyées. Tout en lisant non pas Proust, mais les 120 journées de Sodome et Gomorrhe du Marquis de Sade, je sentais comme un accès de fièvre m’envahir, ma respiration devenait plus profonde, mes poumons se gonflaient malgré moi, la situation commençait à m’échapper, tant et si bien que mes seins se gonflèrent sans que je n’y puisse rien faire. Ma main posée sur mon gros nichon droit sentait ce sein se gonfler sous l’effet de mes pensées qui vagabondaient dans les nymphes de ma sexualité débridée. Le bout de mon téton devenait dur, il se gonflait d’autant plus que machinalement je me caressais le sein, le faisant durcir encore un peu plus. N’en pouvant plus, mon instinct prit alors le dessus, et d’un geste bref, je fis sauter ma bretelle de soutien-gorge, pour libérer de sa coque ce sein gonflé d’envie. Mon gros nichon enfin libre était maintenant à la disposition de ma main, alors je ne me privais pas de le caresser, le malaxer et pincer le bout de mon téton. Mon excitation allait montante, mes envies incontrôlables, mes idées plus que lubriques, ma main s’échappant de temps en temps dans ma culotte, à la rencontre de ma chatte déjà toute humide. Impossible de résister à ce démon, mon doigt commençait à tourner autour de mon clito en feu, il est en pleine érection, je tourne autour, il durcit, et mon index le sollicite encore, mon plaisir monte, puis, mon livre tombe, car, je ne tiens plus rien, du coup, j’arrache tout mon soutien-gorge, me voici les deux seins a l’air, j’écarte mes cuisses, et sentant ma cyprine couler jusque dans la raie de mes fesses, je n’hésitais pas un seul instant pour rentrer d’abord un doigt dans mon vagin, puis la folie me gagne, alors deux doigts viennent explorer mon vagin dégoulinant de cyprine, c’est mon canapé qui va être à la fête, lui ne sera pas épargné. Mes doigts ne me suffisent plus, alors, comme je suis équipée de jouets sexuels, je vais arrêter ma masturbation, en retirant mes doigts de mon vagin, et me lever pour aller dans ma chambre chercher mon godemichet, un sextoy que j’ai acheté le mois dernier sur internet, Une fois dans ma chambre, il ne me fallut pas bien longtemps pour ouvrir le tiroir de ma commode, et en sortir mon jouet favori, un gode en silicone rose, de 18 cm pas trop large, mais plutôt assez souple, il est très doux au toucher, comme une peau de satin, de plus mon outil est vibrant à volonté, avec sont jeu de pile, je peux l’utiliser à volonté pendant des heures, il ne fatigue jamais, toujours à mon service, Dimanche dernier, comme j’étais seule chez moi, ma copine étant absente, je me suis faite un après-midi d’enfer avec mon joujou, à la fin de l’après-midi, après avoir joui plusieurs fois, j’étais épuisée, Aujourd’hui se présente bien, car la température de ma chambre est idéale pour être nue, alors, je jette ma culotte et mon soutien-gorge sur le fauteuil, et je me retrouve donc complètement à poils, personne pour me voir, alors tout est permis. Mon lit étant juste devant moi, il me fallut juste tomber dessus avec dans l’une de mes mains, le gode facétieux. Me voici sur le dos, mes jambes relevées, et mes cuisses bien écartées, comme ça je peux regarder cette scène coquine dans le miroir qui est juste devant moi, au pieds de mon lit, je trouve cette vision particulièrement excitante, d’ailleurs comme je suis très excitée, ma chatte n’arrête pas de baver, je vois des brillances de cyprine entre mes cuisses grâce au miroir, il faut dire que je mouille beaucoup de façon générale, les brunes sont assez prolifiques de ce côté-là. étant donné mon abondante lubrification naturelle, je n’ai aucun besoin de lubrifiant, les choses sont tout à fait naturelles, normal je reste dans le bio ! De la main gauche, je viens doucement caresser ma chatte, tout glisse à merveille, j’introduis mon index dans mon vagin inondé de cyprine, ça déborde, et mon nectar coule entre mes fesses, je sens ce liquide descendre vers mon anus, assurant du même coup une lubrification anale naturelle, je ne tarde pas à introduire également mon index dans mon trou du cul, qui d’ailleurs ne demande que ça, je sens les spasmes de mon sphincter anal, comme si il me demandait quelque chose, oh le gourmand. Puis, je termine ce hors d’œuvre, en retirant mon index de cet orifice qui en attendait encore plus, le gredin! Cette fois, c’est ma main droite équipée de mon gode préféré, qui va entrer en action, je pointe le nez de mon gode sur l’entrée de mon vagin, puis, doucement je l’introduis vers l’intérieur de ma chatte, et comme je suis trempée, l’affaire s’avère très glissante, et hop, le gode dérape gentiment en moi, je le sens s’introduire doucement, il rentre à pas léger, en catimini, sournoisement, il rampe, il remonte dans le fond de moi, puis comme pour prendre un peu d’air frais, il ressort, puis sans attendre, rentre de nouveau en moi, ceci parfaitement coordonné avec les mouvements de ma main, cette main qui comme par instinct, ne cesse de pousser, puis retirer, le gode de ma chatte, les mouvements de va-et-vient s’accélèrent, alors que ma respiration devient plus profonde et les frissons envahissent tout mon corps, je vibre, mes soupirs commencent à devenir plus forts, je suis haletante, je suis comme coupée du monde réel, il n’y a plus que moi en compagnie de mon plaisir, je suis dans l’ivresse du bien-être, c’est un monde de volupté. La raison n’existe plus, mon cerveau est l’esclave de mes désirs, et inversement. Cette scène surréaliste, je la vois en directe, car mes cuisses bien écartées se reflètent dans le miroir se trouvant au pied de mon lit Des effluves de foutre emplissent l’atmosphère de ma chambre, ce qui ne manque pas d’avoir un effet très aphrodisiaque, décuplant mes désirs, mes envies, mes fantasmes. Tout m’échappe, j’ai des envies que je n’oserai même pas avouer, le Marquis de Sade semble faire école sur moi. Tout s’accélèrent, je vais exploser, voici plus d’une demi-heure que je me masturbe, soudain, j’éclate, un hurlement sort de mes entrailles, mon orgasme est violent, dantesque, il y a comme une bête sauvage qui sort de moi, ma jouissance me parait durer des minutes interminables, je vibre, je frissonne, enfin je m’affaisse complètement. Ma jouissance est toujours bestiale, mais j’en redemande toujours, car, je suis insatiable, une véritable bête de sexe.

