Leçons de tango.

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Sexe lesbien.

Histoire érotique.

Nous reprenons notre déjeuner, le vin commence à avoir des effets hallucinatoires sur nos comportements, nos mains s’égarent ici et là, moi, j’éprouve un malin plaisir à glisser ma main entre les cuisses de Carmen, je passe un doigt habilement entre sa culotte et sa douce peau, son minou est déjà humide, normale, j’ai pensé dès le début que c’était une femme très chaude, une latino sensuelle ! Carmen se prête bien au jeu, elle écarte bien ses cuisses sous la table, et tout ça avec un sourire entendu, elle se trémousse la cochonne, et moi, de lui dire tu voudrais découvrir la douche dorée, et à ma grande surprise, elle me répondit du tac au tac, « oui »! Alors, je me lève, entraînant Carmen avec moi, vers son canapé de cuir, je l’allonge sur le dos, je retire ma culotte, puis d’un geste sur, je relève ma jupe, puis ans rien dire de plus, j’adopte la position de face-sitting, c’est-à-dire que je viens me placer sur le visage de ma prof de tango, là, c’est une autre danse, je commence par présenter ma chatte déjà dégoulinante de foutre, à la bouche de Carmen, et pas besoin de lui dire quoi que ce soit, Carmen commençait à me lécher ma chatte brûlante, quand je sentis une irrésistible envie de pisser monter en moi, la pression devient trop grande, je lâche un peu, et j’envoie une bonne giclée de pisse dans la bouche de Carmen, qui semble aimer mon liquide, et comme elle est très occupée à me lécher, avec une bouche bien pleine, c’est le moins que je peux dire, alors, je continue à lui pisser dans sa bouche, oh, c’est bon, d’une part je trouve ça excitant, et pour comble de bonheur, quel soulagement. Dans le même temps, je parle à Carmen, qui ne peut pas me répondre trop occupée à déguster ma pisse, voilà, tu goûtes enfin à une bonne douche dorée, tu aimes ? Elle hoche la tête en signe de satisfaction, je me disais que cette prof de danse est pleine de bon sens. Une fois la dernière goutte de pisse avalée, je laisse Carmen me faire une toilette avec sa langue, visiblement elle semble bien y prendre goût la garce. Je redescends de son canapé, et rebaisse ma jupe, pour être plus présentable et continuer notre repas. Ma prof est ravie de cette séance de douche, mais tout de même, elle tient à boire un grand verre de vin rosé. Nous pouvons maintenant reprendre le fils de nos bavardages, j’ai l’impression, que la séance de tango pour aujourd’hui, va attendre, que voulez-vous nous ne pouvons pas tout faire. Après cet entracte dans notre repas, et maintenant que Carmen a assouvi sa soif de moi, nous allons enfin pouvoir goûter à la cuisine de Carmen, un ragoût de mouton façon Caraïbe, c’est-à-dire pimenté. La première bouchée ne me laisse pas indifférente, en effet c’est fort en bouche, et très parfumé également, je me demande quelles herbes viennent aromatiser ce plat latino, ma cuisinière du moment me donne des noms de plantes que je ne connais pas, à part le piment de la Jamaïque, le reste est inconnu pour moi. Inutile de dire que ce plat spécial, et le vin rosé, fait une association plutôt explosive. Je commence sérieusement à me trémousser sur ma chaise, mais je ne suis pas la seule à ressentir les effets aphrodisiaques de cette cuisine caribéenne. Nous venons à bout de ce plat, qui, il faut le dire, est très copieux, il va falloir digérer tout ça. Carmen nous a concoctés pour le dessert, une salade de fruits exotiques, nous voyageons en même temps que nous déjeunons en quelque sorte. Allons nous asseoir un peu sur le canapé, le temps de faire passer notre mouton aux herbes et piments. Toutes les deux assises, nous papotons, en même temps que nos mains parcourent le corps de l’autre, j’adore caresser la belle poitrine de Carmen, là, elle est bien gonflée, son soutien-gorge va finir par exploser, alors pour éviter de tels dégâts, je passe ma main sous le teeshirt de Carmen, et d’un geste expert, je lui dégrafe son soutien-gorge, libérant du même coup, cette belle poitrine, je ne m’arrête pas en si bon chemin, et lui ôte aussi son haut, Carmen est torse nue, sa poitrine est superbe, bien ferme, avec des tétons bien raides, alors je ne résiste pas à l’envie de poser mes lèvres sur le bout de ses seins, j’en lèche un, pendant que je titille l’autre entre mes deux doigts, sa poitrine de gonfle encore plus, le torse de Carmen prend du volume, elle me tient la tête pour mieux l’appuyer sur ses seins, j’arrête de lui caresser un sein avec ma main, pour aller plonger cette main dans la culotte de Carmen, en passant d’abord sous sa jupe, une fois dans sa culotte, j’ai l’heureuse surprise de sentir une chatte en complète effervescence, elle mouille énormément. Tout s’accélère, Carmen est devant moi, sur le canapé, torse nu, et moi, j’ai envie d’elle, de Carmen, cette magnifique latino, brune et sensuelle. Je retire la jupe et la culotte de ma prof de tango, elle est complètement nue sur le canapé, j’ai une folle envie de la bouffer, d’ailleurs elle le sent bien la garce, avec son regard à la fois angélique et satanique. Cette brune met le feu dans mon ventre. Ma bouche descend le long de son ventre, j’arrive à hauteur de sa chatte bien baveuse, je glisse doucement ma langue dans la fente de ce sexe gluant, déjà odorant de foutre, et Carmen est aux anges, d’instinct, elle écarte complètement ses cuisses, pour que je puisse la déguster sans modération, je la lèche comme si elle était mon dessert, elle me donne tout, je prends tout.  Nous sommes toutes les deux dans un état second folles à en perdre la tête, la raison n’excite pas, seules nos envies nous dominent, esclaves de nos corps et de nos pulsions sexuelles. Je demande à Carmen de se mettre en position levrette, avant qu’elle ne finisse par jouir, tant son clito est devenu sensible sous les assauts de ma langue de bonne salope.Dans cette position, j’admire les belles fesses de ma compagne de tango, ce cul est prodigieux, ma bouche se promène sur le galbe de ces fesses, ma bouche arrive dans la raie de ces merveilleuses fesses, tandis qu’avec mes deux mains, j’écarte délicatement le postérieur de Carmen, et là, je vois une auréole brunâtre, c’est beau, et en son centre son petit trou du cul.