La passagère du train.

Mes plaisirs entre femmes-a

Plaisirs entre femmes lesbiennes.

Histoire érotique.

Notre dégustation d’huîtres se passe au mieux, dans une atmosphère pour le moins conviviale, et sans doute un peu plus, si j’en crois les yeux doux que Sandra me fait. Notre rencontre dans le TGV prend maintenant une tournure plus amicale, nous frôlons avec l’intime. Après avoir réglé notre addition, une promenade sur la jetée s’impose, histoire de faire passer la bouteille de muscadet que nous venons allègrement de descendre. L’air du large sera sans doute la meilleure des solutions pour nous dégriser avant de reprendre la voiture, et de toute façon il n’est pas tard. C’est marée haute, il n’y a pas de chalutier à quai, ils sont en pêche, les parcs à huîtres sont recouverts par la marée haute, et nos narines s’enivrent de l’air du large chargé d’iode. Après une heure de balade salutaire, nous regagnons la voiture pour Saint-Malo, nous allons prendre le même chemin que pour venir c’est à dire par la côte, afin de profiter au maximum du paysage. En route, je ne peux m’empêcher, c’est plus fort que moi, de poser ma main sur la cuisse de Sandra, et comme elle est en jupette, j’ai tout le loisir de sentir sa peau sous ma main, elle est douce. L’iode marin me remplit d’envie, alors voyant que mon geste semblait bien plaire à Sandra, je décide de glisser ma main doucement entre les cuisses de ma passagère. Cet endroit est voluptueux, je remonte un peu plus, allez, je vais encore plus loin, Sandra ouvre encore plus ses jambes, ma main remonte sa jupe, et cette main indomptable vient brièvement tutoyer la culotte de ma voisine. Douce sensation éphémère, car je dois vite reposer mes deux mains sur le volant, ici la route tourne un peu tout de même! Cette approche est un prélude à mes envies, et je ne doute plus un instant que mes pulsions soient également partagées par ma passagère.  Je commence à me faire des films dans ma tête. Comme il faut bien prendre des initiatives dans la vie, je propose à Sandra de venir visiter ma chambre et sa vue imprenable sur la baie de Saint-Malo. En fait Sandra n’attendait que ça ! Elle meurt d’envie de sentir une femme lui faire quelques douceurs. Alors, plus de temps à perdre, directement à l’hôtel titine, titine c’est le nom que je viens de donner à ma voiture. Voilà, je me gare, sur la première place. Et après avoir récupéré la clef de ma chambre, nous montons toutes les deux en empruntant l’ascenseur. Clic-clac, j’ouvre la porte. Sandra me suit, je l’emmène vers la baie vitrée pour qu’elle admire le panorama. Puis, elle se retourna vers moi, attendant mes avances….