Plaisirs entre femmes

Depuis mon balcon, je vois Sonia juste en face de chez moi, une belle brune pas très farouche, nous allons faire plus intimement connaissance et même envisager de réaliser une vidéo pas très sage entre nous, quand nous ferons l’amour entre femmes. C’est alors que moi Rachelle, je vais rencontrer grâce à internet, Virginie une lesbienne blonde, sulfureuse, qui s’enflamme dès qu’on la touche. Les plaisirs entre femmes sont inoubliables..

Extrait de « Plaisirs entre femmes« 

Tout en papotant, je regarde Sonia, qui me semble parfaitement à l’aise chez moi, elle est engoncée dans son fauteuil, tant et si bien que sa jupe noire remonte sur le haut de ses cuisses, sans provoquer la moindre gêne.

Bien, je trouve le spectacle de ses cuisses très agréable à regarder, mais il va falloir que je me lève pour aller faire le café, je veux dire appuyer sur le bouton marche afin que le café daigne se faire.

J’en avise Sonia, qui aussitôt se lève pour me proposer son aide.

Mais alors, voilà qu’en se levant, Sonia qui était engoncée dans ce fauteuil comme dans un piège, décroise ses belles gambettes, et sans le vouloir offre son entre cuisses à mon regard.

Le spectacle mérite le détour je vous le dis.

Sa culotte est blanche, et de suite mon esprit s’égare dans des situations les plus improbables.

J’ose à cet instant, avoir des pensées qui, disons le, sont à caractère homosexuelles.

Dans mes rêves j’ai souvent imaginé faire l’amour avec une femme, être lesbienne le temps d’un instant, ou d’une nuit.

Faire l’amour entre femmes est paraît-il le summum de la sensualité, les orgasmes sont plus longs et plus fréquents.

Je descends de mon nuage, et vite direction cuisine avec Sonia qui me colle aux fesses pour m’aider.

Dans la cuisine, rien à faire, si ce n’est de prendre le plateau avec le sucre et les tasses pour poser l’ensemble sur la table basse du salon.

C’est Sonia qui s’en charge, moi, j’ai juste appuyé sur le bouton marche de la machine à café.

Il me restera juste le café à porter jusqu’au salon, ou Sonia m’attend avec les jambes croisées.

Nous discutons jusqu’au milieu de l’après-midi sans nous lasser, visiblement nous sommes heureuses d’être ensemble.

Sonia me dit aimer lire, alors je lui demande quel genre de lecture aimes-tu ?

Quel auteur par exemple ?

En ce moment, je lis Sarah Water, c’est une écrivaine anglaise qui à un style que j’adore, ces écrits sont plein de sensualité.

En fait Sarah Water aime les histoires lesbiennes, et elle décrit les scènes avec beaucoup de talent…..

C’est une coquine

Avec ma copine Maria, nous décidons de faire quelques emplettes entre femmes, au rayon lingerie d’un grand magasin parisien. Lors de cette balade au rayon petites culottes, et soutiens-gorges, nous rencontrons un groupe de Japonaises, lesquelles choisissaient des sous-vêtements chics de la mode Française. Il me fut impossible de résister aux charmes de l’une de ces belles Japonaises. Elle s’avérera être une lesbienne extrêmement sensuelle, voire explosive ! Attention, lecture pour adultes avertis. (Liens sonores en live dans le livre)

Elle aime ça

Je suis comme une mante religieuse, car je dévore et j’aime les belles femmes que mon flair de prédatrice débusque dans les supermarchés, ou celles qui croisent mon chemin. Sonia, est l’une d’elles, une bourgeoise bien mûre, style années 50-60, BCBG, elle va tomber dans mes griffes. Ce récit érotique sans concession, s’adresse exclusivement à un public avertit et majeur.

Pour en savoir plus…..cliquez ici

Extrait… »Elle aime ça« 

…Tout se passe à la vitesse d’un éclair, sans rien dire, je vois cette femme baissée, en train de récupérer des publicités qu’elle a sans doute fait tomber sur le sol du hall d’entrée en ouvrant sa boite à lettres.

Rien d’extraordinaire me direz-vous !

Mais, ce qui attire mon œil de femme malicieuse, c’est que cette personne est une belle brune, avec de longs cheveux noirs, et qui arbore, semble-t-il, des formes des plus avenantes.

Je suis face à elle, moi debout avec ma charrette à provisions, et elle, presque agenouillée, essayant de récupérer tant bien que mal, divers papiers jonchant le carrelage du hall d’entrée.

Mais mon regard toujours plein de malice s’attarde sur le généreux décolleté de mon inconnue, et là mes sens sont aux aguets tant le spectacle est alléchant.

En effet, je suis à la première loge pour admirer cette poitrine a priori assez opulente, de madame X, je dis X car pour le moment j’ignore d’où sort cet “ovni” doté de gros nichons.

Mais comme le spectacle est totalement gratuit, alors j’en profite, et je me délecte du regard, car non seulement cette charmante personne me montre ses attributs au travers d’un décolleté provocant, mais comble de bonheur pour moi, elle est vêtue d’une jupe noire assez courte, c’est l’impression que j’en ai, qui dans cette position accroupie lui remonte sur le haut de ses belles cuisses bronzées, cette vue suscite en moi des envies matinales infernales, et lubriques, je vous laisse deviner ce qui passe dans ma petite tête de coquine.

Puis, madame X, me sentant juste devant elle, relève sa tête et me gratifie d’un aimable sourire accompagné d’un bonjour, et elle me regarde sans pour autant resserrer ses belles cuisses entrouvertes par cette position.

Une chose est certaine à cet instant, je ne connais pas encore le nom de cette personne, mais je sais qu’elle porte une culotte blanche.

Puis madame X, se relève, et me regarde presque amusée, toujours avec son sourire très avenant, je peux même dire avec un rictus très coquin.

Enfin, nous échangeons quelques mots, des banalités d’usages, histoire de meubler cette rencontre imprévue dans mon programme.

J’apprends en fait que cette madame X n’habite pas mon immeuble, mais elle vient une ou deux fois par semaine pour s’occuper de sa maman, que je ne connais pas plus que ça d’ailleurs.

Finalement, elle me dit qu’elle va bientôt reprendre l’appartement de sa maman, car cette dernière doit déménager pour occuper un logement plus petit, situé dans un autre immeuble du quartier.

En somme, nous allons être voisine lui dis-je alors ?

Oui, tout à fait.

Soyez sincèrement la bienvenue, madame.

Ravie, je suis Sophie.

Et moi, je suis Julia, et j’habite au 6e.

Puis le plus naturellement du monde, Sophie me tend la main.

Au contact de sa peau, j’ai comme une impression de frissonnement, quelque chose parcourt mon corps, me donnant le sentiment que cela est réciproque, à en croire son regard enflammé, ou alors, je prends mes désirs pour des réalités.

L’art de vendre des sextoys.

Vente sextoys

Littérature érotique.

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Histoire de la vente de gode en réunion entre femmes, c’est hot… Véronique, notre hôtesse nous fait sont numéro de défilé de mode, aujourd’hui, le thème est le port du gode ceinture. Elle est là, devant les deux dernières clientes, à exhiber son jouet favori, Véronique passe et repasse devant nos yeux, et nous en profitons, pour de temps en temps, lui toucher ses fesses et elle semble bien adorer cette situation, toutes les trois, nous laissons tomber nos inhibitions. Pendant ce temps Mireille, la belle blonde, ne perd pas de temps, sa main commence à parcourir mes cuisses sous le regard envieux de Véronique, qui ne tarde pas à retourner dans sa chambre afin de retirer son harnais gode ceinture. Elle revient avec nous deux, alors que nous sommes assises sur le canapé, pendant ce court instant, Mireille et moi, nous nous caressons, elle glisse sa main dans mon soutien-gorge, puis me roule un baiser fougueux, sa langue rencontre la mienne, nous nous léchons nos langues. La situation devient très excitante, plus de barrières, Mireille passe sa main sous ma robe, entre mes cuisses, j’écarte mes cuisses, sa main explore mon entre-jambe, et dans le même temps Véronique avait pris place à côté de moi, à ma droite, j’avais Mireille, et à ma gauche, Véronique, voilà un trio d’enfer ! Mes cuisses bien écartées, je sentais deux mains sous ma robe, mes deux voisines me caressaient en même temps, puis l’une m’embrassait, l’autre me pelotait les seins, je suis l’objet de tous leurs désirs. Mireille, dégrafe mon soutien-gorge, puis, je me retrouve torse-nue. Il ne me fallut pas attendre plus longtemps, pour que véronique, retire ma culotte, alors que Mireille ôte ma robe, cette fois, je me retrouve complètement nue, entre les deux femmes, alors que nous sommes toutes les trois sur le canapé. Mireille se déshabille, elle aussi, Véronique était déjà en petite culotte, mais sans attendre retire son haut, puis sa culotte, ainsi nous voici toutes les trois sur un pied d’égalité, nous sommes nues sur le canapé, mais la place est un peu juste, alors Véronique nous propose de nous transporter dans sa chambre pour disposer de son grand lit de deux mètres. L’équipe des coquines traversent l’appartement, toutes complètement nues pour rejoindre la chambre de Véronique. C’est nettement plus confortable que le canapé, naturellement, je m’allonge, alors à ce moment Véronique m’embrasse sur la bouche, tandis que Mireille lèche mes seins en caressant mon sexe fraîchement épilé, cette sensation d’appartenir à deux femmes en même temps, est divine.  Cette phase est particulièrement sensuelle, c’est le jardin d’Éden. Je conseille à toutes les femmes de faire l’amour avec une autre femme, et à trois femmes, c’est le nirvana. Véronique continue de m’embrasser avec ardeur, pendant ce temps Mireille titille mon petit bouton rose, tout en me léchant mes seins, je commence à être sérieusement excitée, Mireille qui a les doigts dans ma chatte me dit, tu mouilles beaucoup toi ! Elle commence, à descendre sur mon sexe avec sa douce bouche, je sens ses lèvres sur mon ventre, puis elle continue à descendre, enfin, je sens la chaleur de son souffle sur ma chatte, sa langue commence à me déguster, tantôt le bout de sa langue tourne autour de mon clito, tantôt le bout de sa langue pénètre dans mon vagin tout coulant de plaisir… Mais Mireille ne veut pas me faire jouir maintenant, alors que Véronique occupe toute ma bouche avec sa langue, Mireille se lève, et retourne au salon pour prendre les sextoys qui étaient restés sur la table basse. De nouveau sur le lit, Mireille n’hésite pas, délicatement, elle écarte mes jambes puis, pénètre ma chatte avec un gode de bonne taille, je suis tellement excitée, que nul besoin de lubrifiant, ça rentre tout seul. Elle me masturbe avec le gode, pendant qu’elle me lèche mes seins, quant à Véronique, elle m’embrasse goulûment. Cette fois, je vais partir, car l’excitation est à son paroxysme, je suis trempée, Véronique me tient le visage, sa langue remplie ma bouche, impossible de dire un mot, juste des gémissements de plus en plus intenses. Je bouge énormément sous les assauts du gode, j’en veux encore plus, mais là, j’explose, j’éjacule intensément, je jouis, je hurle malgré la langue de Véronique dans ma bouche, je me suis transformée en objet sexuel pour femme à cet instant, et vraiment, j’adore.

La fille de ma concierge.

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Après midi entre coquines lesbiennes.

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Myriam, glissa sa main entre les cuisses de la grosse, puis rentra sa jolie main dans la culotte de sa compagne de soirée. Myriam était dans un autre monde, et certainement n’était plus capable de réfléchir. Laura retira la culotte de Myriam avec un geste autoritaire, et jeta cette culotte au travers du salon, pour atterrir sur la table dans le saladier, hum quel assaisonnement.Afin de bien exhiber la chatte poilue de Myriam, Laura lui écarta ses cuisses pour nous offrir ce spectacle , les poils noirs de Myriam brillaient par les reflets de la lumière dans les gouttes de foutre accroché dans sa toison de grosse cochonne. Le spectacle de Myriam avec les cuisses bien ouvertes nous excitait toutes, alors voyant l’ambiance surchauffée, Laura déshabilla complètement Myriam, au moins, Lucia aura pu découvrir son associée sur toutes les coutures. Sur le canapé, Myriam était nue, Laura la masturbant de ses doigts agiles, puis sans tarder Myriam fit connaissance avec la Langue magique de Laura la salope, nous entendions le clapotis du lapement de langue sur la chatte coulante à souhait de Myriam. Lucia et moi-même contemplons ce spectacle surréaliste. Lucia devient très excitée, alors sur l’autre partie du canapé, je l’emmène, l’allonge et je l’installe nue devant Myriam en train de se faire lécher. Mais, je ne pus m’empêcher de relever ma robe, et à mon tour retirer ma culotte, pour venir à califourchon sur le visage de Myriam, je l’obligeais à me lécher ma chatte et mon trou du cul, comme je suis une femme fontaine, je coulais à flots, en inondant le visage de la grosse associée, nous en faisions tout ce que nous voulions, d’ailleurs elle ne demandait que ça ! Laura léchait cette grosse chatte bien poilue, je voyais les lèvres de ma copine pleine de foutre, alors que j’étais assise sur le visage de Myriam, le vin blanc faisant son effet, j’eus envie de pisser, alors dans mon état d’ébriété je décidais de me laisser aller, Myriam but tout, le surplus coulait sur son visage pour aller sur le canapé. Je me retire, alors que j’avais pissé dans la bouche de Myriam, et je demande à Lucia d’embrasser son associée sur la bouche, comme ça elle gouttera des deux femmes en même temps. Laura s’absente un moment, pendant que Lucia roule une grosse pelle à son associée, moi, je retire ma robe pour me retrouver complètement nue.

Homosexualité féminine, ou la magie lesbienne.

Préambule, texte de Virginie Despente dans Society, 2019.

A mon avis, dans vingt ans, la plupart des meufs sont lesbiennes, ça va se faire tout seul. Je le vois réellement. Parce que tout est tellement mieux. Sexuellement, tu n’y perds pas et pour tout le reste, c’est tellement un soulagement inouï que….qu’est-ce tu vas te faire chier ?

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Femme homosexuelle. Sensualité et sexe entre femmes.

J’aime les femmes pour leur beauté, leur sensualité, leur douceur, les courbures divines de leur corps. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé de faire l’amour entre femmes, mes désirs lesbiens furent longtemps enfermés dans l’armoire des interdits, me privant du même coup d’accéder aux plaisirs entre femmes. Pourtant, dans la rue et les lieux publics, je faisais tout pour attirer le regard des femmes, mais mes fantasmes ne parvenaient pas à sortir librement de moi. Je savourais déjà le futur d’une relation chaude avec celle qui viendra dans mon lit. L’idée de faire l’amour avec une autre femme attise le feu qui couve en moi, les feux ardents de mes désirs les plus fous. Aussi, un jour, je me suis enfin décidée à franchir cette ligne qui sépare mon état d’hétérosexuelle, à celui de lesbienne pour assumer enfin mes pulsions sexuelles, mon homosexualité latente les plus vives, et les plus folles, là, je n’avais plus de limite. Ce fut pour moi une révélation, une fabuleuse découverte, mais pourquoi ai-je attendu si longtemps ! J’avais enfin accès aux plaisirs entre femmes, je ne me privais d’aucune extravagance. Je découvris avec mes compagnes de sexe, toutes les facettes du sexe entre femmes, avec parfois quelques débordements. Voici les récits érotiques sans pudeur de mes aventures sexuelles entre femmes, mes copines ont également participé à la rédaction de nos histoires érotiques. Mais attention, ces histoires érotiques entre lesbiennes s’adressent à un public majeur consentant. Vous pouvez cliquer sur le lien indiqué dans l’article pour accéder à la plateforme de téléchargement si vous le souhaitez. Voici donc les aventures sexuelles de Mélissa, Eva, Diana et les autres…les lesbiennes font la fête…

Plaisirs lesbiens

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Aujourd’hui, il n’est pas encore simple d’être lesbienne, en effet l’homosexualité féminine, n’est pas toujours facile à vivre au regard de votre environnement, car les préjugés demeurent toujours tenaces. Rien que le mot lesbien a parfois une connotation péjorative. Pourtant, l’homosexualité en général, c’est-à-dire masculine et féminine, ne date pas d’aujourd’hui, elle a toujours existé, et cela, depuis la nuit des temps les plus reculés. Que vous soyez une pure lesbienne ou bisexuelle, les plaisirs de l’homosexualité entre femmes demeurent la voie royale pour goûter aux orgasmes intenses et nombreux entre femmes. Les femmes hétérosexuelles pourraient prendre une amante plutôt qu’un amant… Avouons tout de même que pour une certaine catégorie de gens, être femme et lesbienne de surcroit vous ouvre déjà la voie sur deux handicaps, l’un vers la misogynie, l’autre vers l’homophobie, c’est donc la double peine.Il faut savoir que la vision de la société était encore très punitive, au début de notre siècle, à l’égard de l’homosexualité. Elle était tout simplement considérée comme une maladie, une aliénation mentale, et que dire de la société au Moyen Âge, on vous passait sur le bûcher pour moins que ça ! Maintenant, malgré quelques barrières socio-culturelles, nous parvenons à exister au grand jour, mais ce n’est tout de même pas la peine de prendre des risques et de le crier sur tous les toits, la discrétion restant un gage de confort et de sécurité. Soyons fière d’assumer notre sexualité, soyons fière d’être lesbienne, cultivons nos envies. Nous entendons des arguments fallacieux du genre, mais la nature à fait l’homme et la femme pour vivre ensemble, oui, sans doute au niveau de la procréation. Mais ici, nous parlons de plaisirs sexuels, et plus précisément des plaisirs sexuels que procurent une relation entre femmes, donc nous parlons bien d’homosexualité féminine. Les plaisirs lesbiens sont d’une richesse inouïe, quand on sait s’y adonner, il faut oser sortir des sentiers battus, laisser nos tabous au vestiaire. Sachez aussi que les orgasmes lesbiens, de ce fait entre femmes, sont, d’après maintes études scientifiques, plus nombreux et plus intenses que les orgasmes hétérosexuels.

Amour entre femmes lesbiennes

Voici d’ailleurs un court extrait  d’une étude parue dans ‘The Journal of sexual Medecine” du 18 août 2014, page 2645 à 2652. “Il s’avère que les femmes lesbiennes ont une probabilité d’orgasme significativement plus élevée que les femmes hétérosexuelles ou bisexuelles. Le taux moyen d’occurrence de l’orgasme chez les femmes hétérosexuelles est de 61,6%, alors qu’il est de 74,7% chez les femmes lesbiennes et de 58% chez les femmes bisexuelles. Bien d’autres études semblent confirmer cette constatation.” Par ailleurs, d’autres statistiques nous indiquent (Statista 2019) qu’en France, 82,7% de la population est hétérosexuelle, que 5,6% de la population hétérosexuelle est attirée par le même sexe, que 4,8% de la population est bisexuelle, et 3,2% est homosexuel (le).Dans mon blog des Plaisirs lesbiens, je vous propose d’explorer toutes les facettes de la sexualité entre femmes, c’est presque un roman… Il faut savoir parler ouvertement de tout, sans pour autant tomber dans la vulgarité, car l’érotisme entre femmes est un art. Ici, la curiosité est une qualité, il s’agit de comprendre, d’expérimenter, de savoir. Le but est d’arriver à la quintessence des plaisirs lesbiens, avec la multiplicité et l’intensité des orgasmes. Sentir sa partenaire vibrer sous vos caresses et baisers, tantôt doux, tantôt fougueux, guidées toutes deux par vos désirs hors de contrôle. Vos conventions resteront derrière vous. Il faudra aussi aborder le chapitre des rencontres entre femmes, car si vous voulez passer par des sites dédiés aux rencontres entre femmes, vous allez rentrer dans une jungle pleine. de pièges, de faux profils. Il faut être méfiante pour ne pas tomber dans des chemins plus que douteux, certains sites affichent jusqu’à 90% de faux profils, principalement des hommes qui affichent une fausse identité de “femme homosexuelle” pour mieux piéger les femmes ! Ce blog “sur les plaisirs lesbiens” n’a pas la prétention d’être un mode d’emploi, mais seulement une boite à idées, une source de suggestion coquine ou toutes les idées sont à considérer. Ne soyez pas coincée, et dites-vous qu’il n’y a rien de plus normal que d’aimer. Les femmes ce sont toujours aimées, elles adorent faire l’amour entre elles. Bien sûr, j’entends déjà des voix me dire qu’il manque un “petit”quelque chose dans une relation sexuelle entre femmes pour compléter le tableau des pratiques sexuelles. Vous savez quoi ? Il manque ce fameux phallus, mais croyez-vous vraiment que cela soit indispensable ? Réponse : Non. Car, nous les femmes parvenons sans aucun problème à avoir non pas un, mais des orgasmes sans pénétration phallique. Nos baisers, nos caresses en tout genres nous donnent des envies folles, et déjà rien que d’y penser, je vibre déjà de tout mon corps. De plus, le commerce nous propose de multiples gadgets sexuels, aussi appelés “jouets sexuels”., qui remplacent avantageusement cet organe masculin, avec des caractéristiques d’infatigabilités.

Blog-erotique-1

Vous voyez, nous avons de la ressource, nous les femmes. Nous parlerons dans de prochains articles de l’utilisation des jouets sexuels. Les femmes lesbiennes aiment prendre possession du sexe de leur partenaire femme, nous aimons le sentir dans nos mains, dans notre bouche, sous notre langue, bref, nous aimons réellement ce corps à corps entre lesbiennes, qu’il soit généreux, et qu’il enflamme nos sens jusqu’à la déraison, jusqu’à la folie. Chaque carré de notre peau vibre, et nous fait basculer dans un monde hallucinatoire. Votre partenaire est haletante sous votre emprise, le temps n’existe plus, le ciel de vos songes est bleu comme le paradis. Imaginez un instant, vous êtes assise dans votre canapé, sous une lumière tamisée, laissant quelques ombres furtives courir sur vos murs, tandis que la main de votre partenaire glisse sous votre pull pour venir caresser vos seins qui déjà se gonflent de désirs, rendant votre poitrine irrésistible, le bout de vos seins devient dur. Votre sexe n’est pas en reste, car une atmosphère tropicale s’installe entre vos cuisses, chaleur et humidité, ne laissant plus aucun doute sur vos envies, sur votre état.  Alors, c’est le moment de vous laisser emmener  dans vos envies les plus torrides. Mais, vous le comprenez, il faut cultiver sa sexualité et comme le disait Honoré de Balzac: “La volupté, comme une fleur rare, demande les soins de la culture la plus ingénieuse”. Il faut oser faire pour bien aimer. Mais qu’attendons-nous de nos rencontres lesbiennes ? Nous aimerions vibrer avec notre partenaire, la sentir en attente de plaisirs saphiques, c’est là, qu’il faut savoir innover, deviner ces envies, ces fantasmes. Son regard est déjà une invitation au voyage vers le pays des délices, c’est le moment de prendre des initiatives amoureuses, pour combler les attentes de votre compagne. Il faut aussi savoir deviner ce qui se cache derrière les beaux yeux de votre amoureuse, et c’est sous les caresses et les baisers que vous pourrez faire fondre votre dulcinée, comme de la neige au soleil. Car les envies de plaisirs saphiques sont parfois hors des sentiers battus, est-elle exhibitionniste, ou aimerait-elle essayer la douche dorée sans oser le demander, et pourquoi pas essayer le triolisme à trois femmes ? La pratique du cunnilingus entre femmes, reste un “must”, dans le domaine des classiques du plaisir saphique, c’est une figure du Kamasutra lesbien. Dans le Kamasutra lesbien, le 69 tient une place de choix, nous aurons le plaisir d’en reparler plus en détails dans de prochains articles. Pour beaucoup de ces techniques sexuelles,  nous retenons un aspect pratique et très excitant, car elles peuvent être faites en divers endroits, je veux dire qu’il n’y a pas obligation d’être dans une chambre, ou sur un canapé de salon, l’extérieur est très conseillé, parce que bien émoustillante. En partant pour passer un séjour en bord de mer, rien ne vous empêche de faire une halte coquine dans les bois et de mettre votre siège arrière à l’épreuve. Les caresses manuelles sont possibles presque partout et une petite masturbation entre femmes entretien les désirs, alors ne vous en privé pas, c’est salutaire aussi pour la santé. N’oubliez jamais les baisers saphiques, c’est bon pour le moral, mais prenez garde de ne pas vous montrer, car des gens pas toujours bien intentionnés pourrait vous faire de l’ombre. Puis, nous parlerons des jouets sexuels, aussi dénommés gadgets sexuels, ceux-ci vous ouvriront la porte d’un monde tout aussi excitant. Les godes existent depuis très longtemps, puisque des fouilles archéologiques en misent en évidence des godes en ivoire datant de plusieurs siècles et bien plus encore. Aujourd’hui, c’est le règne du silicone, le règne des matières plastiques adaptées à cet usage, car labellisés aux normes santé. Il en existe de plusieurs formes, de tailles et de couleurs diverses, le choix est immense dans ce domaine. Vous avez des godes manuels, des godes vibrant à piles. Je vous vois sourire, mais je vais aussi en parler, de quoi ? Du gode-ceinture, aussi appelé “strapon” en anglais. C’est l’objet de tous les fantasmes, car il permet une pénétration vaginale, et aussi anale si l’envie vous chatouille. C’est comme les godes, il y a un choix pas possible dans les tailles, les formes, les couleurs. Après ces accessoires, nous aurons l’occasion de parler de pratiques soft SM, c’est un domaine ou vous seule pouvez juger de cette pratique. Sans avoir recours à des gadgets, il y a une pratique que j’adore, c’est le frottage de sexe contre sexe entre lesbiennes, c’est la mise en valeur de vos zones érogènes, c’est une technique absolument à pratiquer, car c’est le nirvana du clitoris, c’est un moment ultime de plaisir saphique. Un plaisir sexuel entre femmes qui est explosif. N’oubliez pas dans tout ça les préliminaires, car, ils permettent d’allumer la mèche du plaisir saphique. Je vais vous proposer des massages aux huiles sensuelles aphrodisiaques, vous n’allez pas résister bien longtemps croyez-moi !

Et vous aimez les textes érotiques, alors je vais vous en proposer un peu plus tard….

Le saphisme, l'art d'être lesbienne.
Le saphisme, c’est l’art de l’amour entre femmes.